Chapitre 1 : les sanglots de Lénisia

Par Makara
Notes de l’auteur : Bonjour à tous ! Vous voici sur mon nouveau projet de fantasy :). C'est un pur 1er jet que je posterai tous les lundi (si j'arrive à tenir le rythme d'un chapitre par semaine !)
J'espère que l'univers va vous plaire !

Ah ! cet effort de création dans l'œuvre d'art, cet effort de sang et larmes dont il agonisait, pour créer de la chair, souffler de la vie ! Toujours en bataille avec le réel, et toujours vaincu, la lutte contre l'ange !

"L’oeuvre", Emile Zola

 

 

Andréa

Le jour où ma main a été coupée, je me suis juré qu’on ne m’attraperait plus. Certains vous diront que voler c’est mal, d’autres que voler est un art. 

Je me range dans la deuxième catégorie.

Depuis le tragique évènement, ma mère a décidé que ma course aux objets précieux s’arrêterait. De voleur, elle m’a transformé en faussaire. C’est devenu ma nouvelle passion.

Je dois dire qu’il y a certains points communs entre les deux professions.

— Andréa, reste concentré.

J’obtempère. Mes yeux font de nouveau la mise au point sur l'œuvre que nous réalisons. Je tire la langue en m’appliquant. Nous créons une peinture dans le style de Pietro Donalli, peintre récemment décédé. Ma mère a récupéré un carnet d’esquisses de l’artiste et, à partir de ses ébauches, nous arrivons à imiter sa technique. Bientôt, on va avoir une belle fortune, j’ai hâte.

Dans ce métier, ma mère est bien meilleure que moi, elle a l'œil pour les détails. Je ne suis pas mauvais, mais la réalisation de faux demande une discipline dont je manque cruellement. Un rien me déconcentre : un chant d’oiseau, un cri de mouette, une poussière qui vole, un cheveu sur ma veste. Le monde est si vivant. Peindre l’immortalise, c’est ce que ma mère me répète.

J’envisage de faire carrière dans le milieu alors j’espère m’améliorer. J’aime le sentiment de fierté que je ressens quand le pastiche est vendu, j’aime l’argent que l’on nous donne pour ce travail. J’aime imaginer qu’un petit bourgeois ignorant affiche notre faux à la vue de tout le monde… Seulement, pour obtenir ce résultat, le chemin est tortueux et je ne suis pas très patient.

— Retravaille le vermillon, m’ordonne ma mère.

Je m’exécute et plonge mon pinceau en poil d’écureuil dans les pigments.

En peinture, il n’y a pas de couleur plus chaude que le rouge. Je n’ai jamais aimé l’utiliser. C’est une nuance animale. On l’obtient en écrasant des dizaines de scarabées kermes. 

Oui, des scarabées. La fabrication elle-même est terrifiante. Qui a eu l’idée de broyer ces pauvres créatures pour en faire des pigments ?

Le Sérénissime ? Un homme qui s’ennuyait ?

Je préfère utiliser la racine de garance, mais l’éclat n’est pas le même et ma mère s’y refuse.

— Andréa !

— Désolé, mam. Je me concentre. Je me concentre.

J’applique mon pinceau sur la toile accentuant les reflets sur les plis du tissu. 

— Très bien. On va laisser sécher la toile à présent.

Je recule de quelques pas en même temps que ma mère. Elle penche sa tête sur le côté et un rideau de cheveux noirs tombe sur son épaule. 

Elle est belle.

D’une beauté différente de celle que l’on aime peindre sur Egade. Elle n’a pas une peau de porcelaine ni des yeux clairs, mais un teint foncé et un regard de marin, de ceux qui ont tout vu et tout vécu.

Les cloches d’une église sonnent Vêpres. 

— Tu peux y aller, Andréa.

Un immense sourire illumine mon visage. Mon esprit est tiraillé entre deux activités possibles : espionner les habitations fortunées ou manger. Mon ventre l’emporte.

— J’ai faim.

Ma mère lève les yeux au ciel. Elle n’est pas surprise, c’est ma phrase favorite. Elle pose ses outils.

— Appelle les autres, il doit me rester de quoi faire un potage à la viande.

J’en frémis d’impatience et m’élance hors du bottega. Je dégringole au rez-de-chaussée. Nous vivons dans un édifice penché, les fondations en pilotis ont été mal réalisées. Alors, il vaut mieux ne rien laisser tomber et bien se cramponner à l’escalier.  Celui-ci me vaut de belles chutes quand j’oublie que je n’ai plus ma main droite. 

Je sors sur le parvis de la bâtisse. Tout de suite, des effluves de vase, d’urine et de sel me sautent aux narines. Un petit mélange que j’ai appris à aimer. 

L’eau saumâtre vient lécher la pierre blanche jusqu’à mes sandales. De là où je me tiens, j’aperçois un dédale de passerelles qui grignotent les édifices et quelques ponts qui enjambent les canaux.

Comme dit Orazio, le passeur de Lénisia, cette cité est une méduse.

Les toitures en forme de bulbes du Palais Senlis sont la tête de l’animal alors que les canaux en constituent les tentacules, un enchevêtrement de bras humides et de constructions poreuses.

Je remarque que les Filoppo n’ont pas étendu leur linge ce matin, la famille Burinio non plus. D’habitude, leurs gamins tentent de repousser les mouettes avec une longue baguette en bois. Là, rien. Peut-être qu'ils sont partis aux offices ? Les célébrations annuelles en vue du futur Concours de l’Inspiration Divine vont commencer.

— Andréa !

Le gamin des rues qui vient de m’apostropher rame sur une embarcation de fortune. C’est Mino, il n’a pas dix ans et possède une tête de ragondin avec ses cheveux hirsutes.

C’est un orphelin des sanglots, c’est ainsi que nous appelons les canaux, en référence aux gargouillis et soupirs qui saisissent parfois les flots. Je l’ai rencontré, alors qu’il tenait à peine debout et depuis, je ne sais pas pourquoi, il me considère un peu comme son grand frère.

Je lui lance.

— Tu sais où se cachent Sandro et Ignato ?

— Non, par contre, je crois que Silvia aimerait venir manger si ça ne vous dérange pas.

— Non, vous êtes les bienvenus.

C’est là que j’aperçois, cachée derrière le garçon, la petite fille de six ans. Elle est encore plus pouilleuse que Mino. Son visage est barbouillé de saletés et de traces noires. Je frotte ma main contre ma houppelande usagée avant d’aider Mino à accoster. Les deux enfants débarquent puis je les guide vers la cuisine. La marmite est sur le feu et des effluves de potage envahissent mes narines. Ma mère s’empare d’un torchon et nettoie le minois de Silvia.

— Mais où as-tu traîné ? Tu es encore pire que mon fils.

Je m’offusque :

— Ça fait longtemps que je ne reviens plus aussi sale !

— On en parle de la semaine dernière ?

Je grimace en me souvenant de mon plongeon forcé dans les marais après une visite près du palais dans l’espoir de voler quelques boutons de manchettes. Ma mère nous sert une rasade de potage. Immédiatement, ce qui m’entoure disparaît. Il n’y a plus que la viande, les légumes et ce beau bouillon bien gras. Quel délice ! Alors que je dévore mon repas, un sifflement retentit. C’est généralement le signal d’une embarcation provenant d’un autre quartier. C’est plutôt rare. Les petits bourgeois ne s’aventurent pas dans les Sanglots.

Ma mère fronce les sourcils. Elle s’essuie les mains, pose son torchon et s’approche du porche. Sa silhouette gracieuse se fige.

— Mino, Silvia, sortez par la porte de derrière. Andréa, va à l’atelier et prépare le Desiderosi.

Les enfants s’exécutent tandis que je termine de boire mon bouillon.

— Andréa ! s’insurge ma mère.

Je me redresse d’un coup. Il y a dans la voix de ma mère une vibration je n’aime pas du tout.

Par-dessus son épaule, j’aperçois une gondole de grande taille suivie d'une seconde. Le premier bateau vaut déjà plusieurs milliers de florins à en juger par la sculpture de cheval réalisée à l’avant. Un homme masqué en descend. Il est suivi par deux spadassins. Ma mère cache une main tremblante derrière son dos et je me souviens subitement de son ordre.

Le Desiderosi. Il faut que je le prépare.

Je m’élance à l’étage, manque trébucher sur une marche, me rattrape d’une main et me redresse. Une fois dans l’atelier, je jette un voile sur le pastiche de Pietro Donelli et je récupère le Desiderosi. 

Je place l'œuvre sur un trépied et l’admire un instant. C’est notre plus belle pièce : à peu près cinq mois de travail. Nous avons roulé sur elle-même la peinture pour recréer les craquelures du temps. Le tableau de deux mètres sur trois représente une scène de fête où sont peints plus de vingt personnages. Un véritable travail d’orfèvre. 

J’entends une conversation étouffée au rez-de-chaussée et des pas résonner dans l’escalier. Mon cœur se met à battre plus fort. Si nous arrivons à vendre ce tableau, je pourrais peut-être m’acheter de nouveaux vêtements et me faufiler dans une fête pour voler quelques boutons de manchette.

Un homme pénètre dans l’atelier. Je remarque tout de suite la qualité de ses vêtements : sa veste à taillade, sa culotte bouffante, ses gants raffinés. Il sent le parfum des beaux quartiers et la richesse. J’aurais aimé voir son visage ; le masque cache entièrement ses traits. C’est la dernière mode à Lénisia pour pavaner. 

Deux soldats le rejoignent. Ils ont la main sur leur fine épée comme si je voulais m’en prendre à leur maître. Je sens le regard du grand bourgeois se braquer sur moi. Étrangement, je semble davantage l’intéresser que le Desiderosi. Il me fixe et ses yeux se braquent sur mon membre coupé.

Un frisson me traverse l’échine. Ma mère se place entre l’acheteur et moi, le forçant à porter son attention sur la peinture.

— Voici le chef-d'œuvre de maître Desiderosi.

L’aristocrate se rapproche du chevalet. Il scrute le tableau dans les moindres détails. Il a l’air de s’y connaître. Étonnant pour un orfèvre. Je vois ses doigts lentement bouger comme s’il reproduisait les coups de pinceau dans les airs. Encore plus surprenant. Ce n’est pas un peintre du dimanche, mais un artiste lui-même.

À la tête de ma mère, je vois qu’elle en est arrivée à la même conclusion.

Il se redresse et déclare d’une voix grave.

— Il est magnifiquement réalisé, mais c’est un faux.

Je me fige. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Impossible. Comment a-t-il deviné ? Seule ma mère est capable d’imiter Desiderosi à la perfection !

Je la regarde. Elle a l’air sous le choc.

L’homme retire son masque et ma mère se pétrifie. Ses mains cherchent un support, comme si la vision de l’inconnu la faisait défaillir, son souffle devient court.

Je me rapproche et elle s'agrippe à mon épaule sans me jeter un coup d'œil. J’ai l’impression que le temps se suspend. Ils se font face et la pièce s’électrise.

Non, cela doit venir du rayon de soleil qui soudain transperce les nuages et l’habitation. Cela n’a rien à voir avec eux. Ils sont tellement immobiles qu’on dirait des modèles.

Je déglutis. Ils ont une expression indéfinissable l’un comme l’autre. Une expression que je n’ai jamais vue sur les traits de ma mère : un mélange d'horreur et de fascination.

Après un moment qui me paraît durer une éternité, l’homme chuchote avec un fort accent qui prouve qu'il ne vient pas de la cité de Lénisia.

— Lavinia.

— Antonio.

— Tu n’as pas changé.

Ils se connaissent. Sûr de sûr qu’ils se connaissent. Pourtant, moi, je n’ai jamais vu cet homme. J’ai un mauvais pressentiment.

— Tu aurais pu me prévenir de la naissance de notre fils. C’est la moindre des choses.

— Plus il est loin de toi, mieux il se porte.

Notre fils ? C’est moi qui me sens défaillir. Je fixe l’inconnu, la bouche ouverte.

— Il sait peindre ?

— À ton avis.

— S’il a un dixième de ton talent alors évidemment.

Les doigts de ma mère se crispent sur mon épaule. Je sens la panique l’envahir et en miroir, ma poitrine se comprime.

— Quel âge as-tu ? reprend l’étranger.

— Seize ans.

L’homme me fixe avec un mince sourire satisfait sur le visage.

— Que fais-tu là ? Que nous veux-tu ? demande ma mère d’une voix froide.

— Tu le sais. Je te cherche depuis tellement longtemps. J’ai bien fait de m’obstiner. 

— Antonio, je t’en prie. Laisse-moi. Oublie-moi.

— C’est impossible. Ta place est près de moi et c’est un héritier. Il doit participer au concours.  

Je rétorque avec une grimace. 

— Je n’irai nulle part avec vous !

Le fortuné me fusille du regard et je sens mes épaules, mon insolence et mon courage se ratatiner.

— Je préfèrerais ne pas employer la force, mais je le ferai s’il le faut. L’avenir de la maison Sforzi en dépend. Lavinia, tu sais ce dont je suis capable.

Je suis tendu comme un roseau. Ma bouche est sèche. La main de ma mère me broie l’épaule. 

— Laisse-nous encore quelques années, supplie-t-elle. 

Je ne la reconnais pas. Cette voix enfantine, ce timbre tremblant ne lui appartient pas. 

— Ai-je besoin de vous mettre les chaînes ? 

L’homme claque des doigts et les spadassins dégainent leurs épées. La peur se diffuse dans mes veines. Ma mère les arrête d’un signe de main.

— Ce n’est pas la peine. 

Je la regarde. J’attends un signal de sa part pour me mettre à courir, à mordre, à taper. Mais rien. Elle me contemple et m’attire dans ses bras. Elle me chuchote à l’oreille :

— La prochaine fois que nous nous verrons, je t’expliquerai tout.

Je suis incapable de prononcer un mot. J’ai l’impression qu’elle me dit adieu. Les larmes me montent aux yeux. J’ai un tel poids dans la poitrine. Tout est noué, tendu, lourd. Un son aigu me transperce les oreilles. L’atelier tourne. Je suis là sans être là. Ma tête est remplie de questions et j’ai une épine douloureuse dans le cœur.

Les gardes m’attrapent par les bras et m'arrachent à ma mère. La terreur se lit sur son visage.

— Jure moi qu’il sera bien traité !

L’inconnu ne répond pas. Ma tête grésille. Alors que l’un des soldats me tire vers la sortie, un autre agrippe ma mère.

— Tu ne feras pas de lui ce que tu as fait de moi, s’écrie-t-elle avec une voix impérieuse.

— Nous verrons, Lavinia. Nous verrons.

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Herbe Rouge
Posté le 13/12/2024
Bonjour,
J'aime bien ce premier chapitre, qui prend son temps pour poser l'ambiance et quelques personnages.
J'ai cru au départ qu'Andréa était une fille, du coup maintenant je vois le personnage comme un peu androgyne :)
Petite remarque sur le fait qu'il m'a paru curieux qu'il soit obnubilé par vouloir voler des boutons de manchettes alors qu'il est dit plus tôt qu'il a arrêté pour devenir faussaire.
Et aussi, je ne pense pas qu'il soit dit quelle main a été coupée ? ça m'a bêtement empêchée d'imaginer de quelle main il peignait.
Makara
Posté le 19/12/2024
Hello Herbe rouge ! Bienvenue dans Tailleur d'images !
Non, Andréa est bien un garçon, après tu peux te l'imaginer comme tu veux :p. C'est le droit du lecteur !
"Petite remarque sur le fait qu'il m'a paru curieux qu'il soit obnubilé par vouloir voler des boutons de manchettes alors qu'il est dit plus tôt qu'il a arrêté pour devenir faussaire."=> ahaha, mais les passions reviennent toujours :p
"Et aussi, je ne pense pas qu'il soit dit quelle main a été coupée ? ça m'a bêtement empêchée d'imaginer de quelle main il peignait.=> en effet, je ne le dis pas, c'est la main droite (il me semble, tu me fais douter XD).
A bientôt !
Johanne
Posté le 13/12/2024
Hola Makara,
J'avoue avoir été assez surprise du cadre de l'histoire, la couverture donne un tout autre atmosphère, cela ne m'a pas empêcher de beaucoup aimer ce premier chapitre, en espérant que le deuxième sera tout aussi savoureux.
Makara
Posté le 19/12/2024
Hello Johanne ! Bienvenue par ici !
En effet, la couverture n'annonce pas forcément l'univers renaissance ;)
En tout cas, si tu as réussi à rentrer dedans c'est le plus important !
Merci de ton passage ;)
Edouard PArle
Posté le 25/11/2024
Coucou Makara !
Je viens faire une petite visite par ici à l'occasion des histoires d'or, après avoir entendu énormément de bien de ton histoire. C'est marrant, j'ai longtemps cru qu'Andrea était une fille alors que c'est un prénom masculin^^
Ce premier chapitre est très sympa. Andrea a du potentiel. Des petits passages comme :
"— J’ai faim. Ma mère lève les yeux au ciel. Elle n’est pas surprise, c’est ma phrase favorite." permettent de nous la rendre attachante.
J'aime bien le personnage de son père (enfin j'imagine que c'est son père), avec une entrée dans l'histoire pour le moins marquée. Il semble avoir une personnalité très marquée, plutôt négative mais je ne crois pas que ce soit un pur méchant non plus, bref j'ai hâte de mieux le découvrir. Ce qui est chouette dans ses dialogues avec Lavinia, c'est la capacité que tu as à nous montrer l'écoulement du temps. Il s'est passé des années, ils ont vécu des choses ensemble. Bref, on a envie d'en apprendre davantage.
Mais les deux principales qualités de ce premier chapitre sont à mon sens l'univers et la peinture.
Le premier parce qu'il donne envie d'être mieux découvert, avec son ambiance un peu Renaissance italienne. Ca m'a un peu rappelé l'ambiance des Salauds Gentilhommes dans certains passages. Je trouve que c'est une époque assez fascinante, notamment au niveau artistiques donc je suis curieux de voir comment tu l'as exploitée. C'est assez subtilement réalisé, sans exposition lourde. On devine qu'on va apprendre découvrir ton monde au fur et à mesure.
Pour la peinture, c'est un peu lié au point précédent mais disons que je sens que ça va être un aspect très prégnant du récit. Dans ce premier chapitre, j'ai beaucoup aimé l'opposition entre l'art du peintre Antonio et l'art de la faussaire Lavinia. Un art négatif pour un personnage positif et vice versa, ça rend leur opposition vraiment chouette.
Et pour finir, ta plume est excellente, mais ça je m'y attendais en venant ici xD
Je continue !
Edouard PArle
Posté le 25/11/2024
"permettent de nous la rendre attachante." de nous le* rendre attachant, je sais pas pourquoi mon inconscient veut que ce soit une fille xD
Makara
Posté le 26/11/2024
Hello Edouard ! Ravie de te voir sur ma nouvelle histoire <3
Je suis contente que le personnage d'Andréa te plaise, je l'ai pas mal travaillé :p.
Merci pour tes compliments sur le style, l'univers et les thématiques, ton interprétation de ces éléments me fait très plaisir !
Concernant le père :
"Il semble avoir une personnalité très marquée, plutôt négative mais je ne crois pas que ce soit un pur méchant non plus, bref j'ai hâte de mieux le découvrir."=> tu le verras tout au long du roman, c'est un des personnages principaux. J'essaie de le nuancer, mais il reste vraiment l'antagoniste principal.
""permettent de nous la rendre attachante." de nous le* rendre attachant, je sais pas pourquoi mon inconscient veut que ce soit une fille xD"=> hihi, tu n'es pas le seul à te tromper XD
Merci encore pour ta lecture et à bientôt !
Mak'
Edouard PArle
Posté le 26/11/2024
"J'essaie de le nuancer, mais il reste vraiment l'antagoniste principal." J'ai cru comprendre par la suite xD
"hihi, tu n'es pas le seul à te tromper XD" marrant ça, tu me rassures un peu xD
Isapass
Posté le 23/11/2024
WOW ! Quel démarrage ! J'adore ! Le travail sur la langue, riche et juste, le choix de la narration au présent et de la première personne qui donnent un sentiment d'inconnu et d'immédiateté, le ton du narrateur, d'abord léger et un peu irrévérencieux, puis qui devient affolé et presque haché quand les choses se corsent... Ca m'a donné l'impression qu'Andrea était un genre de tête brûlée qui prend les choses à la légère (même la perte de sa main, du moins veut-il le laisser croire), qu'il doit avoir le sentiment d'agir en terrain conquis dans son quartier et dans son milieu habituel. Du coup, le choc est d'autant plus rude quand ça ne se déroule pas comme il veut.
Et le moins qu'on puisse dire, c'est que tu ne nous fais pas attendre longtemps le démarrage de l'histoire !
Bravo aussi pour le travail autour de la peinture : je ne sais pas si tu t'y connaissais déjà très bien ou si tu t'es documentée, mais pour une profane comme moi en tout cas, ça sonne très "experte" !
Je me jette sur la suite !
Des bisous !
Makara
Posté le 26/11/2024
Hello Isa ! Oh, ça me fait trop plaisir de te revoir sur un des textes !
Merci pour toutes tes remarques ! Je suis contente que la narration fonctionne parce que mine de rien, je l'ai bien bossée :p
Tu verras que dans les points de vue de Cesare, les phrases sont plus longues et le vocabulaire plus soutenu.
"Bravo aussi pour le travail autour de la peinture : je ne sais pas si tu t'y connaissais déjà très bien ou si tu t'es documentée" => J'ai toujours beaucoup aimé l'histoire de l'art (et accessoirement j'ai une licence en histoire option histoire de l'art) :p
Bref, tant mieux, si ça donne bien !
Pleins de bisous <3
Contesse
Posté le 23/11/2024
Coucou Makara !

Les histoires d'or m'ont conduit ici, et je ne suis pas déçue !
Tout est là dans ce premier chapitre : la présentation du personnage principal, l'univers, l'environnement et l'enjeu principal. Ca se lit très vite, je n'ai pas vu le temps passer !
Ce concours divin mystérieux intrigue et on a hâte de voir comment va se débrouiller un gamin des rues éduqué pour arnaquer parmi les candidats de la haute société ^^
La mère d'Andréa a l'air de cacher beaucoup de secrets, j'espère vraiment qu'on en apprendra vite plus, et qu'elle ne sera pas tuée par cet Antonio, qui manque pas de souffle d'ailleurs.
Mec, si t'as des gosses, faut te renseigner un peu, montrer un minimum d'intérêt stp x)

Un plaisir en tout cas, à tout de suite pour la suite ;)
Makara
Posté le 26/11/2024
Hello Contesse ! Ravie de te voir par ici ! Merci pour tes compliments <3
"La mère d'Andréa a l'air de cacher beaucoup de secrets, j'espère vraiment qu'on en apprendra vite plus"=> oui, on va la revoir !
"Antonio, qui manque pas de souffle d'ailleurs.
Mec, si t'as des gosses, faut te renseigner un peu, montrer un minimum d'intérêt stp x)"=> Exactement ! Je n'arrête pas de le lui dire XD
Merci pour ton passage <3
Je suis contente que ce début te plaise !
Bisous !
Contesse
Posté le 27/11/2024
Pas de souci, c'était avec plaisir que je découvrais ton histoire <3
Bisous !
Vitale
Posté le 18/11/2024
Coucou, j'espère que tu vas bien. Je viens de découvrir ton histoire. Je la trouve très interessante. Je n'ai lu que le début mais il me donne déjà envie de lire le reste (et je sais déjà qu'il faudra se méfier d'Antonio)! Tu as une très belle plume, beau travail!
-Vitale
Makara
Posté le 19/11/2024
Hello Vitale ! Je vais très bien, merci ;)
Bienvenue dans le monde de Tailleur d’Images. Merci pour tes gentils compliments ! J’espère que la suite te plaira :)
Mak’
Vitale
Posté le 19/11/2024
Merci!
Taranee
Posté le 28/10/2024
Salut !

Je cherchais un nouveau roman de fantasy à lire et voilà que je tombe sur celui-ci.
J'ai trouvé le résumé intéressant, tout comme le premier chapitre ! L'utilisation de la première personne ainsi que du présent est ambitieuse, mais c'est plutôt accrocheur. J'ai aussi aimé la première phrase du chapitre.

L'histoire a l'air vraiment intéressante et je sens déjà que cet "Antonio" n'est pas quelqu'un de sympathique...

Par ailleurs, t'es-tu inspiré de l'Italie pour créer Lesinia ? Les canaux, le nom des gens... J'ai l'impression qu'il y a comme une consonance Italienne...

Le seul "reproche" que j'aurais à faire c'est que je trouve le rythme de ce premier chapitre un peu rapide : on passe du travail de faussaire, au déjeuner, puis à l'arrivée d'Antonio de manière trop rapide, ce qui rend moins naturelle la succession des évènements.

Tara
Makara
Posté le 28/10/2024
Hello Taranee :)
Bienvenue dans "Tailleur d'Image" !
"J'ai trouvé le résumé intéressant, tout comme le premier chapitre ! L'utilisation de la première personne ainsi que du présent est ambitieuse, mais c'est plutôt accrocheur. J'ai aussi aimé la première phrase du chapitre."=> Merci ! Tant mieux, si ça t'a donné envie de lire !

"L'histoire a l'air vraiment intéressante et je sens déjà que cet "Antonio" n'est pas quelqu'un de sympathique..."=> en effet !

"Le seul "reproche" que j'aurais à faire c'est que je trouve le rythme de ce premier chapitre un peu rapide : on passe du travail de faussaire, au déjeuner, puis à l'arrivée d'Antonio de manière trop rapide, ce qui rend moins naturelle la succession des évènements."=> Je note ! Je pense que j'ai la possibilité de plus poser l'ambiance au début :)

En tout cas, je suis ravie que tu découvres l'histoire, car je crois que tu es pile dans la tranche de lecteurices que je vise :p
A bientôt !
Mak'

Rimeko
Posté le 27/08/2024
Coucou !!
Je parcours les nouveautés pour les OlymPAdes et là, que vois-je, une nouvelle histoire de Makara :D

Les coquillettes et remarques , comme d’hab’ :
« plonge mon pinceau en poil(s) d’écureuil »
« Retravaille le vermillon » et « dans les pigments grenat » -> grenat et vermillon, c’est pas la même teinte ^^ Grenat c’est plus proche du bordeaux, vermillon c’est un rouge vif tendant légèrement vers l’orange – ça ne me choquerait pas de les utiliser comme synonymes dans un autre contexte, mais là vu qu’on parle de peinture...
« J’applique mon pinceau sur la toile(,) accentuant les reflets sur les plis du tissu. »
« Celui-ci m’a valu (me vaut) de belles chutes quand j’oublie que je n’ai plus ma main droite. » -> le concordance des temps, ce bonheur...
« — Ça fait longtemps que je ne reviens plus aussi sale » -> j’ai compris après que c’était Andréa qui parlait ^^ Peut-être ajouter un point d’exclamation pour qu’on comprenne plus aisément qu’il s’insurge de la remarque de sa mère... ?
« Laisse(-)nous. Oublie(-)nous. »
« Il y a dans la voix de ma mère une vibration (que) je n’aime pas du tout. »
« Je ne prendrai aucun risque maintenant que je vous ai retrouvé(s) »

Et une dernière remarque : pourquoi l’homme propose-t-il à la mère de l’emmener en même temps qu’Andréa (« — Tu peux venir avec nous si tu le souhaites. Je veillerai à ce que tu sois bien nourrie et bien logée ») et puis dans le reste du texte, ce n’est plus évoqué, et ça ne parle plus que du départ d’Andréa et de leur séparation ?
En tous cas, c’est un plaisir de retrouver une de tes histoires ! J’aime beaucoup le style que tu adoptes ici, ce ton un peu « simpliste » mais très vrai, qui colle parfaitement avec l’usage de la première personne, a fortiori avec un narrateur enfant / ado (... il a quel âge Andréa en fait ?) Ça détonne un peu avec certains côtés plus sombres de l’univers (‘dieu, mais quelle première phrase... ça, c’est une bonne accroche, on peut pas dire !), mais dans le bon sens du terme, et ça rend la lecture vraiment fluide.
L’influence Renaissance italienne est très très cool aussi, il me semble que c’est plutôt original en plus, et puis même les canaux et les masques et la peinture, j’approuve de toutes façons x’D Surtout que je me doute bien que tu t’y connais !
J’ai hâte d’aller mettre mon nez dans la suite maintenant, c’est une très bonne entrée en matière qui donne envie d’en savoir plus sur ce mystérieux géniteur, et ce qui va arriver par la suite...
Makara
Posté le 28/08/2024
Hello Rim !!! Oh mais ça fait trop plaisir de te voir par ici !!!
Je suis trop contente que ce début te plaise :).
Merci pour ton relevé des remarques et coquillettes ! Comme d’hab ton œil perçant voit tout :p.

« — Tu peux venir avec nous si tu le souhaites. Je veillerai à ce que tu sois bien nourrie et bien logée ») => c’est vrai qu’on en reparle pas tout de suite du fait que la mère soit obligée de suivre. C’est un élément que je vais devoir retravailler dans la réécriture.
En tout cas, je suis ravie si tu trouve l’univers et les thématiques originales :). Je t’avoue que je m’y connais en histoire de l’art mais pas en technique de peinture donc si tu lis des choses qui te paraissent bizarres, n’hésite pas à me le faire remonter !

En tout cas, j’ai hâte d’avoir ton avis sur le reste (et tu n’es pas obligée de tout commenter ;) )

Pleins de bisous 😘
Mak’
Bleiz
Posté le 23/08/2024
Salut Makara,

Super première phrase, qui m'a accrochée directement dans le récit !

La façon de parler d'Andréa aide aussi beaucoup à se plonger dans l'histoire, ça se fait très naturellement. Je ne sais pas encore quel âge il a, mais sa façon de parler est assez enfantine, je ne sais pas si c'est fait exprès ? (Je viens de lire qu'il a seize ans, du coup je me demande si ce décalage est fait exprès).
Ton style narratif est vraiment clair et nous emmène dans le lecture, et tes descriptions sont simples mais très "visualisables". Je suis fan !

Seul petite remarque : en grande fan de la Renaissance, j'ai noté le nom "Sforzi"... Un peu gros peut-être, mais c'est vrai que ça marche ;)

À bientôt,
Bleiz
Makara
Posté le 23/08/2024
Hello bleiz ! Merci de ton passage sur mon texte ! Je suis contente que l'accroche te plaise ainsi que l'univers :)
C'est vrai que dans les premiers chapitres, Andréa fait un peu plus jeune que son âge, après il a un côté assez gouailleur et immature qu'il va perdre durant le récit.
Alors si tu connais bien la Renaissance, il y a globalement un peu toutes les grandes familles dans le récit, j'ai souvent juste changé quelques lettres :p.
Merci en tout cas pour tes compliments sur mon style et sur le côté immersif, ça me fait très plaisir que ce début fonctionne !
A bientôt pour la suite !
Mak'
LisbethBeaumont
Posté le 22/08/2024
Hello Makara,

Très contente d’avoir lu ce premier chapitre car j’adore ce monde, et ta plume.

J’adore l’entrée en matière : « Le jour où ma main a été coupée, je me suis juré qu’on ne m’attraperait plus. Certains vous diront que voler c’est mal, d’autres que voler c’est un art. Je me range dans la deuxième catégorie. » Ça poste le cadre et c’est très efficace.

J’aime bien aussi le fait qu’on devine le caractère et les valeurs d’Andrea a travers des détails : « J’aime imaginer qu’un petit bourgeois sans talent affiche notre faux à la vue de tout le monde… »

Ton style d’écriture est fluide et les détails rendent l’histoire vivante sans être pesante. Les dialogues sont naturels ce qui est toujours un vrai challenge.

Les points auxquels je ferais attention :

J’aime bien la relation entre Andréa et sa mère, mais je l’aurais approfondie un peu pour poser les bases des conflits et surprises qui peuvent venir après (notamment le père).

Dans la même veine, la réaction face au père mériterait peut-être d’être poussée un peu plus aussi pour sembler plus naturelle (pour André et Livia), par des mots, des gestes, des pensées. Cela donnerait plus de profondeur à leur réaction qui, là, passe presque trop bien je trouve.

Il y a des détails sur le monde que je n’arrive pas forcément encore à comprendre (Les descriptions de la ville, des canaux, et de l'atelier familial sont très clairs et on voit bien les influences, mais tout ce qui est de l’ordre du World bulding est un peu flou encore) mais c’est tout à fait normal pour un premier chapitre donc je ne me suis pas du tout bloquée là-dessus.


J’espère que ce commentaire te sera utile (le message principal à retenir étant que j’ai beaucoup aimé) et je lis la suite avec plaisir !
Makara
Posté le 22/08/2024
Hello Lisbeth ! Bienvenue dans mon histoire :p
Je suis contente que mon entrée en matière te plaise ! J'avoue que je l'aime bien aussi. Tu verras que tu ne vas pas t'ennuyer avec Andréa ! Je note pour l'approfondissement de la relation entre Andréa et sa mère ! Surtout qu'elle est importante pour la suite. Globalement, je prends tous les retours qui me seront surtout utiles quand j'aurais terminé le 1er jet !
Je ne suis pas une très grande fan de world building, ou en tout cas dans le 1er jet, on a surtout que la structure d'ensemble où évolue les personnages. Tu me diras si c'est gênant sur la suite !
Merci pour ce commentaire très utile et à bientôt sur ton histoire ou la mienne ;)
Mak'
Loup pourpre
Posté le 04/08/2024
Bonjour Makara,

Apparemment, d'après le peu de ce que j'ai lu de toi, tu sais raconter les histoires avec une certaine propension à les rendre vivantes sans forcer le trait sur la description. Que ce soit, les personnages d'Andréa, de sa mère ou d'Antonio, j'ai tout de suite soit de l'attachement soit de l'agacement.

Tu as bien posé les bases de ton histoire tout en intriguant.

Je passe à la suite.
Makara
Posté le 06/08/2024
Hello Lou poupre ! Bienvenue par ici !
Merci pour tes gentils compliments ! Je suis contente que ce premier chapitre fonctionne et que les personnages ne laissent pas indifférents !
Bonne lecture à toi :)
Mak'
Vesta
Posté le 01/08/2024
Bonjour Makara, je me suis laissée séduire par ta jolie couverture pleine de couleurs et maintenant par le premier chapitre de ton roman ! Tu as une écriture très immersive et agréable à lire. J'aime particulièrement le personnage d'Andréa que je trouve attachant dès les premiers instants. Hâte de me laisser porter par ton univers et de découvrir la suite !
Makara
Posté le 01/08/2024
Hello Vesta ! Merci pour ton gentil commentaire et tes compliments ! Merci aussi d'avoir mis le centième com sur cette histoire <3
Je suis très contente que tu apprécies Andréa dès les premiers instants ;)
Je te souhaite la bienvenue sur PA, j'ai l'impression que tu viens d'arriver !
J'espère que la suite continuera de te plaire !
Au plaisir :)
Mak'
Daënor Sauvage
Posté le 29/05/2024
Bonjour Makara,

Un plaisir de découvrir ton texte aujourd'hui ! Tu nous plonges avec aisance dans ton univers, et plus encore dans celui de Andréa. Je ne vais pas y aller par quatre chemins : j'ai adoré ta mise en bouche.

Ton personnage est hyper attachant et vivant dès les premiers instants. ça fait vraiment plaisir à lire et l'attachement est quasi instantané. Andréa est vif, plein de curiosité, plein d'adresses malgré sa seule main et en même temps paraît assez lucide sur le monde qui l'entoure. J'aime beaucoup.

Pour les autres personnages - la mère, les gamins et Antonia et les deux gardes - ils sont intéressants également, quoi que décris de manière plus fugace. Je ne doute pas que tu explores d'avantage Antonio par la suite.

Ton premier chapitre est fluide et agréable à lire. Je me permet cependant un retour sur le format (peut-être unique à PA, je ne sais pas) mais les paragraphes d'une phrase sur la fin m'ont assez agacé. Je trouvais la forme meilleure dans la toute partie du chapitre entre des paragraphes assez courts entrecoupés de dialogues.

Tu utilises de belles images pour décrire ton univers ou même des scènes qui sont plus dans l'action. J'en garde quelques unes pour preuve :

"Un rien me déconcentre : un chant d’oiseau, un cri de mouette, une poussière qui vole, un cheveu sur ma veste. Le monde est si vivant. Peindre l’immortalise,"
"Je sors sur le parvis de la maison. L’eau vient lécher la pierre blanche jusqu’à mes sandales. De là où je me tiens, j’aperçois un dédale de passerelles qui grignotent les bâtiments et quelques ponts qui enjambent l’eau limpide."
"Ma mère nous sert une rasade de potage. Immédiatement, ce qui m’entoure disparaît. Il n’y a plus que la viande, les légumes et ce beau bouillon bien gras. Quel délice !"

Je ne vais pas m'étendre dessus, c'est juste très bien haha ! :)

Quelques retours qui sont, à mon sens, améliorables :
"Je recule de quelques pas en même temps que ma mère. Elle penche sa tête sur le côté et un rideau de cheveux noirs tombe sur son épaule. Elle est belle.

D’une beauté différente que celle que l’on aime peindre sur l’île d’Egade. Elle n’a pas une peau de porcelaine ni des yeux clairs, mais une peau foncée et un regard de marin, de ceux qui ont tout vu et tout vécu."

=> Ici, je verrai plutôt la conclusion 'Elle est belle' à la fin de la description plutôt qu'au milieu. Tu gagneras ainsi en fluidité et en impact.
La comparaison des peintures des canons de beauté et le corps de la mère est hyper bien trouvé, mais la phrase est un peu bancale. Je verrai plutôt un truc du style : "Au contraire des femmes que l'on aime peindre sur l'île d'Egade, ma mère a la peau foncée et un regard de marin. Un regard qui a tout vu. Qui a tout vécu".
> Comme tu utilises le contraire, en tant que lecteur, on sait immédiatement ce que les autres peintres aiment comme type de femme. Mais sans le décrire, on se concentre sur la beauté d'une seule femme, la mère. Au final, on imagine qu'elle, et c'est bien mieux ainsi.

"Nous vivons dans un immeuble penché, les fondations en pilotis ont été mal réalisées.
=> L'histoire de comment ils sont arrivés là est sympathique, mais je m'attendrais à avoir plus de descriptions ici. De détails sur la vie dans un immeuble penché. Les pieds des meubles sont rabotés pour être droit ? Y a t t-il des meubles différents ? Dorment ils dans des hamacs plutôt que des lits ? Y-a-il de la végétation qui pend ça et là ? etc...

De manière générale, je pense que tu peux approfondir certaines descriptions. Sans trop alourdir le texte, ajouter ça et là quelques phrases descriptives, d'outils, de détails de la vie courante. ça ajouterait de la substance à ton univers.

"Il est suivi par deux épéistes."
=> Tu peux remplacer par spadassin. C'était des soldats aguerris aux maîtrises des armes dans l'Italie du moyen-âge et renaissance. Le terme va renvoyer une image plus forte dans la tête du spectateur, où l'on s'imagine tout de suite des hommes en armes et en armure. Un paysan qui tient une épée courte est un épéiste. L'image n'est pourtant pas égale. :)

Enfin, comme pour les autres commentaires déjà postés, approfondir un peu l'échange entre la mère, Antonio et Andréa me paraît intéressant. Surtout les émotions et les marques sur les corps ! :)

Hâte de lire la suite. Très beau travail, très beau récit en tout cas !
Mes salutations,
Makara
Posté le 30/05/2024
Coucou Daenor ! Bienvenue sur le site Plume d'argent :) J'ai l'impression que cela ne fait pas très longtemps que tu es là !
Alors déjà un grand merci pour tes compliments ! Cela me fait très plaisir que tu sois embarqué aussi vite dans l'aventure :). J'avoue que c'est facile d'écrire dans le point de vue d'Andréa : je je m'amuse beaucoup !
Merci pour le relevé de passages que tu as aimé ! Cela fait plaisir à lire.
Je note aussi tes propositions, elles sont très pertinentes !
Merci encore !
J'espère que la suite te plaira :)
Mak'
Daënor Sauvage
Posté le 31/05/2024
Bonjour Makara !

Merci beaucoup pour ton message ! En effet ça fait assez peu de temps. :)
Je suis pas mal actif sur le discord, mais je n'ai pas encore beaucoup lu de récits sur le site. Petit à petit !

Cela se voit que tu t'amuses et c'est pour cela que c'est autant plaisant pour le lecteur.ice. =)
Je n'ai aucun doute sur la suite héhé !

Au plaisir,
Daënor
Tac
Posté le 25/05/2024
BOUH !
Ha ha ! J'ai mis 140mille ans mais je suis làààààà
Eh bah quel chapitre ! Cet Antonio, un amour, vraiment hâte de l'inviter à dîner, hein... Jai pas grand-chose à dire de plus, j'ai bien apprécié ce premier chapitre ! Je trouve qu'il lance bien l'histoire. Enfin pour ce que j'en sais.
J'ai des questions remarques en vrac :
- immortalise : c'est un terme technique de ton univers, je suppose ? (tu peux répondre par oui ou par non, sans expliquer)
- "le chemin est long et tortueux" : l'expression sonne un peu lieu commun à mes oreilles, je suis chagrin que tu n'aies pas remanié un bidule sauce Makara (ouais je commence direct dans l'exigence, sorry <3 )
- "poil d’écureuil " oulala la maltraitance animale :P
- "sur la toile accentuant" : y manque une virgule
- Quelque temps : quelqueS
- le paragraphe sur l'histoire d comment Andréa s'est retrouvé dans l'immeuble (celui avec la phrase "période de vache maigre" si tu veux faire un ctrl+f ) me chafouine : il est fait mention des familles aidées par ANdréa et sa mère mais on n'a que les explications de comment elleu-x même ont été aidé.es... y a un côté pas logique pour moi de pourquoi c'est mentionner si c'est pour partir aussitôt sur autre chose (parler dees autres familles pour finalement parler de l'installation de celle d'Andréa).
- que je vous ai retrouvéS
Plein de bisous !
Makara
Posté le 26/05/2024
Hello Tacounet ! Je suis trop contente que tu découvres cette histoire ! En plus, je crois que c'est une vraie découverte pour toi, car je ne crois pas t'en avoir beaucoup parlé :p
Oui, tu as vu, Antonio est adorable, bien toxique comme il faut ! En tout, je suis contente que tu aimes ce début ! Ce n'est jamais évident les 1er chapitres !
"immortalise" est bien un terme technique de mon univers. Je note pour l'expression à retravailler à ma sauce ! Tu as raison d'être exigent avec moi :p
Merci pour les coquilles, je vais corriger !
A bientôt tacounet !
Loutre
Posté le 24/05/2024
Hello !

Après avoir accroché au résumé de ton histoire, me voici !

J'aime bien ce début que tu nous offres. Les personnages sont bien campés. Andréa est immédiatement sympathique. Plusieurs petits détails le rendent très humains : sa relation avec sa mère, bien sûr, mais aussi sa capacité à se laisser captiver par les petites choses de la vie. On le sent jeune, pas toujours très rigoureux, vulnérable et déterminé. J’ai hâte de voir comment il va évoluer et faire face aux défis qui l’attendent. D'autant plus que l'arrivée d'Antonio laisse présager de beaux rebondissements.

J'ai lu rapidement d'autres commentaires et je trouve aussi qu'évoquer davantage l'absence d'une des mains d'Andréa serait intéressant. Surtout que tu commences avec ça, donc on s'attend à en entendre davantage parler, que ça soit dans la vie quotidienne de ton personnage ou de ce que cette perte représente pour lui.

Je me rends compte que je n'ai rien dit à propos des descriptions des lieux, pourtant je les ai trouvées très bien dosées. La cité de Lénisia est très vivante. Pareil pour l'atelier ; tu ajoutes des petits détails qui donnent un côté tangible, concret, que j'aime beaucoup. C'est tout bête, mais je pense aux détails sur la fabrication des pigments, l’utilisation des scarabées pour le vermillon... C'est le genre de petits détails que j'aime bien croiser.

En tout cas j'ai hâte de découvrir la suite ! A bientôt, donc !
Makara
Posté le 24/05/2024
Hello Loutre ! Bienvenue dans l'histoire :P
Merci pour ta lecture et tes ressentis ! ça me fait toujours très plaisir et je suis contente de savoir que ce premier chapitre fonctionne ! Je note pour insister un peu sur sa main ! C'est vrai que ça nous permettrait aussi de savoir comment il s'adapte ;)
Je suis ravie que tu aimes l'ambiance, Andréa et les descriptions !
J'espère que la suite continuera de te plaire !
Mak'
Saskia
Posté le 16/05/2024
Salut Makara !

J’ai bien aimé ce début d’histoire. Le héros a une personnalité attachante et une belle relation avec sa mère. Ça se voit qu’ils s’aiment beaucoup, même si Andréa a besoin d’être recadré un peu tant il est tête en l’air.

« Un immense sourire illumine mon visage. Mon esprit est tiraillé entre deux activités possibles : espionner les fortunés ou manger. Mon ventre l’emporte.
— J’ai faim.
Ma mère lève les yeux au ciel. Elle n’est pas surprise, c’est ma phrase favorite. Elle pose ses outils.
— Appelle les autres, il doit me rester de quoi faire un potage à la viande. »
> Ce passage m’a beaucoup plu ! Ça m’a rappelé pas mal de souvenirs passé à demander « Quand est-ce qu’on mange ? » à ma propre mère XD Du coup je me suis sentie tout de suite très en phase avec le héros, même si je n’ai plus son âge depuis longtemps.

Et puis, c’est chouette tous les détails autour de la peinture et de leur travail en tant que faussaires. J’avoue que je n’y connais rien dans ce domaine, mais c’est très agréable à lire en tout cas ! Je me suis juste demandé laquelle des deux mains d’Andréa avait été coupée et si ça ne le gênait pas pour peindre ?

En fait, de façon générale, je trouve que tu n’évoques pas assez la façon dont il s’est adapté à vivre avec une seule main. Quand j’ai lu cette phrase un peu plus loin : « Cela me rappelle un peu trop sa fébrilité le jour de mon châtiment. » J’ai eu un moment d’arrêt, à me demander à quoi il faisait allusion. Puis j’ai fini par me rappeler de sa main en moins et compris que c’était ça le châtiment dont il parlait. Mais ça aurait été plus facile de faire le lien si je n’avais pas plus ou moins « oublié » la présence de son handicap entre temps.

Aussi à un moment tu écris « J’aide Mino à accoster et je tends une main pour les aider à descendre. ». La formulation de cette phrase ne me semble pas des plus judicieuses, tendre une main sous-entendant qu’il en aurait une deuxième… « je tends ma main valide » ou « mon unique main » fonctionnerait mieux je pense.

C’est d’autant plus dommage que je trouve ça super d’avoir un héros avec une main coupée ! C’est peu courant et mériterait d’être plus mis en valeur. (D’ailleurs, j’ai un personnage secondaire comme ça dans mon propre roman, et ça me fait penser que je ferais mieux d’aller vérifier que j’applique correctement moi-même le conseil que je te donne XD)

J’aime bien aussi le décor autour d’eux, la comparaison avec la méduse. Et ça fait effectivement très renaissance italienne !

Après il y a beaucoup de tensions lorsque le père d’Andréa débarque pour l’arracher à sa mère. La relation entre Antonio et Lavinia a l’air très compliquée, mais ça m’intrigue et j’espère qu’on en saura plus là-dessus dans la suite de l’histoire.

Maintenant j’ai hâte de découvrir à quoi va ressembler le nouveau quotidien d’Andréa.

Je repasse dès que possible jeter un œil à la suite ^^
Makara
Posté le 18/05/2024
Coucou Saskia ! merci de ta visite et ton commentaire très constructif et intéressant à lire ! Je suis très contente que tu sois sensible à la personnalité d'Andréa et à l'univers de la peinture ! C'est un domaine que j'aime beaucoup (même si je ne pratique absolument pas la peinture).
Tu as raison, il faudrait que je m'attache un peu plus à son handicap. Je ne souhaite pas trop le mettre en avant, mais ici, son handicap est un peu invisibilisé. J'aimerais trouver un juste milieu pour évoquer les adaptations misent en place sans que cela soit trop forcé. Je suis en cours de réflexion sur le sujet, lais je note tes suggestions.
"La relation entre Antonio et Lavinia a l’air très compliquée, mais ça m’intrigue et j’espère qu’on en saura plus là-dessus dans la suite de l’histoire."=> On va en savoir plus, ne t'inquiète pas !
Au plaisir de lire tes remarques et ressentis Saskia :)
Mak'
Ayunna
Posté le 13/05/2024
Coucou Makara !
Eh bien me voilà pour cette nouvelle histoire... que j'ai trouvé palpitante :)
Je retrouve ta belle plume, fluide, tes descriptions efficaces.
Le ton est donné, c'est à la fois doux, percutant, et cette fin, saisissante et vraiment bien menée, bravo ;)
On a envie de savoir la suite
Andréa est un personnage très attachant, dès le début, bravo d’avoir su maîtriser ton accroche 😊
J’ai adoré ses réactions d’enfants, les expressions enfantines sans en faire trop (chapeau ^^ )le côté impulsif et naturel qui ressortent de ton personnage. On plonge directement dans sa façon de voir les choses et c’est très bien fait.
On sent une ambiance Italienne ici :)

Des petites suggestions si je peux t'aider, très peu car tout est bien écrit, et tu fais comme tu le sens :)
« Elle n’a pas une peau de porcelaine ni des yeux clairs, mais une peau foncée et un regard de marin, de ceux qui ont tout vu et tout vécu. » j’ai trouvé cette phrase très belle
J’aurais juste mis « mais un teint foncé » pour éviter la répétition de peau (que tu réutilises après aussi « la peau sur les os) et parfaite la beauté de ta formulation
Attention à l’emploi redondant du « et » dans certains paragraphes, certains pourraient être supprimés facilement, tu gagnerais en fluidité ; ) (je t’avais souvent souligné ce point dans Nimbe c’est pour ça que j’en parle ^^ )
Petit détail ici :
« — Antonio, laisse le emporter ce dont il a besoin. » un trait d’union entre laisse-le.

Sinon, je ne sais pas si tu connais la série manga Arte ? C'est vraiment chouette et cette ambiance Italienne avec cet univers autour de la peinture m'y a fait penser
Bravo pour ce nouveau projet, vraiment chouette :)

Ayunna
Makara
Posté le 15/05/2024
Hello Ayunna ! Oh tu es passée me lire, tu es trop mimi ! Merci beaucoup pour tes compliments ! Cela me fait très plaisir ! Je suis contente si tu trouves Andréa attachant ! J'espère qu'il continuera de te plaire :)
Je prends note de tes remarques de style sur les "et" ainsi que la répétition de peau !
Je ne connais pas du tout ce manga, il a l'air bien, merci pour la référence ! J'irai voir <3
A bientôt !
Mak'
Ayunna
Posté le 15/05/2024
Coucou !
Avec plaisir, j'adore ta plume donc ^^ :)
Je te conseille vraiment ce manga Arte, c'est génial :) tu vas aimer c'est sûr
Yorffoeg RB
Posté le 05/05/2024
Hello Makara ! J'ai beaucoup aimé ce début d'histoire. J'aime particulièrement le soin que tu apportes à la description des techniques de peinture. On sent un univers concret autour de cela et ça donne envie de s'y plonger, d'en découvrir plus sur la peinture et leur façon de vivre de tous cela. On est curieux d'en savoir plus sur ce mystérieux Desiderosi et bien sûr sur ce Antonio.
Hâte de voir où cela va mener !
Makara
Posté le 06/05/2024
Hello Yorffoeg et bienvenue sur le site ! J'ai l'impression que cela ne fait pas longtemps que tu as posé tes valises !
Merci pour tes compliments :). J'essaie en effet de faire attention à l'univers même si dans ce premier chapitre, on ne voit que quelques bribes !
J'espère que la suite te plaira :)
Yorffoeg RB
Posté le 07/05/2024
Oui, en effet, je suis tout nouveau !!
C'est très chouette en tout cas de découvrir les histoires des uns et des autres :)
Kout🔆
Posté le 04/05/2024
Salut
J'ai beaucoup aimé ce premier chapitre ! Le contexte est original et il y a beaucoup de mystères... Ça donne envie d'en savoir plus ! Je vais lire la suite très vite !
Makara
Posté le 04/05/2024
hello Kout ! Merci de ta lecture et de tes remarques ! Je suis contente si ce premier chapitre donne envie de lire la suite ! J'espère qu'elle te plaira !
A bientôt !
Mak'
Kout🔆
Posté le 04/05/2024
Je lirais la suite demain ;) !
Fractale
Posté le 04/05/2024
Coucou !

Je découvre ton histoire et je trouve ce chapitre vraiment prometteur ! On plonge dans le monde d'Andréa et de sa mère, dont j'ai trouvé l'activité de faussaires originale et intéressante, ça caractérise tout de suite leur relation. J'ai beaucoup aimé les remarques d'Andréa sur la façon dont sont créés les pigments qu'il utilise et l'omniprésence de la peinture dans le récit grâce aux pensées d'Andréa (sa mère a une beauté différente de celle qui est prisée par les peintres locaux, ses parents sont aussi immobiles que des modèles, …), ça donne un regard particulier au personnage.

J'apprécie aussi l'univers dans lequel tu nous plonges, il n'y a que de petites références au fait qu'on est dans un autre monde pour l'instant mais j'ai bien aimé, ça a suffi à créer une impression de dépaysement chez moi. La ville-méduse est une jolie métaphore, j'espère en apprendre plus, et la référence au "passeur de Lénisia" m'intrigue pas mal.

Je trouve le personnage d'Andréa attachant, ça m'a amusée de le voir sans cesse se perdre dans ses pensées, il a l'air d'avoir du mal à rester en contact avec la réalité vu sa tendance à divaguer… C'est agréable en tant que lectrice, on découvre l'univers de l'histoire d'une façon plutôt naturelle grâce à lui et c'est attendrissant de le voir rêvasser !

Quelques remarques sur des points qui m'ont un peu dérangée dans ma lecture :

- J'ai trouvé que les paragraphes parfois très courts hachaient le rythme, certains retours à la ligne ne m'ont pas paru très naturels, comme quand il expliquait la fabrication des pigments avec les scarabées où on avait quasiment une phrase par paragraphe…

- "Je ne suis pas surpris, car nous sommes dans la cité des orfèvres et c’est la dernière mode de cacher son visage sous sa production." Dans cette phrase l'exposition me paraît un peu trop criante, j'ai l'impression qu'il s'adresse directement à un public à qui il doit expliquer sa réaction… Comme c'est le seul endroit où il le fait, ça m'a frappée et un peu tirée de l'histoire.

- "Soudain, ma mère se laisse tomber à genoux, les mains jointes tournées vers l’étranger." J'avoue que j'ai trouvé ça un peu trop théâtral, cette action de la mère, je n'arrive pas bien à visualiser ce qui la pousserait à le faire. Essayer de le raisonner, lui prendre les mains, lui promettre quelque chose en échange ou lui proposer de faire quelque chose pour lui s'il n'emmène pas Andréa m'aurait semblé plus pertinent. C'est peut-être juste moi, je ne sais pas du tout, mais le geste de se jeter à genoux m'a paru exagéré, comme si elle "jouait" à le supplier. (Après bien sûr j'ai pas tous les éléments, ce n'est qu'un ressenti peut-être totalement bugué !)

Voilà voilà, en tout cas ce début m'a accrochée et je compte me plonger sans tarder dans la suite de l'aventure !
Makara
Posté le 04/05/2024
Hello Fractale ! Merci de ta lecture et tes remarques très pertinentes ! Bienvenue sur mon histoire :)
Je suis contente si tu apprécies le personnage d'Andréa, je m'amuse beaucoup avec ce perso. Au niveau des passages très courts, c'est un choix narratif de ma part. J'imagine que ça peut un peu destabiliser, à voir si je n'en fais pas trop ou si tu t'habitues sur la suite. Tu verras qu'avec son demi-frère, on est pas du tout dans le même type de narration :p
Je note pour le passage explicatif, je vais voir si je peux le reformuler pour que cela fasse moins "exposition".
Concernant ton dernier point sur l'attitude de la mère, j'ai réécris la fin du chapitre il y a peu et j'ai enlevé ce passage qui faisait un peu trop théâtral. Tu as bien mis le doigt sur un élément qui me chiffonnait déjà !
Super si tu as accroché aux débuts, je suis ravie d'avoir tes retours <3
j'espère que la suite te plaira !
Fractale
Posté le 04/05/2024
Coucou Makara ! Je suis contente que mes commentaires puissent t'être un peu utiles, et je te confirme que la suite me plaît beaucoup pour l'instant ! Merci pour ces moments de lecture !
Defghard
Posté le 27/04/2024
Coucou Makara !

Je découvre ce site et je suis tombé sur ton histoire, je ne suis pas un auteur chevronné alors je m’arrêterais simplement à mon ressenti :

J’ai beaucoup aimé l’ambiance, on visualise très bien l’atmosphère et même l’agencement particulière de la ville.
La relation d’Andréa avec sa mère est je trouve un peu trop « évidente » par contre. On dirait qu’il n’y a qu’un amour inconditionnel entre les deux alors qu’Andréa s’est tout de même fait couper la main vraisemblablement à cause d’elle ?
Aussi pourquoi un riche orfèvre viendrait s’adresser à eux pour chercher une oeuvre originale qui semble si précieuse ?

Mais autrement, c’est très inspirant et très bien écrit j’ai beaucoup aimé ton entrée en matière , bravo !
Makara
Posté le 29/04/2024
Hello Defgard ! Bienvenue sur le site et sur mon histoire :).
Merci pour ta lecture et tes compliments sur l'atmosphère et l'écriture ! Cela me fait très plaisir !
Je suis toujours contente d'avoir des ressentis de lecture !
"On dirait qu’il n’y a qu’un amour inconditionnel entre les deux alors qu’Andréa s’est tout de même fait couper la main vraisemblablement à cause d’elle"=> Absolument pas ! Quand Andréa vivait comme un voleur, sa mère ne le savait pas ! Elle n'est absolument pas responsable.

"Aussi pourquoi un riche orfèvre viendrait s’adresser à eux pour chercher une oeuvre originale qui semble si précieuse ?"=> Ahaha parce qu'il n'est pas ce qu'il prétend être :p
En tout cas tu te poses les bonnes questions ! A bientôt sur ton histoire ou la mienne :)
Artichaut
Posté le 17/04/2024
Hello Makara.

Ravi de découvrir une nouvelle aventure de ta plume toujours très efficace et percutante. Ça se lit tout seul (gros gros +).

J'ai bien aimé ce début d'intrigue. En particulier le personnage d'Andréa. Un peu trublion. Courageux. Glouton aussi.
Le fait qu'il soit manchot est très intéressant et ça donne une phrase d'accroche efficace. Je trouve cependant que tu pourrais davantage nous le faire sentir dans ses actions du quotidien (le repas) et de peintre. Par exemple, lorsqu'il mélange les couleurs, un peintre utilise une palette d'une main et son pinceau de l'autre. Comment s'y prend-il, lui ?

Le fait d'en faire un artiste faussaire est très intéressant également. J'aime beaucoup cette idée. C'est inédit comme trait de héros et ça attise direct ma curiosité.
J'ai aimé le fait qu'ils travaillent à deux, avec sa mère, et d'après modèles / documentation. Ça crédibilise leur façon de procéder. Et ça les rend complices d'emblée.

J'aime beaucoup le décor. La maison penchée (façon tour de Pise), les canaux et les gondoles (façon Venise). Et les masques aussi. Tout ça sonne un peu italien, et je l'ai bien ressenti. Ça m'a même donné envie de pizza^^
Je trouve que tu aurais pu encore plus m'immerger en faisant vivre ce décor.
Dans la maison qui penche, j'imagine les objets rouler, un escalier dont on menace de tomber si on ne se cramponne pas à la rambarde, etc.
Avec toute cette eau environnante, j'imagine des odeurs de vase, des animaux, des plantes aquatiques, des bruits aussi.
Ceci dit, dans le cadre d'un premier jet, c'est une remarque anecdotique. Les descriptions peuvent venir après coups.

J'ai bien aimé le personnage du père. Il est inquiétant. Et il donne le ton pour la suite. Lorsqu'il retire son masque, je pense que Andréa pourrait y voir une ressemblance physique avec lui. Forcément, on est toujours un peu le portrait de ses parents et s'il est peintre, on peut l'imaginer un minimum physionomiste.

Hâte de découvrir la suite. Tu as un bon rythme de publication, ça ne va pas être évident de te rattraper haha.
Et bon courage pour l'écriture.

À bientôt.
Artichaut
Makara
Posté le 17/04/2024
Hello Artichaut ! Oh ça me fait trop plaisir de te voir par ici ! Tes remarques sur mon précédent texte étaient très pertinentes et je suis vraiment contente que tu te lances dans ma nouvelle histoire ! J'espère qu'elle te plaira :)
Merci pour tes compliments sur ma plume ! La fluidité d'un texte est très important pour moi :) (même pour un premier jet !).
Comme d'hab c'est vraiment agréable de t'avoir comme lecteur, tu trouves les éléments à améliorer facilement :p
Je suis contente que tu apprécies Andréa, je voulais que le personnage soit bien caractérisé dès le début, c'est ce qui m'avait manqué sur mon précédent projet.
C'est vrai que je pourrai un peu développer certaines descriptions de la maison et des canaux en y ajoutant les odeurs et les bruits. Je vais me repencher sur le handicap d'Andréa aussi, pour y faire plus référence et montrer ses adaptations ou celles réalisées par sa mère.
Le personnage du père aura un rôle important, c'est autour de lui que les reste des personnage s'agite :p
Au niveau du rythme de publication, il risque de ralentir un peu, car j'arrive au moment où je n'ai plus de chapitre d'avance et donc soit j'arrive à écrire efficacement dans la semaine soit non :p
Hihihi.
En tout cas, je ravie de te compter dans l'aventure !
A bientôt !
Mak'
Cléooo
Posté le 10/04/2024
Hello Makara ! Je suis ravie de te partager mon avis sur ton premier chapitre :)

Déjà, pour commencer, je trouve que tu poses très vite les contours de ton histoire, et c'est un excellent point. Un premier chapitre dépeignant (sans mauvais jeu de mots) la catégorie sociale de tes personnages, leur quotidien, leurs problématiques, et un événement déclencheur qui arrive vite !

À la lecture de ton résumé, je me suis dit "tiens, curieux, sa mère fait de lui une sorte de criminel et son père n'est pas au courant ?" mais tu as très vite éclairci cela donc tout va bien.

Maintenant plus au détail :
Je trouve très original qu'il manque une main à ton protagoniste, tout en étant un peu sur la réserve : ce ne doit pas être très pratique lorsqu'on est artiste. Mais j'imagine que ça reste tout à fait possible, on sait parfaitement que certains grands artistes ont des handicaps qui ne les empêchent pas d'exprimer leur art (une pensée pour Beethoven).

Au niveau du décor : je suis en Italie, il n'y a pas de doute. Je ne sais pas quoi dire d'autre sur ce sujet, mais je signale que je me suis sentie en Italie.

"Il n’y a pas de placard vert. L’encadrement de la fenêtre à l’étage est par contre de cette couleur. Ma mère me laisse la possibilité de m’évader." -> j'ai adoré ce passage. C'est subtil, très fin, et un détail très évocateur d'à quel point sont proches Andrea et sa mère, et en même une belle façon d'alerter son fils que cet homme représente un danger ! J'ai trouvé ça vraiment parfait.

L'apparition du père d'Andrea est également très bien amenée, dans la surprise, dans le fait que le port du masque est une mode donc pas perturbant pour nos protagonistes. Si je peux te suggérer un axe d'amélioration cependant, ce serait la réaction d'Andrea. "Notre fils ? C’est moi qui me sens défaillir. Je fixe l’inconnu, la bouche ouverte." c'est peut-être la partie que j'ai trouvé un peu faible. Il ne l'a jamais rencontré. A-t-il néanmoins eu une figure paternelle dans sa vie ? Que lui a dit sa mère à ce sujet ? Au-delà du fait qu'il est surpris de le découvrir ainsi, n'y a-t-il pas de question particulière par rapport à "l'existence" d'un père ? Je m'interroge. N'accepte-t-il pas trop "facilement" que cet homme soit son père ? Je le sens plus révolté à l'idée d'être séparé de sa mère que de rencontrer cet homme qui a été absent.

Voilà pour ces premières lignes, je vais lire la suite maintenant !
Makara
Posté le 11/04/2024
Hello Cléo ! Bienvenue dans mon univers ! Je vois que tu as enchaîné les chapitres ! ça me fait très très plaisir <3
J'ai beaucoup aimé tes remarques au fil du récit et tu me rassures sur de nombreux points (le fait que l'ambiance fasse Italie, que tu trouves original le fait que le héros n'est qu'une main...)

"A-t-il néanmoins eu une figure paternelle dans sa vie ? Que lui a dit sa mère à ce sujet ? Au-delà du fait qu'il est surpris de le découvrir ainsi, n'y a-t-il pas de question particulière par rapport à "l'existence" d'un père ?"=> c'est vrai que je pourrais un peu développer, ce serait intéressant. Merci pour cette suggestion !
"N'accepte-t-il pas trop "facilement" que cet homme soit son père ? "=> Cela est relié à ta précédente réflexion. En effet, il pourrait s'interroger un peu plus là-dessus !
Merci pour ta lecture attentive et tes compliments :)
Cléooo
Posté le 11/04/2024
Oui j'ai un peu enquillé ahah
Je suis ravie que mon retour puisse t'être utile ! Ça reste des suggestions mais tant mieux :)
Danae Debalneb
Posté le 09/04/2024
Coucou Makara <3
C'est un plaisir de te lire à nouveau, et j'adore ce premier chapitre !

J'aime déjà cet univers où tu nous transportes et tes personnages sont toujours très attachants. Ton écriture est toujours aussi fluide, je me laisse emporter dès les premières phrases, ça a l'air si évident, si facile, et pourtant ça demande beaucoup de travail et de talent !
Encore une fois tes inspirations me parlent beaucoup, et il y a une grande poésie dans tes histoires.

J'ai hâte de lire la suite, et j'y vais de ce pas !
Bisou :)
Makara
Posté le 10/04/2024
Coucou Danaé <3
Trop trop contente de te voir ici <3. ça me fait super plaisir !
Oh ça y est ! Je rougis à cause de tous tes compliments <3
Merciiiiiiii
Ella Palace
Posté le 09/04/2024
Bonjour,

J'ai beaucoup apprécié cette entrée en matière, surtout quand tu décris les lieux et la peinture. On se prend vite de sympathie pour Andréa et l'intérêt est rapidement suscité. Tout est fluide et agréable. Je suis curieuse de connaître la suite car cela semble être une histoire originale. D'un point de vue purement personnel, j'aurais aimé plus de description du ressenti d'Andréa et une scène un peu plus lente quand il se doit de partir. J'espère également trouver plus de détails sur ce nouveau monde que tu crées :-).
Au plaisir,

Ella
Makara
Posté le 10/04/2024
Hello Ella ! Bienvenue sur mon texte :)
Merci beaucoup pour tes remarques ! Je suis contente si on se prend vite de sympathie pour Andréa !
"Je suis curieuse de connaître la suite car cela semble être une histoire originale."=> héhé j'espère !
"D'un point de vue purement personnel, j'aurais aimé plus de description du ressenti d'Andréa et une scène un peu plus lente quand il se doit de partir."=> Oui, tu n'es pas la seule à me faire cette remarque. Je pense la rallonger lorsque je ferai ma réécriture !
"J'espère également trouver plus de détails sur ce nouveau monde que tu crées :-)"=> Tu en auras petit à petit, j'aime bien distiller les infos dans le livre.
A bientôt !
J'espère que la suite te plaira :)
JeannieC.
Posté le 26/03/2024
Helloooo Makara ! :)
Depuis le temps que je voulais venir te lire ! Me voilà donc pour passer une tête du côté de ce nouveau roman <3

Quelques réactions au fil du texte d'abord.
>> Excellente première phrase, accrocheuse, intrigante, bien tournée.
>> "Certains vous diront que voler c’est mal, d’autres que voler c’est un art." Perso, je reverrais la ponctuation de cette phrase comme ça : "Certains vous diront que voler, c’est mal ; d’autres, que voler est un art."
>> "En tout cas, plus dans les habitations des fortunés." > Pas convaincue par "des fortunés". Pourquoi pas une métonymie, genre "les habitations fortunées" pour sous-entendre que leurs habitants le sont ?
>> "Je dois dire qu’il y a certains points communs entre les deux professions : l’art de tromper par exemple." > cette phrase manque de subtilité je trouve, on comprend très bien quelle est la nature du point commun entre voleur et faussaire (la duperie) et donc ce serait plus drôle avec juste quelque chose comme "Je dois dire qu'il y a pas mal en commun entre les deux professions."
>> "Le monde est si vivant. Peindre l’immortalise, c’est ce que ma mère me répète. Elle dit qu’avec le temps je m’améliorerai, moi je pense que je ne ferai pas carrière dans ce milieu. J’aime le sentiment de fierté que je ressens quand le pastiche est vendu, j’aime l’argent que l’on nous donne pour ce travail. J’aime imaginer qu’un petit bourgeois sans talent affiche notre faux à la vue de tout le monde…" > Très beau passage, bravo !
>> "— Tu peux y aller, Andréa. Un immense sourire illumine mon visage. Mon esprit est tiraillé entre deux activités possibles : espionner les fortunés ou manger. Mon ventre l’emporte." > Manque un retour à la ligne là non, après "Andréa." ?
>> "dans un immeuble penché," > immeuble me semble un peu moderne, pour une ambiance Renaissance etc. "bâtisse" ? "édifice" ?
>> "Au début, lorsque j’étais tout petiot, nous n’avions pas vraiment de logement. C’était la période de vache maigre. Ma mère n’avait que la peau sur les os et je me souviens avoir vraiment eu faim." > répétition de "vraiment" pas nécessaire.
>> "— On en parle de la semaine dernière ? Je grimace en me souvenant" > Manque un retour à la ligne là aussi après la réplique ?

Un début alléchant ! Bon déjà, on est sur une ambiance et des thèmes qui me sont chers donc forcément, héhé =) La peinture, l'atmosphère Renaissance, le ton quelque peu ironique de ce protagoniste filou, très chouette. Tu installes une relation intéressante avec sa mère, mais aussi du mystère avec l'arrivée de cet homme masqué - mais aussi mystère sur le passé d'Andréa. De supers éléments pour ce début !

Si je devais faire deux petits chipotages, ce serait comme Gabhany, une rencontre un peu trop expédiée (et sa résolution aussi) avec Antonio. Je pense que les émotions et les sentiments mériteraient d'être creusés pour arriver au dénouement de la scène.
Et le deuxième truc, ce serait peut-être l'absence de quelques détails ici et là qui rendre le tout encore plus historiquement immersif. Notamment dans les premiers paragraphes. Oh il suffirait de pas grand chose - par exemple un clocher qui pourrait sonner l'heure liturgique (pour direct mettre dans une ambiance XVIe siècle, religieuse etc) ? Une mention de bougies à changer ? Peut-être un ou deux gestes qui permettraient de décrire les vêtures (pourpoint usé d'Andréa ? veste à taillades et culotte bouffante du visiteur ? coiffe à pointes pour la mère ?). Bref, un peu plus d'inscription du cadre spatio-temporel et de l'ambiance "historique" même si of course on est sur un récit de fantasy.
M'enfin ce sont vraiment deux points minimes. Tout coule très bien et l'intérêt est capté. La sympathie pour les personnages aussi. J'ai été particulièrement sensible au moment de réflexion sur les couleurs de la peinture, les méthodes pour le moins brutales pour faire certaines d'entre elles. Et aussi tout le moment sur la fierté d'Andrea à "duper" les bourgeois acheteurs héhé. Enfin, pas mal de tournures bien senties - certaines même sont assez poétiques, comme celle sur la vie du monde à perpétuer par l'art. Bravo !

À plus !
Makara
Posté le 27/03/2024
Hello JeannieC ! C'est un plaisir d'avoir ton retour ! Tu soulèves plein d'éléments pertinents au niveau de la formulation des phrases, merci !
Je vais prendre en compte ta remarque sur les éléments historiques pour rajouter quelques touches ici et là, histoire de mieux planter le décors. Je suis en train aussi de retravailler la fin pour qu'elle paraisse un peu moins expédiée :p
En tout cas, je suis contente si tu aimes bien Andréa ainsi que sa mère (on va la revoir aussi). Trop hâte que tu découvres la suite :p
Merci pour tes supers conseils !
Sorryf
Posté le 14/03/2024
ouiiii vive les lundis \o/
Super chapitre, super début, prenant dès la première phrase ! J'aime déjà beaucoup Andréa et sa mère, et la description de la ville est vraiment top, la comparaison avec une méduse, et le nom du quartier, les sanglots, je suis fan de tout ça \o/
Le père est affreux par contre è.é
Makara
Posté le 15/03/2024
T’es trop chou d’être venue relire <3
Trop contente que ce début te plaise 😜. J’espère que la suite sera à la hauteur !
Oui, le père est affreux et ça ne va pas s’arranger !
À lundi ❤️
Gabhany
Posté le 12/03/2024
Est-ce que je peux te dire que j'ai ADORE ? Déjà dès la première phrase ça claque ! J'ai beaucoup aimé le personnage d'Andrea qui me semble à la fois un peu naïf, enfantin, et roublard. On en apprend pas mal sur le contexte de leur vie, le caractère de la mère etc.
J'ai été un peu gênée sur la scène de fin car je trouve que ça va un peu vite, hop le type menace la mère de lui faire du mal et elle se met à genoux ? Il faudrait peut-être expliquer un peu plus ce qu'a été leur relation, est-ce qu'il a déjà été violent avec elle, et pourquoi elle a peur de lui au pojnt que deux minutes suffisent à lui faire abandonner son fils. Limite la scène serait plus frappante s'il lui faisait vraiment du mal, ou s'il ordonnait à ses hommes de lui couper les deux mains, tu vois ce que je veux dire ? En tout cas j'aime déjà beaucoup et je serai au rendez-vous les lundis !
Plein de bisous !
Makara
Posté le 13/03/2024
Hello Gabhany <3
Oh trop bien si tu as adoré ! Hihihihihi trop contente ! Oui, j'aime beaucoup Andréa ! Il me vient très facilement à l'écriture et je trouve que la première personne c'est vraiment pratique :p

"J'ai été un peu gênée sur la scène de fin car je trouve que ça va un peu vite, hop le type menace la mère de lui faire du mal et elle se met à genoux ?"=> Oui, tu as raison ! En vrai, il ne lui ferait jamais du mal, la mère d'Andréa est trop précieuse à ses yeux mais je pourrai peut-être mettre qu'elle accepte qu'il parte car elle sait qu'elle ne pourra pas l'empêcher. Bref, merciiii de ton retour <3
A lundi prochain <3
Nyubinette
Posté le 12/03/2024
Bonne idée l'utilisation de la première personne au présent, je n'avais un peu peur il y a quelques années mais je trouve finalement que ça apporte une touche de proximité avec le personnage narrateur (ça risque d'être intéressant quand on voit le caractère rêveur et aux émotions vites changeantes de ton PP).
Comme d'habitude de jolies descriptions et une bonne intégration dans les émotions :). J'ai hâte d'en savoir plus sur la punition qu'il a déjà reçu.

Bon courage pour poster la suite :D
Makara
Posté le 12/03/2024
Nyubiiiiii même de l'autre côté de la planète, tu viens me lire, merci beaucoup <3
Ah bah tant mieux si tu as apprécié ta lecture et le narrateur à la première personne (c'est une première pour moi!).
Merci pour ce retour motivant ;)
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