Chapitre 1

Notes de l’auteur : Salut à tous. ceci est le premier roman que je publie. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé la lecture et l'écriture. La plus part des histoires que j'écris ne sont que la représentation de mes sentiments et je me limitais à les écrire dans mon cahier d'écriture. Aujourd'hui je décide de faire le grand saut et de publier mon premier roman. J'espère qu'il vous plairas, comme il m'a plu de l'écrire.

  La vie est une suite de moment, de bon comme de mauvais. Une vie ne se résume pas uniquement aux nombre d'années ou au nombre d'acte accomplie. On ne peut pas dire avoir vécu du simple fait d'avoir été la personne la plus puissante, la plus riche, la plus désiré et convoitée ou la plus chanceuse. On peut prétendre avoir vécu que lorsqu'on a faits ce qu'il fallait, lorsqu'on a dit tout ce que l'on avait à dire et que l'on a su s'entouré de personne qu'on aime et qui nous aime en retour, quand on a su profité de chaque moment avec eux en se créent beaucoup de souvenir. C'est alors là qu'on peut prétendre avoir vécu. Et lorsque vient le moment de partir, on réussit à le faire sans problème, partant le cœur léger, sans regret et sans remord. Sachant que tout a été fait, que tout a été dit et que tout ira bien même après notre départ.

Mais le plus dur dans tout ça, c'est pour celui qui reste, celui qui se sépare à jamais de l'être aimé le cœur lourd et remplis de non dis.

Quand on perd une personne qui nous ait cher, la séparation fait toujours mal, se dire qu'on ne reverra plus cette personne, qu'on n'entendra plus jamais sa voix, son rire, ses taquineries, qu'on ne pourra plus jamais sentir la chaleur de son corps contre le nôtre...qu'on ne pourra plus nous disputer avec elle. Et c'est là que tout devient amer. C'est là qu'on se blâme de notre comportement envers se t'être perdu et que tout autour de nous devient fade. Tout ce qui avant nous donnais envie, soudainement n'a plus aucun gout et qu'un vide incommensurable prend naissance dans notre cœur, dans notre âme. Ce qui rend cela plus douloureuse ce sont les mots que l'on n'a pas su dire, des choses que l'on n'a pas su faire, des sentiments qui sont resté enfuit au fond de nous et qui n'ont jamais trouvé l'occasion de traverser nos lèvres et de tous ces plans d'avenir qui ne verront jamais le jour. Et on se rend compte à quels points on n'était chanceux d'avoir cette personne dans nos vies. On ne souhaite qu'une seule chose, la revoir. Avoir l'occasion de lui dire au revoir comme il se doit et balayer du revers de la main tous les mauvais moments et ne garder que les meilleurs. Car le temps perdu à se disputer ne reviendra plus jamais.

Tout ça je l'ai compris quand j'ai perdu ma mère. Quand je me suis rendu compte de la dure réalité de la vie. Quand j'ai finalement compris que je ne la rêverais plus jamais. Mais pourtant je croyais mettre préparé depuis ce jour où j'ai appris qu'elle allait mourir. Depuis ce jour ou mon monde c'est effondré. Ma mère m'a aider à l'accepter comme elle l'avait fait et à surmonter tout ça quand elle ne sera plus la et pourtant, je suis dévasté comme quand je l'était en apprennent cette triste nouvelle et même plus, je me rappelle encore des mots qu'elle avait employé pour me rassuré ce jour la '' tu sais Lou, tout cela fait partir du cycle de la vie, les gens naissent, grandissent, se reproduisent et finissent par mourir '' avait-elle dit en caressent mes cheveux alors que j'avais la tête poser sur ses genoux, assise dans sa chambre éclairé par la faible lumière de la lune, et après avoir effacé maladroitement mais avec toutes la tendresse du monde une larme qui perlait sur ma joue, elle avait repris ''il y a des gens qui ont la chance de vivre longtemps et d'autre qui sont arraché à cette vie sans avoir le temps de dire au revoir à ceux qu'ils aimes. Mais moi j'ai la chance de pouvoir passé les derniers moments de ma vie avec la personne que j'aime le plus au monde et de lui dire au revoir comme il faut. '' A ce souvenir, mes larmes redouble d'intensité.

J'ai mal, mal de regret, mal de remord, mal parce que je n'ai pas su lui dire à quel point je l'aimais, parce que je n'ai pu l'aider comme je l'aurai voulu. Parce que je lui ai rendu la vie impossible. Il fut un temps je la jugeais et la rendais responsable de tous les malheurs du monde, alors qu'elle m'aimait et continuait à prendre soin de moi. Je souffre parce que durant tout ce temps je n'ai pas su qu'elle souffrait à en mourir, et maintenant je me retrouve toute seule sans famille. Je n'ai jamais connu mes grands-parents, tout ce que je sais d'eux, c'est ce que ma mère a bien voulu me dire d'eux. Et en ce qui concerne mon père c'est la même chose, et c'est l'une des raisons pour laquelle ma mère et moi, nous nous disputions souvent avant. Elle ne m'a jamais caché l'identité de mon père parce qu'elle voulait que je l'aime comme s'il avait toujours été là, et ce fut le cas. Je n'ai jamais détesté mon père parce qu'il avait abandonné ma mère et moi parce qu'elle m'avait dit que leur relation était un peu compliquée et qu'il ne savait pas qu'elle était enceinte quand ils se sont séparé. Elle me parlait tellement d'eux que j'avais l'impression de l'avoir vécu avec eux.

Ma mère était une bonne personne, au cœur tendre et au sourire angélique. Elle a toujours été là pour moi et m'a soutenu peu importe le choix que je faisais. Elle était ma meilleure amie, et était comme une sœur pour moi. Elle m'a toujours écouté sans jamais me jugé, conseillé sans jamais m'imposé ses avis, protégé sans jamais m'étouffé, puni sans jamais me blessé, aimé de manière inconditionnelle sans jamais me haïr, même si elle avait toutes les raisons du monde pour. Le souvenir de ma mère me racontant son passer douloureux me revient à l'esprit et je le laisse m'envahir sans protester

FLASH-BACK

Assise sur un banc dans le parc les yeux rivé dans le vide, je sens une personne prendre place à côté de moi. Je n'ai pas besoin de tourné la tête car à l'odeur de cette personne, je sais déjà que c'est ma mère, une fraîche odeur de noix de coco qui a toujours su m'apaisé.

- « Je savais que je te trouverai ici » Dit-elle pour lancé la conversation. Mais je ne réponds pas, n'ayant pas la moindre envie de conversé avec elle.

- « Tu aurais dut prendre un manteau avant de sortir de la maison, avec ce froid tu risquerais de tombé malade » Continu telle sur un ton de reproche.

Je ne dis rien et continu à fixer un point invisible devant moi.

- « Lucretia » souffle telle en voyant que je choisi le silence pour toute réponse.

Je sais que j'exagère un peu et que j'agis comme une gamine mais si c'est le seul moyen pour obtenir ce que je veux, alors soit. Elle se tourne vers moi puis prend mon menton entre ses doigts tendrement pour m'obliger à la regardé. Quand mon regard croise le tien, je peux y lire des reproches, et du mécontentement. Je sais quelle aurait préféré resté à la maison au chaud plutôt que dans ce froid infernale et moi aussi d'ailleurs, mais j'ai besoin de savoir pour mieux comprendre ses choix. Ma mère souffle à nouveau puis me sourit tendrement avant d'enlever sa main de mon menton.

- « Très bien jeune fille, puisque tu ne comptes pas lâcher l'affaire. Mais ce ne sera pas sans représailles. » Termine t'elle le regard plein de détermination.

- « Sérieusement » Soufflai-je à mon tour

- « Oui » Affirme-t-elle. « Corvée vaisselle pendant une semaine pour être sortie sans permission, privé de sorti pendant deux semaine pour avoir osé lever le ton sur ta mère et privé de dessert pour mon plaisir personnel. » Termine-t-elle le sourire au lèvre. Je la regarde incrédule n'étant pas sûr de l'avoir bien n'entendu. « C'est bon pour toi ? »

- « Quoi !!! mais t'exagère maman tu ne peux pas faire ça » Répondis-je sidéré par ses propos. Des fois elle exagère beaucoup trop. C'est vrai que je lui ai un peu crier dessus mais c'était sous le coup de la colère, mais de là à me privé de dessert...

- « Bien sûr que je peux le faire, je suis ta mère. L'une des avantages d'être une adulte accomplie. » souri-t-elle

- « C'est injuste, j'ai le droit de savoir qui est mon père et d'apprendre à le connaitre même si ce n'est qu'à travers tes récits » Dis-je la voix tremblante d'émotion. Je ne connais pas mon père parce que lui et ma mère se sont séparé alors que je n'étais pas encore né. Tout ce que je sais c'est que ma mère et lui s'aimaient énormément mais que leur amour était interdit et impossible.

- « Très bien, tu as le droit de savoir » dit-elle en fixant la paume de sa main.

Je la regarde attentivement attendent quelle ne commence à parler. Elle se mord l'intérieur de la joue, signe quelle cogite sur quelque chose, et l'idée qu'elle retire ma punition et me laisse manger ne serait-ce que le dessert me fait sourire.

- « Mais ce n'est pas pour autant que j'enlève la punition » Termine-t-elle en mettant fin à ce petit espoir qui venait de naitre en moi.

Je savais que c'était trop beau pour être vrai, mais pourtant ce n'était pas mal d'avoir espéré, au moins j'y ai cru jusqu'au bout. Elle souffle comme pour ce donné du courage

- « Tu peux le faire » Lui dis-je avec une voix remplie de certitude. Pour toute réponse je n'ai droit qu'à un regard noir me rappelant que c'est de ma faute si elle se retrouve dans une telle situation.

- « Ton père était un homme bon. Son nom est Henry Peterson. C'était la personne la plus gentille, la plus tendre, l'homme le plus véridique et le plus insolent qui m'était donné de rencontré. Il avait un charme fou et un sourire ravageur. » Commence-t-elle le sourire au lèvre et le regard perdu dans ses souvenir. A la voir on dirait qu'elle revit ce moment avec tant d'émotion.

- « Il était le seul à part mes parents à me dire mes quatre vérités en face sans avoir peur de se retrouver défigurer » rit ma mère plonger dans ses souvenir. « Je l'aimais et lui aussi m'aimait. Il était prêt à tout pour me rendre heureuse et pour que nous ne nous séparions jamais. Mais notre amour était interdit, voir même impossible...parce qu'il était marié et avait des enfants. Et même en sachant qu'il avait une famille et un future dans lequel je n'avais pas ma place, je ne pouvais m'empêché de l'aimé et de m'imaginer avec lui, fondant une famille heureuse et lui non plus n'y arrivait pas. A cette époque, j'étais prête à tout pour être avec lui, quitte à devenir sa maîtresse. Il était le seul homme qui m'attirait, le seul auprès de qui je me sentait comblé, complète et en sécurité. » Elle souffla un long coup, garda le silence pendant quelques secondes puis repris :

- « Quelque mois après j'ai eu la visite d'une femme très élégante mais au regard froid qui contrastait avec son sourire angélique. Cette femme était la mère d'Henry. A son regard je pouvais savoir qu'elle ne m'aimait pas et c'était réciproque parce que je d'étatisait qu'on me prenne de haut et c'était exactement tout ce qu'elle faisait. Elle m'insupportait et je ne manquais jamais de lui faire remarquer. Je n'étais pas le genre de personne qui se laissais intimider et ce n'était pas parce qu'elle est la mère de l'homme que j'aime que j'allais me rabaisser à jouer l'hypocrite pour lui plaire. Elle m'a clairement fait comprendre et sans détour qu'elle ne voulait plus que je m'approche de son fils et que je n'étais rien d'autre qu'un passe-temps et qu'il se lasserais après un certains temps. Même si je savais qu'elle disait cela pour me blessé, une partie de moi la croyais sans que je ne le veuille, elle disait que je n'étais qu'une fille de fermier, ce qui n'était pas faux et que Henry ne pourra jamais quitter sa femme pour moi, que je l'empêchais de vivre sa vie et que si je ne le quittais pas j'allais détruire toute une famille. Elle disait que j'allais finir blessé et que j'allais faire souffrir des personne innocentes. Elle m'a craché pleins de chose indigne à la figure, menacent par la même occasion ma famille avant de s'en aller sans manqué de me jeter un regard empli de dégoût et de supériorité. » Elle baissa la tête un moment et prit une grande inspiration avant de continuer.

« Pour la première fois depuis des années j'ai laissé de tels paroles me toucher, parce que dans tout ce qu'elle venait de dire, il y avait une part de vérité. J'allais détruire toute une famille par pure égoïsme et je ne pourrais pas vivre heureuse et fonder une famille en sachant que j'en ai détruit une ; et je ne peux m'empêcher de me m'être à la place de la femme d'Henry et de me demander ce que je ressentirais si l'homme que j'aimais en aimait une autre et prévoyais de fonder une nouvelle famille. Après avoir réfléchit un long moment, j'ai décidé d'oublier Henry et de le laissé vivre sa vie comme sa mère ma l'a si gentiment demandé, pensant que c'était le mieux à faire. Le lendemain je suis aller à l'hôpital parce que mes nausées ne cessaient pas, pensent que c'était une indigestion ou quelque chose du genre. Au final j'étais enceinte, j'attendais un enfant d'Henry et sur le moment, tout ce que je voulais c'était de lui dire. En rentrent à la maison, je cherchais le meilleur moyen de l'annoncé à mes parents mais il n'y avait pas de meilleure moyen pour annoncer à mes parents que j'étais enceinte alors que je n'étais pas marié, ni fiancé. Après mure réflexion, j'ai décidé de l'annoncer d'abord à Henry balayant du revers de la main ma décision de la veille. Il se passa deux jours sans que je n'ai aucune nouvelle de Henry et tout ce que j'ai reçu au final était une lettre de lui me demandant de l'oublier et de passé à autre chose, qu'il devait prendre ses responsabilités et se concentré sur sa famille. Après ça tout a empiré, mes parents on appris que j'étais enceinte et on voulut me marier au premier venu alors j'ai fuis, je suis parti le cœur meurtri par la trahison de Henry et son indifférence. Il n'a jamais su que j'étais enceinte de lui. Je suis parti gardant au fond de moi les souvenir de ces moments passés à ces coté » Termine-t-elle les yeux larmoyant en remplis d'émotion. A la voir, à l'entendre on peut sentir sont amour pour Henry que le temps n'a pas ébranlé

Et sur le coup je m'en veux de lui avoir forcé la main

- « Je suis désolé maman je n'aurai pas du... »

- « Non c'est à moi de m'excusé de ne t'avoir rien dit sur ton père » me coupe-t-elle avec un sourire bienveillant.

- « Aller rentrons... » commence-t-elle en se levant. « Je ne sens plus mes membres » dit ma mère en me tendant la main pour m'aider à me lever m'offrant par la même occasion son plus beau sourie. Un sourire que je lui rends en prenant sa main.

- « Et dire que je vais manger à moi toute seule une tarte au chocolat en rentrant à la maison » Dit-elle pour me narguer avec un sourire suffisant sur les lèvres.

Pour toute réponse, je lui lance un regard noir qui a pour effet de la faire rire au éclat. Je la suis dans son fou rire puis nous rentrons à la maison dans la bonne humeur.

FIN DU FLASH-BACK

 

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