Tout a commencé par une nuit sombre et sinueuse, en fait pas vraiment il était dix heures du matin mais je trouve ça plus cool de dire que cela a commencé par une nuit sombre et sinueuse. Comme d'habitude je suis à mon poste dans le bureau de la criminelle, moi l'enquêteur novice mais néanmoins désirable à souhait avec un regard qui foudroie les criminels à tel point qu'ils sont prêts à tout avouer même ce qu'ils n'ont jamais fait, ce qui est bien problématique, convenons-en.
Quand soudain le téléphone sonne, la voix de mon chef bien aimé m'arrive délicatement aux oreilles.
Lieutenant Hank Dawkins : — Et Pluto, t'arrête de te sucer le pouce et décroche-moi ce téléphone !
Je décide donc de suivre l'ordre de mon supérieur et décroche le combiné.
Inspecteur Rodes : — La crime j'écoute, si c'est pour un meurtre faites le 1, si c'est pour autre chose vous vous êtes trompé de numéro.
Un flic : — Vous êtes tordant vous, j'ai besoin d'une équipe pour un crime.
— Ne cherchez plus, on arrive.
— Vous voulez peut-être l'adresse ?
— Pas bête, envoie mon gars.
Après avoir pris l'adresse avec grand soin, comme toujours avec brio, c'est ma mère qui m'a toujours dit que mon écriture était parfaite, je préviens le lieutenant Dawkins de la situation, puis nous nous dirigeons vers sa voiture de fonction, il décide de prendre le volant car il a certainement compris que j'adore faire des entrées qui épatent la galerie, je monte donc à l'arrière de la voiture pour faire comme si j'avais un chauffeur privé, la voiture du lieutenant n'est pas très luxueuse mais comme on ne va pas dans des quartiers très chics, je comprends qu'on ne prenne pas la plus belle voiture du commissariat.
Nous arrivons donc sur les lieux du crime et vous ne devinerez jamais ce qu'on a trouvé ! Un cadavre de femme pas très frais, il faut dire qu'elle était morte, c'était donc un peu compréhensible.
Sur place l'équipe scientifique est déjà là et fait pleins de photos de toute la pièce, je prends donc la pose, je reste professionnel dans toute les situations et je suis sûr que ces coquines de la police scientifique ont gardé des photos de moi, j'espère franchement qu'elles ont pris mon bon profil dans la lumière.
La séance photo étant finie, le lieutenant m'apprend que la fille pas fraîche sur les photos c'est à dire la morte s'appelle Janis, je lui demande si c'est la star mondialement connue Janis Joplin, la seule Janis vraiment célèbre et là, il m'annonce la triste nouvelle son nom de famille est Martin. À ce moment je ressens une grosse déception avec le meurtre de Janis Joplin, on aurait fait la couverture de tout les magazines, avec le meurtre de Janis Martin, on est même pas sûr d'avoir trois lignes en avant dernière pages dans un journal local à côté d'une pub pour le dernier abonnement internet du mois, d'ailleurs à ce propos je me disais que la connexion wifi du commissariat était bien trop lente, j'ai pas mal de choses à télécharger alors si vous pensiez un peu à améliorer nos conditions de travail déplorables, ce serait bien de changer de fournisseur internet. Je vous joins plusieurs publicités de F.A.I. collées dans mon rapport.
Je bosse intensément sur mes affaires et c'est comme ça que j'ai appris que Janis Martin travaillait comme infirmière à l'hôpital, pour tout vous dire elle portait un uniforme d'infirmière, un bon indice selon vous ! Toutefois cela est parfois trompeur de nos jours avec toutes ces filles qui veulent faire plaisir à leurs partenaires en se déguisant en infirmières coquines, pour être sûr de mon fait j'ai dû regarder dans son portefeuille, elle avait une carte d'accès de l'hôpital du coin, mais cela n'était pas suffisant pour me convaincre que cette femme était une vraie infirmière, elle aurait pu avoir une fausse carte ou bien l'avoir volé à une infirmière et moi ayant une conscience professionnel poussée, je vérifie tout et c'est comme ça que je suis allé dans cette maison remplie de malades. Je vais à l'accueil, je me présente.
Inspecteur Rodes : — Bonjour mademoiselle, je suis l'inspecteur Peter Rodes, je fais partie de la police, ceci est ma carte, j'adore les soleils couchants, la marche et les vidéos de chats rigolotes.
L'infirmière sexy : — Que puis-je faire pour vous ?
— Tellement de choses, vous êtes charmante! Vous aimez quel genre de musique ?
— Vous vous rendez compte d'où vous êtes ?
— Je suis devant un rêve !
Après cinq heures passées à interroger ma source, dont deux passés dans ce petit restaurant que je connais bien, je vous laisse la note comme preuve des frais que j'ai eu. J'ai obtenu confirmation, Janis Martin était bien infirmière dans cet hôpital. Ma source a reconnu la photo de la victime et j'ai appris aussi qu'elle aime bien les chansons dansantes. Quand nous nous sommes quittés, je vous assure qu'elle se croyait vraiment être « more than a woman to me ».
Le lendemain, lors d'une réunion avec le lieutenant Dawkins pour faire le point sur notre affaire il m'informe qu'il a été voir le légiste, celui-ci lui a confirmé que Janis était morte et moi je lui ai confirmé que Janis était une infirmière, jusque-là nous n'allions pas loin mais le légiste avait ajouté une chose cruciale, c'était un meurtre.
Vous vous demandez bien la cause de la mort et je l'ai aussi demandé au lieutenant.
— Comment est-elle morte ?
— Si l'on croit le légiste, elle a été étranglée.
— Et tu crois le légiste ? Qui nous dit qu'il n'est pas compromis dans l'affaire ? Ce type traîne toute la journée avec des cadavres, c'est malsain !
— La ferme, Pluto !
Pour votre information le lieutenant Dawkins me surnomme affectueusement Pluto alors qu'il sait bien que je m'appelle Peter Rodes mais vous pouvez m'appeler inspecteur Rodes, je sais qu'on aime être respectueux d'un certain protocole dans la police.
Notre capitaine voulait absolument qu'on résolve notre affaire, c'est une de ses lubies, faire du chiffre, il sait pourtant que ce genre d'affaire prends du temps, quand on pense que certaines affaires criminels prennent plusieurs décennies d'ailleurs on le voit bien dans ces émissions que j'affectionne comme « Faites entrer l'accusé. », on comprend que tout n'est pas si simple, que chaque détail compte, on a donc fait un plan le lieutenant et moi.
Lieutenant Dawkins : — A droite sur notre tableau : Ce que nous savons, Janis Martin est morte étranglée, elle était infirmière à l'hôpital. Maintenant à gauche ce que nous ignorons : Qui l'a tué ? Pourquoi ? Qui sont les suspects ?
Impressionné par mon supérieur je répondis : — C'est du beau travail lieutenant !
Mais le lieutenant n'avait pas les réponses à nos questions et c'est pour ça qu'il me dit : — Trouve-moi les réponses Pluto !
Je décidais d'essayer de trouver ces réponses d'abord en cherchant des suspects, je savais qu'elle était morte chez elle vers les huit heures, huit heures trente. Mes suspects étaient donc certainement des lèves-tôt ou des gens qui se couchent tard ou alors ceux qui font des nuits blanches, peut-être même des travailleurs de nuit. Et où travaille-t-on de nuit ? Selon moi dans les night-clubs. J'étais presque parti faire le tour des night-clubs quand le lieutenant me fit une remarque pertinente. Les hôpitaux sont ouverts vingt-quatre heures sur vingt-quatre et du coup, je me suis dit qu'on avait tout le temps pour y faire un tour plus tard. J'allais donc en premier lieu chez Janis Martin laissant pour plus tard mon intuition d'une piste du côté des night-clubs, elle vivait dans un trois pièces mais son quartier était loin de ce que l'on peut qualifier de terrible. À l'intérieur la décoration de son appartement était horrible, Janis avait un goût déplorable, dans la chambre où on l'avait retrouvé se trouvait une petite télévision et un long canapé bon marché pas très confortable je l'ai testé pour les besoins de l'enquête, dans le coin deux pauvres plantes vertes à l'agonies. Tu parles d'une infirmière, incapable de s'occuper de plantes vertes ! Serait-ce une piste ? Un mobile, un défenseur de la nature choqué par son manque d'intérêt pour la vie végétale aurait crié vengeance et tué Janis pour son crime contre la nature. Je continue donc ma visite de son appartement, je vais dans sa chambre où je trouve un lit deux places et un bureau sur lequel se trouve un ordinateur avec une webcam fixée sur son lit, aucun poster ni tableau accroché au mur rose, d'ailleurs toute sa chambre est rose. Serait-elle un membre d'un gang comme les Pink ladies ? J'ai vu Grease !
Les ordinateurs de nos jours sont remplis d'informations, je décide donc d'ouvrir son ordinateur mais après l'avoir allumé je découvre qu'il faut un mot de passe pour connaître le contenu de l'ordinateur, j'essaie donc les mots de passe les plus utilisés, password, 1234 et hello mais cela n'a pas marché j'aurais peut-être dû faire plus attention à l'indice concernant son mot de passe enfin ce qui est fait, est fait et l'ordinateur m'affiche ensuite le message suivant : Vous avez essayé trop de mots de passe pour débloquer cette ordinateur veuillez appeler ce numéro...
Je suis coincé devant l'ordinateur me posant la question suivante : Que dois-je faire pour le bien de mon enquête ? Et là je pense à ce que me dirait de faire notre capitaine et grâce à ça, la solution s'impose à moi. J'appelle donc le numéro surtaxé et je poireaute vingt minutes jusqu'à ce qu'une personne se décide enfin à me répondre. C'est un technicien prénommé Jean Luc, il m'explique enfin comment je peux débloquer l'ordinateur et une heure plus tard après avoir suivi toutes ses instructions, nous avons réussi, j'ai accès au contenu de l'ordinateur et moi et Jean Luc sommes devenus de vrais potes, avant de raccrocher, je dis merci à Jean Luc. Je peux enfin découvrir les données de notre victime, sur son ordinateur je découvre qu'elle écrivait une fiction où un docteur drague des infirmières, c'est franchement pas mon style de lecture mais y en a qui aiment cela, sinon elle n'a rien de spécial sur son ordinateur, elle utilise un logiciel de communication via vidéo je note la liste de ses contacts, j'ai remarqué qu'elle avait l'esprit de famille puisqu'elle communiquait souvent avec son papa_gâteau1, papa_gâteau2 et papa_gâteau3. Quelle fille chaleureuse avec son papa ! Ayant fini le tour de son appartement sans avoir fait une quelconque découverte, je décide d'aller voir sa famille après tout ils devaient être proches si j'en crois son ordinateur. J'appelle le lieutenant Dawkins lui transférant ce que j'ai trouvé sur l'ordinateur, c'est à dire son roman en plus de la liste des contacts de la victime, lui me donne l'adresse de la sœur de notre victime, il me conseil d'être compatissant, vu qu'on n'avait pas encore prévenu la famille et que c'est moi qui vais lui apprendre la triste nouvelle. On aurait dû les prévenir avant normalement mais bon y'a pas mort d'homme, en général ce genre de nouvelles peuvent attendre un peu.
Arrivé devant la maison de la sœur qui habite un quartier bien plus chic que Janis, je sonne à la porte, trois secondes plus tard une femme ouvre la porte, elle porte un châle turquoise par-dessus sa chemise blanche avec une longue jupe bleu.
Marsha : — Bonjour monsieur, je suis certaine que vous êtes là car vous cherchez des réponses à vos questions.
Rodes : — Bien vu !
— C'est mon métier, je suis une voyante extra-lucide.
— C'est le lieutenant Dawkins qui m'a donné votre adresse.
— Je vois, vous êtes flic ! Désolé mais je ne bosse pas pour la police ! C'est pas que je ne vous aime pas, au contraire je soutiens nos braves forces de police mais je ne voudrais pas contrarier un puissant criminel qui voudrait se venger sur la pauvre voyante qui l'aurait envoyée en prison.
— Je ne suis pas venu pour vous demander de travailler avec nous, je suis là pour vous annoncer la mort de votre sœur.
(J'ai été un peu brusque en lui annonçant la nouvelle mais sa réponse me rassure, cette femme supporte bien ce choc.)
— Ah ben celle-là, je l'avais pas vu venir.
Je reprends mon ton professionnel : — Toutes mes condoléances, Madame.
— Ça va, c'est une surprise mais pas un choc pour moi.
Rodes un peu surpris : — C'est grâce à votre don ?
— Non, ma sœur et moi on était pas franchement proches depuis qu'elle a couché avec mon ex Daniel. Elle me disait toujours, Marsha ce gars n'est pas fait pour toi, il manque d'ambition jusqu'au jour où je suis rentrée plus tôt que prévu chez moi et que je les découvre tous les deux au lit. Si j'avais eu une arme ce jour-là, je vous jure que je l'aurais moi-même tué mais je leur ai seulement hurlé dessus et depuis nous sommes restées en froid avec ma sœur. À la fin j'en suis arrivée à la même conclusion qu'elle, ce gars n'était pas fait pour moi, mais elle avait tort il ne manquait pas d'ambition.
(Je note sur mon téléphone portable, des tensions entre sœurs. )
— Et je peux savoir, comment étaient les relations entre vos parents et votre sœur ?
— Notre père est mort d'une crise cardiaque il y a de cela à peu près six ans quant à notre mère elle vit en banlieue à deux cent kilomètres de nous, du coup on va seulement la voir pour les fêtes mais je l'appelle tous les deux, trois jours.
— Je vois, merci et bonne fin de journée à vous Marsha et si quelques chose d'autre vous reviens concernant votre sœur, je vous laisse ma carte, vous pouvez me contacter sur ce numéro pendant les heures de bureau, je précise cela parce que certains s'amusent à nous appeler à n'importe quelle heure, la police a d'autres choses à faire que de répondre à des appels incessants vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Mon enquête était à nouveau chamboulée, vu que son père était mort depuis un bon bout de temps d'autres questions me venaient spontanément. Qui étaient ces papas_gâteaux ? La mère de Janis était-elle une aventurière qui avait eu plusieurs amants à l'époque de sa conception ? Y a-t-il eu un test de paternité ? Devrais-je investir dans un de ces laboratoires qui fait les tests de paternité ? Ça me paraît être un bon investissement de nos jours. Est-ce suite à un test de paternité qu'un ancien amant de la mère de Janis croyant être le père de Janis Martin serait devenu fou en recevant une réponse négative ou même positive ?
Je devais absolument résoudre ces énigmes mais malheureusement ma journée de travail était finie alors je décidais d'en rester là pour le moment en espérant que la nuit me porte conseil comme on dit, même si j'ai jamais vraiment compris cette expression parce que la nuit n'est pas une personne. Comment la nuit pourrait-elle apporter quelque chose ? De toute façon la nuit, moi je dors mes huit bonnes heures sinon je suis grognon le lendemain.
Vous vous demandez sûrement mais qui suis-je ?
Xoxo Inspecteur Rodes.
Il est un peu simple d'esprit det inspecteur, et ce que je trouve chouette c'est qu'on ne sait pas s'il le sait lui même.
Merci pour cette bonne tranche de rire. À bientôt
J'aime beaucoup le ton humoristique de cette enquête policière. Tu ne te prends pas au sérieux et le héros est un idiot, ça rend la lecture originale et ça me va plutôt bien. Pendant la lecture, ton humour m'a fait un peu penser à Oss117/ les inconnus / le petit nicolas.
Quelques remarques en vrac :
"Tout a commencé par une nuit sombre et sinueuse, en fait pas vraiment il était dix heures du matin mais je trouve ça plus cool de dire que cela a commencé par une nuit sombre et sinueuse." l'incipit est sympa mais tu pourrais le rendre encore meilleur selon moi en allongeant un peu la phrase de début pour que la chute soit plus brutale
"Ne cherchez plus, on arrive. — Vous voulez peut-être l'adresse ?" ca m'a fait penser aux inconnus sur la police xD
"Un cadavre d'une femme pas très fraîche," -> un cadavre de femme pas très frais ?
"et prends pleins de photos de toute la pièce, je prends" répétition prends "Après cinq heures passées à interroger ma source, dont deux passés dans ce petit restaurant que je connais bien," bien joué xD
"elle a été étranglé." -> étranglée
"Un mobile, un défendeur de la nature choqué par son manque d'intérêt pour la vie végétale aurait crié vengeance et tué Janis pour son crime contre la nature." mdr
"Les ordinateurs de nos jours sont remplie" -> remplis (et bcp de répétition d'ordinateur dans le paragraphe)
"Vous avez essayé trop de mot de passe" -> mots de passe
"réussi, j'ai accès au contenu" un point serait bien à cet endroit à selon moi "mais y en a qui aime cela," -> aiment
"et que c'est moi qui va" -> vais
"mais bon y a pas mort d'homme," mdr
"depuis nous sommes restées en froids" -> froid
"quelques choses d'autre" -> chose
Un plaisir,
A bientôt !
Voilà un récit qui m'attire beaucoup parce qu'enfin il ne se prend pas au sérieux! J'en avais un eu assez des histoires trop sérieuses avec des enjeux cosmiques. J'aime tout à fait ton personnage aussi idiot que paresseux ou sexiste. Oui, j'aime que les héros puissent être des crétins! Et j'avoue que ton humour me parle et je ressens quelque peu les maîtres que j'essaie vainement de suivre comme Desproges, Coluche, les Nuls ou les Inconnus.
Bon courage pour la suite et "Agent de la paix avant tout!"
Votre histoire m'a beaucoup amusée en particulier le ton léger employé et la crétinerie décontractée de votre héros. Après , je me demandais si les autres personnages étaient aussi décalés que lui, sinon il risque de se faire virer de la police pour incompétence.
Je lirai la suite avec plaisir dans tous les cas.
Bonne continuation
J’espère que la suite te plaira.
Et qui sait peut-être qu’il se fera virer de la police !
Je n'aurais qu'un mot à propos de ce Pluto : Crétin fini ! Et oui, en fait il y a deux mots mais un seul ne saurait exprimer toute l'antipathie et la fatigue mentale que m'a inspiré cet abruti total.
Ce crétin - en plus d'être idiot - me semble d'ailleurs être un poil sexiste. Mais bon, j'imagine que c'est voulu.
Donc, j'ai bien aimé ce chapitre avec son style léger et l'humour qu'il contient. C'est facile à lire et ça détend un peu. J'espère juste que le supérieur de ce gars est plus compétent que lui sinon la pauvre Janis (Martin et non Joplin) sera morte en vain. (ça rime !)
Bonne continuation :))
Bref, je me dirige immédiatement vers la suite, bravo !
Et quand je dis sourire, je veux dire rigoler.
Et quand je dis rigoler, je veux dire rire.
Et quand je dis rire, je suis veux dire que je me suis tapé la bedaine à m'en faire littéralement mourir de rire sale monstre mon cadavre est en train de refroidir dans un coin ce qui pose la question de comment je continue à écrire ces lignes peut-être faut-il appeler la police tu connais quelqu'un de compétent ?
Enfin voilà. Ça m'a fait sourire. Continue comme ça.
Bonne continuation