C'est le 31 décembre, et cette soirée est spéciale cette année. Ma relation a été mise à mal il y a tout juste quinze jours, mon mec s'est tiré. Je n'étais plus rien pour lui. Autant vous dire que mon envie de faire la fête pour ce changement d'année est au plus bas.
Par affection, mes amies de longue date, pour certaines depuis la maternelle, ont décidé de me tenir compagnie. C'est alors qu'Emeline chez laquelle nous nous sommes installé, se rappelle innocemment avoir conservé les résolutions de nos 15 ans. Et nous voici 10 ans plus tard, à relire nos écrits. C'est après avoir avalé quelques mojitos, Bellini et autres sexes on the Beach, qu'il est décidé de tous les relire, puis d'en faire des nouveaux. 2020, nous voilà.
Le tirage au sort me désigne comme la première à m'exprimer.
J'ouvre le papier, et je commence à lire mes résolutions d'adolescentes. Comme nous étions futiles.
1) J'aimerais qu'un certain mec me remarque
2) J'aimerais que mes parents me laissent sortir après minuit.
3) J'aimerais partir en vacances avec mes amies ici présentes.
Lisa s'écrie - ça s'est fait et pas qu'une fois ma jolie.
Je continue,
4) Apprendre à nager.
5) ne pas me laisser marcher sur les pieds avec mes frères
Là c'est Johanna qui m'interromps - Tiens et si tu nous disais qui était ton crush ?
Je baisse les yeux, rougis un peu...
Forcément, les filles le remarquent... et se mettent à rire.
- Il ne m'a pas remarqué ni cette année-là, ni plus tard. Donc laissez tomber. Ma liste est finie. Au tour de Mélanie.
Alana prend la suite puis Lisa et mes autres copines. Les fous rire s'enchaînent aussi vite que les shoots de tequila.
Emeline, qui nous reçoit cette nuit, distribue des jolies feuilles toutes roses, pour nos résolutions 2020. Chacune se retire pour y réfléchir un peu sérieusement.
L'encre fuchsia court sur ma feuille, je ne tremble même pas. Mes idées se sont comme par magie éclaircie.
1) Fini les garçons insipides, passer à autre chose, voire genre. (Enfin peut-être pas de genre finalement)
2) Faire comprendre à mes frères que je suis une grande fille (eh oui j'en suis au même point avec eux)
3) Continuer à voir ces miss (bon ça s'est facile, je ne vois pas pourquoi ça s'arrêterai)
4) Maintenant que je sais nager, apprendre la plongée sous-marine (ce sera pour les prochaines vacances)
5) Prendre le temps de vivre.
Nous avons fini, et remettons nos écrits dans la boîte à résolutions. Nous décidons que nous en ferons le bilan en fin d'année.
L'alcool disparaît des flacons, et rempli joyeusement nos estomacs. Emeline et Alana, nous décident à nous rendre à la soirée privée de son cousin. Je maugrée que je n'en ai pas envie. Elles répliquent que comme c'est tout près de mon domicile, je pourrai m'en aller quand je veux à condition d'y faire un petit tour. Petit tour est devenu grand. Il y a du monde, de l'ambiance, des paillettes, des cotillons, et de l'alcool. Les décibels à fond, les basses nous imprègnent, et le dance floor improvisé accueille nos déhanchements frénétiques. Il y a des mains baladeuses, des corps qui collent, des souffles sur la nuque. Je me laisse aller, j'oublie ces dernières semaines. Je m'oublie, et ça fait du bien. Plus tard, beaucoup plus tard...
Quelque peu brumeuse, je me réveille seule. Oups non pas seule, j'ai de la compagnie dans mon lit. Et quelle compagnie !
Mon crush, the bad boy du lycée, le mec le plus sexy de ma classe de seconde. Hugo, celui-là même qui ne m'avait même pas regardé, qui ne savait probablement pas que j'existais.
En quelle année, sommes-nous, ce n'est pas possible. Et ma tête, un bunker en plein bombardement.
Il dort, son dos musclé, bronzé, juste comme il faut, se soulève avec sa respiration tranquille et profonde. Je regarde mon téléphone pour vérifier la date : 2020, je suis en 2020, mais que fait Hugo là, dans mon lit.
Je plonge dans les toilettes, l'estomac retourné, les cheveux filasses sur mon visage chiffonné et gris.
Pourvu qu'il ne se réveille pas avant que je me sois remise
Il bouge, j'entends le froissement de la couette. Je me statufie. Non, rien de plus. Un petit répit. Je me précipite dans la salle de bain, et sous la douche bien fraîche pour me réveiller. Puis une seconde bien chaude pour le réconfort, je ne me rappelle pas du tout, mais alors pas du tout, comment cet apollon est arrivé dans mon lit. DANS MON LIT. A priori, je l'ai invité, et il semble que la nuit n’a pas été platonique. J'ai retrouvé les capotes usagées dans la salle de bain, et pas moins de 3. Trois, en une seule petite nuit. Ça faisait bien longtemps que cela ne m'était pas arrivé. Maintenant que ma tête se retrouvait en quelque sorte allégée, les souvenirs refaisaient surface. Quelle nuit, si cet homme a explosé 3 fois, je pense que je peux pour ma part en compter un peu plus.
Séchée, habillée, je retrouve forme humaine. Et toujours aucun signe du côté de la chambre. Tant mieux, le temps pour moi, de refaire le puzzle de cette nuit.
Emeline, résolutions, départ chez son cousin, jusque-là, j'arrive à suivre. Musique, danse, alcool. Là encore je suis. Et Hugo, comment est-il arrivé ici ? Je cherche loin, loin dans ma tête. Corps à corps, baiser, engourdissement, petite culotte mouillée. Stop, c'est là, je lui prends la main, lui glisse un mot à l'oreille, il me répond qu'il me suit. Je me vois encore faire signe à mes amies que je m'en vais. Nous montons accrochés l'un à l'autre dans mon appartement. C'était facile, il était tout proche. Je n'ai pas reconnu le jeune homme. Les caresses s'enchaînent, les baisers, jambes écartées, dos creusé, nuque dévorée, nous nous mélangeons, nous nous assoupissons et nous recommençons.
Lui non plus ne m'a pas reconnu dans la nuit, pourvu que ça dure. Je vais être sympa et lui proposer un café avant de lui montrer la porte. C'était plus que bien et j'en avais besoin, mais il ne faut pas abuser.
Quant à son tour, il se lève, je l'attends, un café bien chaud à la main. Il grogne.
Monsieur n'est pas du matin.
Il s'enfile le café pourtant bien chaud comme un verre d'eau. Je prends le temps de le voir. Il a remis son boxer, et ça lui fait des fesses.
Stop, ma jolie un one shoot.
Je ne dis rien et lui se tait. Bizarre.
- On se connaît ? Me demande-t-il.
- Je suis une amie de la cousine de Maël. Et toi ?
- Je suis venu avec des amis de Maël. Super soirée. Et super nuit. Hugo, pour vous servir Dit-t-il en faisant une révérence
- Oui. Je le regarde ne sachant pas quoi ajouter.
- Tu m'a plu dès que tu as passé la porte. Je suis sûr de te connaître.
Moi, je sais mais je le laisse chercher.
Je vais passer pour une idiote si je lui dis. Se souvenir de son béguin de 15 ans, ça fait cruche.
Il se resserre un café, me demande s'il peut prendre une douche.
Pendant que l'eau coule, j'ai une idée un peu folle. Je cherche mes anciennes photos de classe. Je sais qu'elle est là, celle ou comme par hasard je suis juste devant lui.
Voilà, je la tiens.
Je fais comment maintenant pour la mettre sous son nez discrètement. Ou as t'il posé sa veste, ce matin ? Il l'a laissé tomber à côté du canapé, qui as été notre première étape. Voyons, je relève sa veste, et la dispose sur l'accoudoir. Puis je pose la photo en appui sur la lampe, qui se trouve là tout près. S'il ne la voit pas en prenant son blouson, je ne pourrai rien y faire.
Il est sur le départ, il se rapproche pour m'embrasser, son regard se pose sur la photo. Il la prend, il semble captiver.
- c'est moi, et c'est toi ? Dans la même classe, oui je me rappelle, la petite souris grise. Se reprenant voyant qu'il est désobligeant. Une jolie souris en tout cas.
- Oui c'est bien moi Saskia.
- Joli prénom, je me souviens, tu étais discrète, et pas bavarde. C'était dommage, je trouvais que tu avais des trucs bien à dire et à partager. Timide ?
- Oui, encore un peu.
- Pardon, mais je trouve que tu l'es beaucoup moins. Il me prend la main et deviens sérieux tout à coup. Ça te dirait qu'on se revoit pour tout refaire dans l'ordre, genre dîner ciné et plus... Même si le plus a déjà été testé.
- Je veux bien.
Il dépose un baiser léger sur ma tempe, attrapes son téléphone, enregistres le numéro que je lui donne, promets de m'appeler rapidement et s'en va.
Je me laisse aller à la renverse sur mon canapé, encore hagarde.
Que viens-t-il de se passer ?
J'entends le bip discord, je sais que mes amies sont en ligne.
Je tape : Coucou les filles, je viens de m'envoyer en l'air avec mon crush de mes 15 ans.
Les bips s'enchainent
- Dis-nous tout.
- Il est parti.
- c'est qui ?
- quelle note tu lui mets ?
- Tu vas le revoir ?
- Plus tard, oui, Hugo, 12/10, oui.
2020, me voilà !
Une belle romance, pas trop niaise, tu mets la femme en avant, j'ai beaucoup aimé que tu dises qu'elle a eut autant ou plus d'orgasmes qu'Hugo ;) Merci pour ce joli moment !
Je suis sur téléphone alors je peux difficilement relever les petites fautes que j'ai croisées, mais je viens de voir que Fannie est passé par là ;)
Bisous bonnes fêtes !
C’est une jolie histoire qui finit bien. Ça fait du bien, de temps en temps. :-)
Coquilles et remarques :
— C'est alors qu'Emeline chez laquelle nous nous sommes installé [Émeline / installés / il faut mettre « chez laquelle nous nous sommes installés » entre deux virgules]
— les résolutions de nos 15 ans. Et nous voici 10 ans plus tard [quinze ans / dix ans ; en toutes lettres]
— C'est après avoir avalé quelques mojitos, Bellini et autres sexes on the Beach
[quelques mojitos, Bellini, Sex on the beach et autres cocktails ; le nom du cocktail « Sex on the Beach » s’écrit le plus souvent avec une majuscule et ce n’est pas judicieux de mettre « sexes » au pluriel parce que ça sème la confusion ; la locution « et autres » doit être suivie d’un nom générique qui englobe les autres : toutes ces boissons sont des cocktails, mais les mojitos et les Bellini ne sont pas des Sex on the Beach.]
— Lisa s'écrie - ça s'est fait et pas qu'une fois ma jolie. [Deux points, à la ligne après « Lisa s’écrie » / Ça (majuscule) / virgule avant « ma jolie » / « Ça s’est fait » et « Ça, c’est fait » ont un sens différent et je pense que la seconde option est la bonne]
— Je continue, [il faudrait mettre deux points à la place de la virgule]
— Là c'est Johanna qui m'interromps - Tiens et si tu nous disais qui était ton crush ? [m’interrompt / deux points, à la ligne après « interrompt » / virgule après « Tiens »]
— Entre les phrases « Je baisse les yeux, rougis un peu… » et « Forcément, les filles le remarquent… et se mettent à rire. », il ne faudrait pas passer à ligne.
— Il ne m'a pas remarqué ni cette année-là [remarquée / virgule avant « ni »]
— Alana prend la suite puis Lisa [virgule avant « puis »]
— Les fous rire s'enchaînent [rires]
— Mes idées se sont comme par magie éclaircie [éclaircies ; « Mes idées se sont éclaircies comme par magie » me semblerait plus naturel]
— (bon ça s'est facile, je ne vois pas pourquoi ça s'arrêterai) [virgule après « bon » / c’est facile / ça s’arrêterait]
— Nous avons fini, et remettons nos écrits [la virgule est superflue]
— L'alcool disparaît des flacons, et rempli [et remplit ; sans virgule]
— Emeline et Alana, nous décident à nous rendre [Émeline / pas de virgule entre les sujets et le verbe]
— je pourrai m'en aller quand je veux [concordance des temps : quand je voudrai]
— et le dance floor improvisé [la piste de danse improvisée, ça irait aussi, non ?]
— Oups non pas seule, j'ai de la compagnie dans mon lit. [Oups non ! pas seule : j'ai de la compagnie dans mon lit.]
— Mon crush, the bad boy du lycée [en français : Mon béguin, le mauvais garçon du lycée...]
— celui-là même qui ne m'avait même pas regardé [regardée]
— En quelle année, sommes-nous, ce n'est pas possible. [En quelle année sommes-nous ? Ce n'est pas possible.]
— mais que fait Hugo là, dans mon lit. [mais que fait Hugo là, dans mon lit ?]
— Je me précipite dans la salle de bain, et sous la douche bien fraîche pour me réveiller. Puis une seconde bien chaude pour le réconfort, je ne me rappelle pas du tout, mais alors pas du tout, comment cet apollon est arrivé dans mon lit.
[« Puis une seconde » ne s’enchaîne pas bien avec ce qui précède. Je propose : « Je me précipite dans la salle de bain et sous la douche, bien fraîche pour me réveiller, puis bien chaude pour le réconfort. Je ne me rappelle pas du tout, mais alors pas du tout, comment cet apollon est arrivé dans mon lit. »]
— et pas moins de 3 / si cet homme a explosé 3 fois [trois ; en toutes lettres]
— Quelle nuit, si cet homme a explosé 3 fois [Quelle nuit ! Si cet homme a explosé trois fois (…)]
— le temps pour moi, de refaire le puzzle [la virgule est de trop, à moins que tu mettes « pour moi » entre deux virgules]
— Lui non plus ne m'a pas reconnu [reconnue]
— Lui non plus ne m'a pas reconnu dans la nuit, pourvu que ça dure [Ponctuation : Lui non plus ne m'a pas reconnue dans la nuit. Pourvu que ça dure !]
— Il s'enfile le café pourtant bien chaud comme un verre d'eau [il faudrait mettre « pourtant bien chaud » entre deux virgules]
— Stop, ma jolie un one shoot [one shot]
— On se connaît ? Me demande-t-il [me demande-t-il ; pas de majuscules aux incises de dialogue]
— Hugo, pour vous servir Dit-t-il en faisant une révérence [virgule après « servir » / dit-il ; avec minuscule, sans « t » euphonique / il manque le point à la fin]
— - Oui. Je le regarde ne sachant pas quoi ajouter. [Mauvais raccord : on ne sait pas à quoi répond le « oui ». J’enlèverais « - Oui. » / « virgule après regarde »]
— Tu m'a plu dès que tu as passé la porte [Tu m’as]
— Se souvenir de son béguin de 15 ans [quinze]
— Il se resserre un café [se ressert ; du verbe « se resservir », pas « se resserrer »]
— celle ou comme par hasard je suis juste devant lui [où / il faudrait mettre « comme par hasard » entre deux virgules]
— Ou as t'il posé sa veste, ce matin ? [Où a-t-il]
— à côté du canapé, qui as été [a été]
— Il la prend, il semble captiver [captivé]
— c'est moi, et c'est toi ? Dans la même classe, oui je me rappelle, la petite souris grise. Se reprenant voyant qu'il est désobligeant. Une jolie souris en tout cas.
[Il manque la majuscule au début et l’incise doit clairement se détacher des paroles. Je propose : « C'est moi, et c'est toi ? Dans la même classe, oui je me rappelle, la petite souris grise, dit-il avant de se reprendre, voyant qu'il est désobligeant : Une jolie souris, en tout cas. »]
— Joli prénom, je me souviens, tu étais discrète, et pas bavarde [Ponctuation : « Joli prénom. Je me souviens, tu étais discrète, et pas bavarde »]
— Il me prend la main et deviens sérieux [devient]
— Ça te dirait qu'on se revoit pour tout refaire dans l'ordre, genre dîner ciné et plus… Même si le plus a déjà été testé. [qu’on se revoie (subjonctif) / et plus… même si (c’est la suite de la même phrase) / point d’interrogation à la fin]
— Il dépose un baiser léger sur ma tempe, attrapes son téléphone, enregistres le numéro que je lui donne, promets de m'appeler rapidement et s'en va. [attrape / enregistre / promet]
— Que viens-t-il de se passer ? [vient-il]
— avec mon crush de mes 15 ans [quinze]
— Les bips s'enchainent [s’enchaînent / il manque le point à la fin]
— c'est qui ? / quelle note tu lui mets ? [majuscule]
Les tirets de dialogue doivent être des cadratins ou demi-cadratins et pas des tirets courts, ni des tirets automatiques, qui sont des sortes de puces.
Les signes de ponctuation doubles ( ; - : - ? - !) doivent être précédés d’espaces insécables.
Il y a beaucoup de fautes de conjugaison et la ponctuation est parfois hasardeuse ; dommage.
Je te remercie doublement de cette correction aussi instructive. Merci
2 semaines entre 2 relations ça arrive, mais là je pense que c'était plus par consolation, peut on dire qu'il y arelation, à suivre.
Au plaisir
Merci pour le partage :)
douceur pour ce monde un peu brut parfois, trop , souvent
Un joli Happy End !
J'ai trouvé très sympa la comparaison avec les vœux qu'elle faisait lorsqu'elle était ado. Et amusant de voir que certains n'ont toujours pas bougé alors que d'autres se sont pleinement réalisés.
J'espère que monsieur 12/10 va maintenir sa note sur la durée ;-)
C'est une jolie nouvelle avec une héroïne dont l'évolution est palpable et qui obtient son happy end ! Que demander de plus ? Rien, je crois. Bravo !
Je dois avouer que j'ai trouvé ça bizarre que la première réaction qu'elle ait eue en voyant Hugo dans son lit, c'est "dans quelle année sommes-nous ?". Je ne sais pas si c'est la première pensée que j'aurai à sa place. Sauf si Hugo est resté un ado de 15 ans. Mais ce n'est qu'un détail comparé au reste.
Je rejoins Isapass : je suis content que ce ne soit pas un goujat. Des histoires qui finissent bien, ça fait du bien… des fois. ;)
Je m'en voudrais de ne pas le signaler mais attention à l'orthographe qui aurait pu me faire décrocher par moments et aux soucis liés à la typographie : il y a quelques passages où narration/dialogue sont mélangés, des incises avec majuscules, des phrases sans majuscules ou avec la mauvaise ponctuation dans les dialogues… Cela n'enlève en rien le charme de ton texte, je te rassure de suite ! ;)
Merci pour ta participation !
C'est bien mené, ton héroïne est sympa et on se prend à espérer pour elle qu'elle soit bien tombée sur un gentleman et pas sur un goujat ! C'est chose faite apparemment ;)
Ah ça fonctionne bien, ce lien entre les vœux d'avant et les voeux présents. On s'identifie très facilement à ton héroïne et on comprend ses envies.
Bravo à toi, et à bientôt ;-)
Ben, il n'a que ce qu'il mérite, d'avoir zappé une si belle ado !
On sent bien l'évolution de femme en retrait à femme affirmée.
Dommage pour les mecs !
Je lui souhaiterais bien bon courage avec les autres genres mais il se pourrait fort qu'elle ne trouve que ce qu'elle sème ?
De toutes façons, 2020, et alors ?
il y en a beaucoup des filles, des femmes qui pasent inaperçu aux yeux des hommes et oui dommage pour eux
J'aime beaucoup l'innocence qui en ressort.
Je suis une grande fan des happy end et on imagine assez bien la suite de ton histoire
Un joli moment de douceur merci !
oui j'avoue j'aime les happy ends et alors!