Caresses
Des vacances incomplètes
Trop longues pour un poète,
Mais peu m'importe
Grandir c'est voir défiler la route
Mon fardeau que je porte
Peu bien être oublier, le temps d un baiser
Avec la plus belle de toute.
Le vent, la mer et des instants de lumières
Traversant le ciel noir,
Éblouis mon esprit à croire que je manque d'aire
Mais sa me permet de Te voir.
Toi flamme d'un été trop long
Toi intouchable de part ta beauté,
Ce soir là tu étais à moi, un con-
-tournablement moi aussi, je t appartenais.
Pendu à tes lèvres
L'esprit en pleine mer,
J'étais juste emporté
Loin loin loin au large, loin de mes pensées
Car tes yeux étaient la réponse
La où les miens étaient la question.
Mais alors que t'ai je apporté ?