Chapitre 1

Notes de l’auteur : À partir du dialogue, Mira est celle qui raconte l'histoire.

La chatte en question jouait avec sa pelote de laine, car bien qu'étant une jeune fille, elle avait l'esprit partagé avec son humanité et son côté animal. Maintenant, elle laissait le côté animal prendre le contrôl. Elle n'avait pas de maître, pas d'attache,rien. Mais elle était libre. Rien que ce mot lui faisait des frissons de plaisirs le long de son échine. Elle se promenait du haut de ses pattes dans la rue, suivant sa pelote. Le fil jaune se déroulait dans sa grande ville au bord de la mer. Elle n'aimait pas beaucoup cette ville, elle aurait préféré habiter dans les bois, mais elle devait se meler au humains pour sa mission. Et surtout, vivait ici-là la seule personne qui connaissait son sercret et qui vivait pareil qu'elle. Libre, sans attache. Mira pensait elle, qui pouvait se comparer à une amie, ou presque.Elle suivait le fil jaune comme si il était le fil de se pensées,  le parcourant de la même manière.

-Mira!

Lucile arriva en trombe devant elle,lui disant:

-Vite, aide-moi! Je me bagarrais dans une taverne, et la police arrive pour mettre en garde à vue tout ce qui "mettent du trouble dans le quartier"!

-Tu parle au chats, maintenant? On devrais peut-être t'interner en un hopital spécialisé dans la démence, tu ne crois pas? fit le policier d'un ton moqueur

Je tournais le dos à Lucile, comme si je n'avait rien compris, puis dans l'angle du bâtiment le plus près, où on ne me voyais pas, je pris ma pelote, la transforma en une cage dorée pouvant acceuillir un homme de la stature du policier, et la lacha sur lui. Elle n'étais pas très solide, mais il mettrait du temps à la casser. Lucile me rejoigna, et je lui dis:

-Je pars en forêt. On se reverra bientôt, j'espère.!

-Quoi? Tu me laisse seule?

-C'est sûr que tu as besoins d'une chatte pour te tirer d'affaire, lui dis-je d'un ton moqueur.

-C'est ça, laisse moi, abandonne moi! Laisse moi dépérir dans un coin, surtout, ne m'aide pas, ne me parle pas! Tu devrais utiliser ta salive pour parler à des gens important, pas comme moi!

-Je vois que tu est d'humeur lyrique, aujourd'hui! dis-je d'un ton sarcastique

Ce  fûrent les derniers mots que j'adressais avec Lucile.

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Callie
Posté le 12/03/2024
C’est doux comme début. Ta fin me donne très envie de connaître la suite. La note de l’auteur sert réellement parce que c’est perturbant en effet de passer d’un narrateur à l’autre si on ne le sait pas mais avec la note, ça va !
Puis-je te demander pourquoi ce choix de changement ?
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