L'oiseau du bonheur a bien deux ailes,
Alors pourquoi celui de l'amour ne serait-il pas deux elles ?
Est-ce par peur du jugement ? De la contamination,
Qu'on bannit depuis toujours leurs émotions ?
Des êtres comme toi et moi, animés par l'amour,
Mais pourtant insultés, violentés tous les jours.
Que leurs bouches soient hommes, femmes ou autre,
Elles ont le droit de s'unir autant que les vôtres.
Pourquoi n'ouvres-tu pas les yeux ?
Pourquoi t'obstines-tu à te distinguer d'eux ?
C'est parce qu'ils sont plus libres que toi, c'est ça ?
Eux au moins, ne s'enferment pas dans leurs idées comme toi,
Petit être façonné par la société, empli de haine et de jalousie,
Tu ne connais, ni le vrai désir, ni le sentiment d'être en vie
Parce que sache que l'humanité
Est nécessaire pour exister.
Fy
J'adore ce poème. Tu l'as travaillé avec soin et précision. Je l'aime beaucoup. Sans oublier que le thème est important. Tu as réussi à manier avec subtilité la rancœur et la douceur. C'est vraiment agréable.
J'ai cependant de petites remarques.
La première, il y a pour moi une critique trop ouverte qui casse un peu la magie de ton poème ici.
-> "C'est parce qu'ils sont plus libres que toi, c'est ça ?
Eux au moins, ne s'enferment pas dans leurs idées comme toi,"
Et la deuxième, pour moi, il n'y a pas de virgule entre "Parce que sache" et "que l'humanité".
De plus, nécessaire ne prend qu'un accent.
Voili voilou ! J'espère que mes petites remarques pourront t'aider.
Belle journée,
Trisanna.
Je vais voir si je peux un peu adoucir ces vers là.
Je prends volontiers tes remarques et m'en vais corriger ça ;)
Merci encore à toi, je vais me faire un plaisir de venir lire tes écrits (qui sont bel et bien dans ma PAL pleine à craquer depuis un bon moment ':)
Bonne continuation !
Fy