Murée seule dans mon silence,
Je laisse les larmes déguiser mes joues.
Personne ne peut comprendre
Ce que je ressens quand elles m'envahissent.
Vicieuse douleur, puissante colère.
Ces deux vipères s'entendent à merveilles
Dans le puzzle de ma tête.
Elles aiment jouer et tourner,
Hurler et frapper,
Leur corde enroulée autour de mon cœur.
Elles étouffent mon bonheur,
Ces satanées déesses des malheurs.
Tu as raison, on peut guérir en écrivant.
Celui-ci est le premier de la liste, si je ne me trompe pas ?
Il m'apparaît comme une début, la première pierre à l'édifice qui structure le recueil.
La clarté se fait une place dans les poèmes au fur et à mesure.
Mais maintenant que j'y pense, c'est l'inverse si celui-ci est le dernier.
J'espère que toute cette noirceur a trouvé un chemin vers une idée du bonheur, sa définition, ce qu'il signifie. Je crois qu'il est unique pour chaque personne. Chacun ayant sa propre définition, je suppose.
Merci pour cette poésie.
J'espère pouvoir en lire d'avantage dans le futur !
Clara
Passe une très belle journée !