Chapitre 1

Dans ma vie, qui est en faite très courte, je me suis souvent posé des questions :

Pourquoi on se dispute avec ses meilleures amies ? Pourquoi on aime des personnes qui ne nous rendent pas notre amour ? Pourquoi on ne tombe pas sur l'âme sœur  la première fois, à la place de souffrir ? Pourquoi on se fait remarquer par des personne qu'on déteste et pas celle qu'on aime ? Pourquoi on n'est pas dans un monde de bisounours ? Pourquoi la vie est injuste ? Pourquoi doit-on souffrir ? Pourquoi doit-on pleurer ? Pourquoi doit-on souffrir de froid ? Pourquoi neige t il ? Pourquoi il y a quatre saisons ? Pourquoi doit-on essayer de survivre en vendant des allumettes alors que des personnes se baignent dans des dollars ?

C'est ce que je me demande à ce moment dans la nuit froide et enneigé. Pourquoi j'essais de vendre un paquet d'allumettes à des personnes qui s'en fiche royalement ? Pourquoi ?

Je m'approchai des gens timidement en leur demandant s'ils veulent acheter des allumettes. Le premier me repousse en râlant dans sa barbe, la deuxième au bonnet rose fluo et à l'écharpe blanche comme la neige m'ignore, le troisième, un garçon d'environ une douzaine d'année m'insulte de ces vilains mots comme le disait ma mère chérie, le quatrième me pousse dans la neige. Je frisonne. Avec seulement une vielle robe marron déchirée sur les épaules, la neige me donne une claque de fraicheur. J'ai l'impression qu'elle m'attaque avec cette sensation de mourir à la seconde où ton corps touche le sol.   Je ne peux, et ne veux, plus vivre ainsi !!! Je n'ai pas envie de souffrir et d'essayer de survivre. Je n'ai plus envie de vivre. Quelle est l'intéret ?   

 Je me relève. Je regarde ce petit paquet d'allumette dans ma main qui se demande ce qu'il va devenir.  J'ai une brulante envie de l'ouvrir et d'allumer, l'une après l'autre, les allumettes pour me réchauffer.  Mais après ces quatre allumettes qui me donneraient de la chaleur, le froid reviendrait. Et je mourrais.  Peut-être, quand faite, je ne veux pas mourir.  Peut-être que je veux vivre seulement pour me venger de toutes ces personnes qui aurait pu me donner quelques pièces et dollars pour que je puisse me nourrir et m'habillé convenablement.  Mais non. Ces sales égoïstes ne pensent qu'a eux. J'ai trouvé une nouvelle question : Pourquoi le monde est rempli de sale égoïste ?

Soudain, un monsieur aux longs manteaux me bouscule. Ra...  Ne t'excuse surtout pas ! Tout à coup, une idée me vient. Et si je brulai son manteau avec mes allumettes ? Ma vengeance serait elle arrivé ? Enfin !!! Je me lève une deuxième fois,  pleine d'envie de me vengeais, même si je risque de perdre la vie après avoir utilisé mes dernières allumettes. L'envie de vengeance est supérieure à tous autre sentiment...

Je me mets à courir après le monsieur aux longs manteaux. Je pousse les gens, me faufile... Je me retrouve souvent à terre mais mon envie de faire cramer ce manteau de l'homme me fait relever chaque fois.  Le vent fait fouetter mes cheveux blonds contre mon visage. J'y arriverai. Je cramerai ce  long manteau gris qui est même assez laid.

Le monsieur aux cheveux gris, la même couleur que son manteau, tourne soudain dans une rue plus petite. Il  s'arête soudain. Je crois qu'il fume une cigarette. Celle qui te tue les poumons.  Je m'approche doucement de lui.  Alors que je suis encore à quelques mètres de lui, j'ouvre la boite d'allumettes et en sort une. M'approchant de plus en plus en essayant de ne pas faire de bruit  en faisant attention de ne pas faire craquer la neige sous mon poid, je fixe son horrible manteau et tient bien en main ma boite d'allumettes et une du paquet. 

Je ne suis qu'a quelques centimètres et je vais gratter cette satanée allumette quand une voix douce me dit :

-          Que fais-tu ?

Je me retourne, l'allumette et la boite toujours à la main. Devant moi se tient une jeune femme à la peau de couleur ébène et aux cheveux court et très frisé.  Elle a des grands yeux noirs avec de magnifiques cils allongés au mascara.  Son visage est fin et son nez est comme une petite bosse au centre de son visage. Ses lèvres foncées sourient et ses yeux sont pleins de sympathie et bienveillance.  Elle n'est pas magnifique mais sa bonté, qu'on aperçoit, la fait rendre d'une beauté divine.

-          Que fais-tu ? répète-t-elle d'une voix chantante

-          Je...je...

Elle m'observe avec ses grands yeux et me détaille de la tête aux pieds. Son regard me pénètre. Je vois quelle bloque un peu sur l'allumette et le boite.  La femme aux cheveux frisés me dit :

-          Tu dois avoir froid avec cette robe toute déchiré...  Tien mais le.

Elle me tendit son manteau noir qui est beaucoup plus beau que celui du monsieur. Je me retourne vers là où se trouvait mon ennemi. Il n'est plus là. Il est parti.  Je me retournd à nouveau vers la femme qui doit avoir environ 24 ans et qui me met son manteau noir. Oh... La chaleur m'assaillit. Je n'ai pas l'habitude. C'est la meilleure chose qui me soit arrivé depuis plusieurs mois.

-          Je m'appelle Elora, me dit la femme, et toi ?

-          Lucie, dis-je d'une voix basse

-          Enchanté Lucie ! dit-elle d'une voix énergique

-          Moi aussi...

Elle me prit dans ses bras. Cela fait tellement de temps que ça ne m'est pas arrivé... Maintenant  deux mois que je suis seule. Deux mois que je n'ai plus personne.  L'entrainte d'Elora me fait le plus grand bien.  Elle s'éloigne de moi et me dit, hésitante :

-          Lucie, j'ai une petite maison dans un lotissement et dedans il y a de la nourriture, des vêtements et tous ce que tu voudras.  Tu pourrais venir et...

-          Combien de temps ? je demande en lui coupant la parole

-          Autant que tu voudras.

-          C'est vrai ?

-          Oui, me dit-elle en souriant

On partit toute les deux vers les grands lotissements. Elora me fait rentrer dans une maison semblable aux autres mais... c'est une maison !!!! Des murs peints de couleurs vives et de petits canapés  sont à l'intérieur. Sur ces dernier se trouvent deux enfant : une jeune fille qui ressemble à Elora comme sa jumelle mais qui est bien plus jeune et un garçon qui a lui aussi la peau ébène mais pas autant que ma sauveuse. Ils me regardent avec les yeux grands ouverts, étonnés de voir une inconnue rentré chez eux. Chez moi maintenant   J'étais rentré dans le lieu qui a marqué ma nouvelle vie...

*

1 an plus tard, le soir du réveillon

Je vis maintenant avec Elora depuis un an. Nous sommes 5 enfants chez elle. C'est énorme mais Elora est une femme au grand cœur. Quand je suis arrivé, il y avait deux enfants : Julie, sa fille de sang qui lui ressemble comme une goutte d'eau, et Enzo, le fils de son frère décédé. Ils sont tous les deux sympathique grâce à l'éducation d'Elora. Deux semaine après mon arrivé, une fille est arrivé.  Elle s'appelle Anais et me ressemblait énormément avec le même problème à s'adapter à cette nouvelle vie. Car, elle aussi, elle vivait dans les rues enneigées en vendant de tous et de rien.  Anais à des cheveux roux et de grands yeux bleus foncé avec un cercle argenté autour. Elle a un visage fin et un nez droit.  Quelques mois après mon arrivé, deux ou trois peut être même quatre , un autre est arrivé. Un garçon cette fois. Il s'appelle Tom et lui est un orphelin qui a perdu sa mère et son père. Il a un visage très enfantin avec des grosses joues. Ses yeux sont verts et il a des cheveux noirs corbeaux ou jais, je ne sais pas. Il est assez petit alors qu'il a quinze ans. Elora a eu pitié et... voilà

Ce jour là, le soir du réveillon, je me balade dans les rues rempli de monde. Habillé d'une joli robe blanche et ayant un petit sac à main jaune, je déambule. Pourquoi me dépêcher ? J'ai le temps. Alors que je rêvassé, je vois à quelques mètres de là... une petite fille d'une dizaine d'années, donc deux ans de moins que moi, qui me ressemble énormément ! Les même cheveux blonds, les même yeux  marrons noisette, le teint blafard, des cernes de plusieurs jours,  une robe déchiré toute les deux... sauf que la sienne est verte.  Et elle ne vend pas d'allumettes mais la petite fille est recroquevillée sur elle-même. Je m'approche doucement d'elle pour ne pas l'effrayer.  Elle me voit m'avancer vers elle et me fixe, craintivement de ses yeux marron noisette. Je lui chuchote des paroles douces et lui dit que je ne veux pas lui faire de mal. Le fait que je sois encore un enfant doit la rassurer. Ou pas.  Je continue de m'avancer vers elle. Arrivé, je me mets à genoux et la regarde en souriant.  J'ouvre mon petit sac à main jaune et y sort mon petit portefeuille lavande et l'ouvre. A l'intérieur se trouve 35 dollars.

Alors que j'allais prendre un dollar et lui donner, je me rendis compte d'un truc.  Toute cette argent, qui est mon argent de poche, je les gardé pour une poupée. Une magnifique poupée bronzée à la peau ébène, comme Elora, et aux yeux noirs. Habillée d'une magnifique robe rouge, elle me donne envie depuis des mois. Elle vaut quarante dollar.  Mais quel est le plus important : une poupée magnifique ou le fait qu'une petite fille pourra se nourrir, s'habiller convenablement et d'autre chose. Je referme le portefeuille blanc et le tendis à la petite fille blonde. Celle-ci, d'abord étonné, le prit. Je fouille ensuite au fond de mon sac et ressort un objet. Une boite d'allumette avec un dessin représentant une femme à la peau noire et aux cheveux courts et frisé. C'est un objet rare. J'ai regardé s'il y en avait d'autre avec ce dessin et je n'en ai vu aucune. Elle est là depuis un an et attend paisiblement. Je ne m'en suis jamais servi. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être que je suis trop attaché mais maintenant quelqu'un en a plus besoin que moi.

Je me relève et donne un dernier sourire à la fille aux yeux marron noisette.  Je m'éloigne d'elle, me retournant de temps en temps  pour l'observer, me prenant un homme au long manteau gris au passage, et je me promets que j'en parlerais à Elora. Si elle veut la recueillir, je la chercherai jusqu'à en mourir de fatigue.   

 

Je jure petite fille. Je reviendrais te rechercher. 

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Fannie
Posté le 18/01/2017
Coucou Sarah,
Au premier abord, j’ai eu l’impression que tu avais écrit une série de questions par manque d’inspiration, comme pour t’échauffer et mettre en route la machine.<br />Finalement, je me dis que ces questions peuvent tout à fait constituer une introduction à ton récit. (Il y a juste celle à propos de l’âme sœur qui ne me paraît pas tellement convenir à une fillette.)<br />Tu es la seule à avoir écrit à la première personne et je trouve que c’est une bonne idée.<br />L’évolution de Lucie aussi est intéressante. D’abord malmenée, puis révoltée, elle s’apprête à déverser toute sa colère et sa rancune sur l’homme au long manteau, qui est vraiment un mufle. Mais elle est interrompue par l’intervention providentielle d’une femme dont la gentillesse neutralise ses mauvais sentiments. Après avoir été accueille dans cette famille, elle a envie de rendre un peu de ce qu’elle a reçu et elle sacrifie son rêve d’avoir une belle poupée pour aider une fillette qui lui rappelle ce qu’elle était avant.<br />Mettre en scène une femme noire qui recueille des enfants blancs va à l’encontre de tous les préjugés et je suis très contente de cette distribution des rôles dans ton histoire.<br />C’est un charmant récit dans l’esprit de Noël. J’aime bien cette fin sous forme de promesse.
Coquilles et remarques : <br />- Dans le premier paragraphe, je ne comprends pas pourquoi tu écris certaines questions avec l’inversion du verbe et du sujet, et d’autres sans.<br />- Dans ma vie, qui est en faite très courte, [en fait]<br />- Pourquoi on se fait remarquer par des personne qu'on déteste et pas celle qu'on aime [des personnes / et pas par celle qu'on aime]<br />- Pourquoi doit-on souffrir de froid [du froid]<br />- Pourquoi neige t il ? [Pourquoi neige-t-il ?]<br />- C'est ce que je me demande à ce moment [en ce moment]<br />- dans la nuit froide et enneigé [enneigée]<br />- Pourquoi j'essais de vendre [j’essaie]<br />- à des personnes qui s'en fiche royalement [qui s’en fichent]<br />- Je m'approchai des gens timidement en leur demandant s'ils veulent acheter des allumettes [concordance des temps : Je m’approche]<br />- un garçon d'environ une douzaine d'année m'insulte [d’années / une douzaine est déjà une approximation ; environ une douzaine est un pléonasme]<br />- Je frisonne. [Je frissonne]<br />- Avec seulement une vielle robe [vieille]<br />- J'ai l'impression qu'elle m'attaque avec cette sensation de mourir à la seconde où ton corps touche le sol. [Pourquoi « ton corps »? Cette phrase n’est pas très claire.]<br />- Quelle est l'intéret ? [Quel est l'intérêt ?]<br />- ce petit paquet d'allumette [d'allumettes]<br />- Peut-être, quand faite, je ne veux pas mourir [Peut-être qu’en fait, je ne veux pas mourir]<br />- de toutes ces personnes qui aurait pu me donner quelques pièces [qui auraient pu]<br />- pour que je puisse me nourrir et m'habillé convenablement [m’habiller]<br />- J'ai trouvé une nouvelle question : Pourquoi le monde est rempli de sale égoïste ? [Il faut mettre une minuscule après les deux points / rempli de sales égoïstes]<br />- Soudain, un monsieur aux longs manteaux me bouscule [au long manteau]<br />- Ra...  Ne t'excuse surtout pas ! [Je ne comprends pas le « Ra... »]<br />- Et si je brulai son manteau avec mes allumettes ? [Et si je brulais]<br />- Ma vengeance serait elle arrivé ? [serait-elle arrivée]<br />- pleine d'envie de me vengeais [de me venger]<br />- L'envie de vengeance est supérieure à tous autre sentiment…[tout autre]<br />- Je me mets à courir après le monsieur aux longs manteaux [au long manteau]<br />- mais mon envie de faire cramer ce manteau de l'homme me fait relever chaque fois. [« le manteau de l’homme » plutôt que « ce manteau de l’homme » ou alors simplement « ce manteau » / me fait me relever]<br />- Il  s'arête soudain [ Il s’arrête / il y a déjà « soudain » dans la phrase précédente. Je propose « subitement »]<br />- j'ouvre la boite d'allumettes et en sort une [sors]<br />- M'approchant de plus en plus en essayant de ne pas faire de bruit  en faisant attention de ne pas faire craquer la neige sous mon poid, je fixe son horrible manteau et tient bien en main ma boite d'allumettes et une du paquet [Je propose : « M'approchant de plus en plus en essayant de ne pas faire de bruit et en faisant attention de ne pas faire craquer la neige sous mon poids, je fixe son horrible manteau et tiens bien en main ma boite et mon allumette »]<br />- Je ne suis qu'a quelques centimètres [qu’à]<br />- Elle a des grands yeux noirs avec de magnifiques cils allongés au mascara [« de grands yeux noirs » conviendrait mieux]<br />- Son visage est fin et son nez est comme une petite bosse au centre de son visage. [Je propose : « Son nez forme une petite bosse au centre de son visage aux traits fins. »]<br />- Ses lèvres foncées sourient et ses yeux sont pleins de sympathie et bienveillance. [Je propose : Ses lèvres foncées sourient, ses yeux sont pleins de sympathie et de bienveillance]<br />- Elle n'est pas magnifique mais sa bonté, qu'on aperçoit, la fait rendre d'une beauté divine. [Je propose : « Elle n'est pas magnifique mais sa bonté, qu'on aperçoit, lui confère une beauté divine. »]<br />- Je vois quelle bloque un peu sur l'allumette et le boite [qu’elle / la boite]<br />- Tu dois avoir froid avec cette robe toute déchiré...  Tien mais le [déchirée / Tiens, mets-le]<br />- Elle me tendit son manteau noir [Concordance des temps : elle me tend]<br />- Je me retourne vers là où se trouvait mon ennemi [vers l’endroit (ou le lieu) où se trouvait (...)]<br />- Je me retournd à nouveau vers la femme qui doit avoir environ 24 ans [retourne / 24 ans est un âge précis ; je suggère : « qui doit avoir environ vingt-cinq ans ». C’est mieux d’écrire les nombres en toutes lettres, sauf s’ils sont vraiment longs.]<br />- C'est la meilleure chose qui me soit arrivé [arrivée]<br />- Enchanté Lucie ! dit-elle d'une voix énergique [Enchantée, Lucie ! / il manque le point à la fin]<br />- Elle me prit dans ses bras. [Elle me prend ; concordance des temps]<br />- Maintenant  deux mois que je suis seule. [Si tu veux composer une phrase sans verbe, « Deux mois maintenant que je suis seule » est plus clair.]<br />- L'entrainte d'Elora me fait le plus grand bien [l’étreinte]<br />- des vêtements et tous ce que tu voudras [tout ce que (...)]<br />- On partit toute les deux vers les grands lotissements [on part (concordance des temps) / toutes les deux]<br />- Elora me fait rentrer dans une maison semblable aux autres mais... c'est une maison !!!! [Elle entre dans une maison et s'étonne que ce soit une maison ?? / « entrer » conviendrait mieux que « rentrer ».]<br />- Des murs peints de couleurs vives [en couleurs vives]<br />- Sur ces dernier se trouvent deux enfant [ces derniers / deux enfants]<br />- une jeune fille qui ressemble à Elora comme sa jumelle mais qui est bien plus jeune [Si elle n’a pas le même âge, elle ne lui ressemble pas comme sa jumelle. Et si c’est une jeune fille, ce n’est plus une enfant. Il faudrait dire quelque chose comme « une fille(tte) qui a le même visage qu’ Elora, mais en beaucoup plus jeune»]<br />- étonnés de voir une inconnue rentré chez eux [Il faudrait écrire « entrer » au lieu de « rentré »]<br />- Chez moi maintenant   J'étais rentré dans le lieu qui a marqué ma nouvelle vie… [Je propose : « Chez moi, maintenant. Je venais d’entrer dans le lieu qui a marqué le début de ma nouvelle vie… »<br />- 1 an plus tard, le soir du réveillon [un an]<br />- Nous sommes 5 enfants chez elle [cinq]<br />- Quand je suis arrivé, il y avait deux enfants [arrivée]<br />- qui lui ressemble comme une goutte d'eau [On ne peut pas le dire ainsi. L’expression est « se ressembler comme deux gouttes d’eau » en parlant d’au moins deux personnes. Je crois qu’il faut employer une périphrase du genre « qui semble être sa réplique en miniature ».]<br />- Ils sont tous les deux sympathique grâce à l'éducation d'Elora [sympathiques]<br />- Deux semaine après mon arrivé, une fille est arrivé [Deux semaines après mon arrivée / est arrivée. Pour éviter la répétition, je propose « Deux semaine après ma venue »]<br />- Elle s'appelle Anais et me ressemblait énormément avec le même problème à s'adapter à cette nouvelle vie. [Je propose : « Elle s'appelle Anaïs et me ressemble énormément, avec la même peine (ou difficulté) à s'adapter à cette nouvelle vie. »]<br />- elle vivait dans les rues enneigées en vendant de tous et de rien [de tout et de rien]<br />- de grands yeux bleus foncé [bleu foncé ; les adjectifs composés de couleur sont invariables]<br />- Quelques mois après mon arrivé, deux ou trois peut être même quatre [ mon arrivée / peut-être / il faut ajouter une virgule après « trois »]<br />- Il s'appelle Tom et lui est un orphelin qui a perdu sa mère et son père [C’est redondant : s’il est orphelin, c’est qu’il a perdu ses parents. Je suggère . « Il s'appelle Tom et il est orphelin » ou « Il s'appelle Tom et il a perdu ses parents »]<br />- il a des cheveux noirs corbeaux ou jais, je ne sais pas [noir corbeau (les adjectifs composés de couleur sont invariables) ou noir de jais (le noir de jais est intense, profond et brillant)]<br />- Elora a eu pitié et... voilà [il manque le point à la fin]<br />- Ce jour là, le soir du réveillon, je me balade dans les rues rempli de monde [Ce jour-là / remplies]<br />- Habillé d'une joli robe blanche et ayant un petit sac à main jaune [Habillée d'une jolie robe blanche et portant un petit sac à main jaune]<br />- Alors que je rêvassé [rêvassais]<br />- Les même cheveux blonds, les même yeux  marrons noisette [les mêmes / marron est invariable quand il désigne une couleur / marron ou noisette, il faut choisir : ce sont deux bruns différents]<br />- une robe déchiré toute les deux... sauf que la sienne est verte [toutes les deux / Je propose : « une robe déchirée comme l’était la mienne »]<br />- Et elle ne vend pas d'allumettes mais la petite fille est recroquevillée sur elle-même. [La petite fille ne vend pas d'allumettes, mais elle est recroquevillée sur elle-même]<br />- Je lui chuchote des paroles douces et lui dit que je ne veux pas lui faire de mal [ et lui dis]<br />- Le fait que je sois encore un enfant doit la rassurer [une enfant]<br />- Je continue de m'avancer vers elle. Arrivé, je me mets à genoux [Arrivée / Je propose plutôt : « Je continue de m'avancer vers elle puis je me mets à genoux »]<br />- J'ouvre mon petit sac à main jaune et y sort mon petit portefeuille lavande et l'ouvre [et en sors ; je remplacerais le premier « et » par une virgule]<br />- A l'intérieur se trouve 35 dollars [À l’intérieur se trouvent trente-cinq dollars]<br />- Alors que j'allais prendre un dollar et lui donner, je me rendis compte d'un truc.  Toute cette argent, qui est mon argent de poche, je les gardé pour une poupée. [et le lui donner / je me rends compte / Tout cet argent / je l’ai gardé]<br />- Elle vaut quarante dollar [dollars]<br />- Mais quel est le plus important : une poupée magnifique ou le fait qu'une petite fille pourra se nourrir, s'habiller convenablement et d'autre chose [Je suggère : « ou le fait qu'une petite fille pourra se nourrir et s'habiller convenablement ? » - Je supprimerais « et d'autres choses »]<br />- Je referme le portefeuille blanc et le tendis à la petite fille blonde [Précédemment, le portefeuille était lavande / et le tends]<br />- Celle-ci, d'abord étonné, le prit [étonnée / le prend (toujours la concordance des temps)]<br />- Je fouille ensuite au fond de mon sac et ressort un objet [et en ressors]<br />- une femme à la peau noire et aux cheveux courts et frisé [et aux cheveux courts frisés]<br />- J'ai regardé s'il y en avait d'autre avec ce dessin [d'autres]<br />- Je ne m'en suis jamais servi [servie]<br />- Peut-être que je suis trop attaché [j’y suis trop attachée]<br />- Je me relève et donne un dernier sourire à la fille [je propose « adresse » au lieu de « donne »]<br />- et je me promets que j'en parlerais à Elora [ parlerai ; futur simple (concordance des temps)]<br />- Je jure petite fille. Je reviendrais te rechercher. [Je le jure, petite fille. Je reviendrai te chercher (chercher plutôt que rechercher)]
Tu emploies les espaces et les espaces insécables de manière anarchique.<br />Dans les dialogues, il manque souvent le point à la fin des répliques.
J’espère que je ne t’ai pas noyée sous mon flot de remarques…
Désolée pour les nombreuses notifications : l’éditeur de FPA me bousille ma mise en page.
sarah love
Posté le 18/01/2017
Hey!!!
j'étais très étonné de voir ton commentaire TRES TRES long alors que le concours est fini mais je te remercie de m'avoir lu et commenté!
En fait, pour dire la vérité, je m'écrivais des questions sur la vie et je me suis dit: " et si, ça servait pour l'histoire?". Alors, je les ai laissé et en ai rajouté d'autres. Au début, je me suis demandé si je les suprimé et j'ai décidé de les laissé. En fait, l'ême soeur est une des première questions et je n'ai pas eu envie de l'enlever.
Je préfère les récites à la première personne.
Moi aussi, j'aime beaucoup l'évolution. Je voulais montrer quelle n'est pas toute rose.
Tu aimes bien le fait que ce soit une personne à la peau noire qui recueille des enfants blancs? Et ben, moi aussi. Je crois en plus que c'est la première fois que je met un personnage noire à l'oeuvre.
On aime les promesses!!!!!!!!!!!!!!!!
Alors, j'aurais bien répondu à toute tes critiques mais bon... j'ai la flémangite. (maladie de la flemme) Et puis disons que c'est quand même très long. Toi, tu n'as pas cette maladie à ce que je voie! En tout cas, il y a des erreurs que je regrette amérement.
Merci à toi!!!!!!!!!!!!!!!!
Rachael
Posté le 25/12/2016
Hello sarah Love
C'est une jolie histoire, pleine d'optimisme, comme le début d'une longue chaine d'entraide qui pourrait ne pas s'arrêter. C'est un peu trop beau, mais oh, c'est Noël, alors purquoi ne pas y croire !
 
sarah love
Posté le 25/12/2016
hello!
Et oui, une longue chaine d'entraide. C'est un peu ça l'idée.  Oui, c'est Noel!
Joyeux noel à toi et merci pour ce commentaire (et si tu participe au concour bonne chance) 
Dan Administratrice
Posté le 24/12/2016
Bonjour sarah love,
Je te contacte car en l'état ton texte ne respecte pas la contrainte de longueur imposée pour le concours du Nouvel An (2000 mots +/- 200 mots soit entre 1800 et 2200 mots). Merci de modifier ton texte de manière à ce qu'il rentre dans la fourchette ; sinon, malheureusement, il ne pourra pas concourir.
Merci de ta compréhension.
sarah love
Posté le 24/12/2016
d'accord merci
Léthé
Posté le 23/12/2016
Encore un joli récit en forme de boucle : Lucie se fait sauver par Elora et, un an plus tard, c'est elle qui choisit de venir sauver une petite fille.
Bon, j'avoue que moi j'aurais préféré qu'elle crâme tout (attends, ce monsieur l'avait poussé quand même, c'est pas très esprit de Noël ça !) mais effectivement le conte marche mieux avec une fin heureuse. Le fait que Lucie arrive à mettre sa haine de côté, c'est quand même plus cool que si elle était devenue pyromane.
Je trouve ça marrant aussi que tu représentes le bonheur de l'enfant par des besoins matériels : je ne sais pas si c'est fait exprès cette attention portée à l'attrait de Lucie pour l'argent, ou son besoin d'avoir une poupée, une maison, un certain confort, mais je trouve que ça change (et c'est le reflet de notre société moderne donc ça fonctionne).
Il y a quelques fautes mais eh, tu vas finir par t'améliorer en écrivant tous les jours ! 
Bravo pour ta participation ! 
sarah love
Posté le 23/12/2016
Hey!
J'aime bien les boucles. Je trouve que cela montre qu'en quelque sorte Elora lui a apprit des valeurs et qu'elle fait le bon choix. Et puis, au moins, on sait ce que devienne ces quatres allumettes!
Tu aurais préféré qu'elle crame tout? lol Tout le monde n'est pas de cette avis... Mais c'est mieux la version Conte de Noel que la version Hallowen
Et oui, il y a des fautes.
Merci. Merci pour ton commentaire! Bonne chance à toi! 
EryBlack
Posté le 23/12/2016
Salut Sarah !
À mon tour de passer sur ton texte :)
J'ai trouvé que c'était une jolie histoire. Pendant un moment, j'ai eu peur que Lucie mette sa "vengeance" à exécution et que ça se transforme en une sorte d'histoire d'horreur... Mais non, on a bien un conte de Noël ! Ce n'est pas le premier texte que je lis de toi, grâce aux autres concours, et j'ai l'impression que tu progresses - il y a moins de fautes d'orthographe, par exemple, et on comprend mieux tout ce qui se passe. Alors bravo ! Tu as bien fait de poster, faut continuer dans cette voie !
J'ai relevé quelques petites phrases à corriger.
"Peut-être, quand faite, je ne veux pas mourir." > Peut-être qu'en fait, je ne veux pas mourir. ("Quand faite", ça ne veux rien dire ! Mais ça ressemble à l'oral)
"Je me lève une deuxième fois,  pleine d'envie de me vengeais" > pleine d'envie de me venger. (Le verbe doit être à l'infinitif ici. Pour vérifier, tu peux le remplacer par un autre, en te disant par exemple "pleine d'envie de me plaindre" > on ne dit pas "pleine d'envie de me plaignais", donc c'est bien l'infinitif ^^)
"Elle n'est pas magnifique mais sa bonté, qu'on aperçoit, la fait rendre d'une beauté divine." > J'aime bien l'idée de cette phrase, mais il y a quelque chose de confus dans "sa bonté la fait rendre..." Tu peux essayer de le dire plus simplement. Par exemple "Elle n'est pas magnifique, mais elle dégage tant de bonté que cela la rend d'une beauté divine", ou quelque chose comme ça ! N'hésite pas à reformuler quand tu sens que ça cloche, il y a toujours une autre manière de dire les choses.
"Tien mais le." > Ouh là là ! C'est plutôt "Tiens, mets-le" ^^ mais/mets, c'est vrai que c'est pareil à l'oral, mais il faut faire bien attention à l'écrit, sinon ça ne veut plus rien dire.
Voilà, je crois qu'il y a d'autres petites coquilles mais celles-ci m'ont paru les plus importantes à corriger :) Désolée si j'en fais trop, j'espère que ça ne te gêne pas.
Bravo pour ta participation et à bientôt ! 
sarah love
Posté le 23/12/2016
Hey!!!
jolie histoire? :)
Vraiment, tu as eu peur car j'ai eu l'impression qu'on se doutait un peu qu'elle n'allait pas le faire. Si ça a marcher c'est fantastique.
et oui, on a bien un conte de noël mais on les adore!!!
je m'améliore? C'est vrai? C'est fantastique!
merci d'avoir relevé ces vilaines coquilles!
merci pour ce commentaire!!!!!
 
Anna
Posté le 22/12/2016
Coucou ! Pour une fois je vais pas faire la prof et relever les fautes. Il y en a malheureusement pas mal et ça gâche un peu ton texte que je trouve vraiment bien tourné. Comme ont dis les autres, la morale est vraiment très noëlique, ça le fait bien et ça réchauffe le coeur de voir les choses bien se passer pour la petite marchande d'allumette. ^^
Un bon texte :) 
sarah love
Posté le 22/12/2016
Coucou Nana!
Ah les fautes....
Il est bien tourné? super! Et oui, on aime tous les happy end!
Un bon texte? merci!
Merci pour ce commentaire et bonne chance à toi (si tu participe) 
Chris Colores
Posté le 22/12/2016
Hello Sarah,
Belle morale de ton histoire d'une jeune fille qui veut renvoyer l'ascenceur après avoir été elle-même sauvée !
Merci pour le partage !
Chris
sarah love
Posté le 22/12/2016
Hello!
et oui belle morale!
merci pour ce commentaire Chris! 
Rimeko
Posté le 22/12/2016
Hello Sarah !
Mais non, moi je la trouve sympa cette histoire ! On se sent proche de Lucie, on compatit à son malheur, et on comprend le changement qui s'opère en elle au début de l'histoire, sa décision d'enflammer les gens... Je sais pas pourquoi mais Elora me semble un peu être une bonne fée, pas totalement humaine quoi, avec sa façon d'apparaître juste au bon moment ^^ 
J'aime bien la conclusion aussi, ça colle très bien au thème, au conte et à l'esprit de Noël ! Oublier sa colère, ses petites envies (comme al poupée !), pour venir en aide aux autres... Ça m'a fichu le sourire tout ça ^^ 
sarah love
Posté le 22/12/2016
Hello rim'! Elle est sympathique cette histoire? :) 
c'est vrai qu'on se sent très proche de Lucie... Qui ne comptait pas face à cette tristesse?
Et non, élora est ben humaine mais j'avais comme l'impression que les bonne personnes sont en quelques sorte des bonnes fée et q'Elora est guidé par son ange gardien....
Et oui, je voulais une conclusion de "happy end". Surtout que dans le théme la question est: que va elle faire des allumettes? Et comme ça je répond! Contente que tu es eu le sourire!
Merci pour ce gentil commentaire!!!!
 
sidmizar
Posté le 22/12/2016
Hello sarah !
Pour un thème qui t'a peu inspiré, je trouve que c'est une jolie histoire.
Notre Lucie a bien changé depuis sa rencontre avec Elora. Cela reflète bien l'esprit de Noël : oublier la vengeance et la jalousie et vouloir aider les autres.
Bonne chance ! 
sarah love
Posté le 22/12/2016
Hello sidmizar!
une jolie histoire? Merci beaucoup ( Sarah lové sourit paisiblement)
Et oui, elle a beaucoup changé grâce à l'éducation d'elora et aussi au fait qu'elle est vécu ça.... 
Merci!!!! Merci de ton commentaire !