CATACLYSME

Par Oneiroy

Le problème se répand ;

 

Le sang qui bout

La tête qui tourne

Le pouls qui fait le saltimbanque

Les pensées qui tremblent et s’ébranlent.

 

Les murs, ces piliers vigoureux d’il y a un instant

S’étiolent en gémissant sous les craquements !

Et le sol, le support stupide qui maintenait les gens debouts

Se dérobe, fuyant, lentement, les heurts des gens fous.

 

Quel néant !

 

Le corps coule avec grâce dans le vide

Priant de ne pas voir la fin de la chute.

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