Chapitre 1 Un orage écarlate

Par Keyran
Notes de l’auteur : Voilà le premier chapitre du premier roman d'un ado passionné de fantasy j'espère de bons retour de votre part ainsi que quelques conseils et avis positifs ou négatif (car on apprend mieux de ses erreurs) n'hésitez pas a me contacter sur mon facebook Yan Michetti.

La nuit était douce alors que Keyran dormait d’un sommeil profond. La lune avait déjà parcours la moitié de sa course quand un étrange cauchemar vint perturber son sommeil.

Le noir dans lequel était jusqu’à présent fut rapidement remplacer par une nuée de flammes ardentes, elles étaient si chaudes que keyran fut forcé de se couvrir le visage avec le bras. Keyran jeta un rapide coup d’œil autour de lui, il se trouvait apparemment dans les ruines d’un village mais il lui était impossible de dire lequel à cause des flammes qui lui obstruait la vue. Il se mit alors à marcher en prenant garde aux flammes qui fenaient de temps à autre lui lécher les vêtements. Au bout de quelques pas keyran cru qu’il était épié, il tourna discrètement mais ne vit rien. Soudain il sentit une main glacée lui toucher l’épaule, keyran sursaut et se retourna brusquement. À ce moment, il fut horrifié, devant lui se tenait une femme faite de fumé. Le garçon tenta en vint d’échapper à la poigne de fer de la créature des ténèbres, en vint. Soudain la créature attira brutalement Keyran en face d’elle, le jeune garçon était maintenant si près d’elle qu’il pouvait sentir son souffle glacé effleurer son visage.

  • Tu es a moi… susurra la créature à l’oreille de sa victime.

Keyran poussa un cri de terreur avant de se réveiller en sueur et haletant dans son lit. Il prit un bon moment avant de se calmer totalement après quoi il s’assit sur le matelas et enfuit sa tête entre ses genoux, il resta dans cette position pendant une bonne heure ignorant le froid glacial de la nuit, le temps de repenser au cauchemar qu’il venait de faire. Au bout de l’heure qui venait de s’écouler il décida de se remettre sous la couette et de se rendormir malheureusement le sommeil ne se décida jamais à venir le réclamer.

Lorsque les premiers rayons de soleil vinrent percer la fenêtre en demi-lune au-dessus de la couchette de Keyran. Le garçon s’étira avant de rejeter sa couverture au bout de son lit. Il saisit ses vêtements poser sur le côté gauche de son lit, s’habilla et pris le pendentif posé sur la petite table à côté de lui. Il le prit entre ses mains, le collier représentait une tête de loup vue de face entourée d’un cercle. Depuis qu’il l’avait Keyran avait toujours penser qu’il s’agissait d’un indice que lui aurait laisser ses parents afin qu’il les retrouve. Le garçon mit le pendentif autour de son cou en prenant soin de le dissimuler derrière sa tunique.

 Keyran descendit au rez-de chaussé se préparer son repas. Il saisit une pomme ainsi qu’une tranche de pain frais rester sur la table en bois, tira une chaise et mangea en prenant tout le temps du monde. Après ce repas, Keyran sortit de chez et huma l’air frais du matin. Il resta sur le seuil de la porte d’entrée durant quelques minutes afin de sentir le vent frais sur son visage.  Après ces quelques minutes de relaxation le garçon fit quelques pas en avant puis sur la droite et s’arrêta, il émit un sifflement et attendit. Quelques secondes plus tard des bruits de sabot commencèrent à se faire entendre. Keyran tourna les talons pour se retrouver en face d’un magnifique étalon noir comme nuit. C’est d’ailleurs de là que venais une partie de son nom « Tempête nocturne », l’autre partie de son nom venait du fait que l’étalon était particulièrement rapide Le jeune garçon s’approcha doucement de l’équidé mais celui-ci recula non sans difficulté à cause d’une blessure récente sur le flanc gauche. Observant la réaction de l’animal Keyran jugea préférable d’attendre que le cheval vienne a sa rencontre. Le comportement de l’étalon n’avait rien d’étrange Keyran ne l’avait recueilli que depuis quelques jours et il venait seulement d’apprendre a répondre aux appel de son maitre. Tendit qu’il laissait son ami venir à lui Keyran s’allongea au sol, ferma les yeux et se remémora sa rencontre avec le cheval :

Il faisait presque nuit et une tempête menaçait de souffler à l’horizon. comme à son habitude Keyran passait ses journées en solitaire dans la foret a contempler la beauté de la nature environnante et à écouté les oiseaux chanter. Munit d’un simple bâton de marche Keyran avait passé sa journée à  parcourir la forêt sans destination précise dans la foret jusqu’à croiser la piste d’un renard, qu’il décida de suivre dans l’espoirs d’apercevoir le petit animal roux et alors qu’il s’apprêtait à regagner son foyer après avoir longuement pister un renard sans  malheureusement arriver à apercevoir l’animal durant toute la journée. Des bruits suspects l’interpelèrent. Il tourna alors la tête vers le lieu d’où provenaient les bruits. Il estima la distance à quelques mètres seulement, Keyran prit alors la direction des bruits qui avaient attirés se déplaçant avec la grande prudence qui lui était à présent coutumière avec les nombreuses années en solitaire dans le foret. Il jeta un coup au ciel qui s’obscurcissait à une vitesse grandissante, il devait se dépêcher.  À mesure qu’il se rapprochait les bruits se firent plus claires. Des hennissements plaintifs, des bruits d’armures et des claquements de cordes. Quelques instants plus tard Keyran arriva enfin à la source de ses préoccupations. Là un chevalier à l’armure cabosser monté sur un cheval robuste…enfin supposé robuste vu son état actuel. L’animal était épuisé et mourait probablement de faim, il se déplaçait d’un pas lourd et le poids de soin cavalier ainsi que se sacoches qu’il transportait n’arrangeait probablement rien. De plus celui-ci, donnait des coup de corde pour le forcé à avancer, arrachant des hennissements de douleur à sa monture dont les pattes commençaient à présent à trembler pour finalement ployer sous l’effort entrainant son cavalier avec lui dans sa chute. Le cavalier dégagea sa jambe coincer sous le corp tremblant de sa monture avant de s’écrier :

  • Putain de canasson de merde, je t’ai payé 5 pièces d’or et tu t’écroules au bout de cinq jours. Tu n’as que se que tu mérite. Et alors qu’il s’apprêtait à donner un violant coup de pied au cheval, il leva la tête et eut seulement le temps de voir un bâton lui fracasser le casque de son armure. Le cavalier titubât encore sonné par le choc. Le chevalier ôta son casque cabossé. Quesque tu fous là pouilleux ?! s’écria-t ’il en dégainant son épée mais il n’en eu pas le temps car Keyran lui flanqua un nouveau coup qui brisa le nez de l’homme qui n’eu d’autre choix que de plaqué ses deux mains gantées sur son nez. Keyran préparait un nouveau coup mais le cavalier déclara maladroitement :
  • B’est bon tou à bagné gue me tire. Et l’homme pris ses jambes à son coup.
  • Bon débarras. Déclara le jeune garçon et regardant l’homme s’éloigner son nez pissant le sang.

Keyran reporta alors son attention sur l’équidé coucher au sol gémissant puis, jeta un nouveau coup d’œil au ciel, il n’aurait pas le temps de rentré et l’étalon ne pourrait de toute façon pas le suivre sur une aussi longue distance. Heureusement les feuillage des arbres environnants était assez épais pour minimiser l’averse mais ils ne seraient de toute ne magnèrent pas épargnés par la tempête. Keyran s’approcha alors avec prudence du cheval qui ne pouvait malheureusement plus bouger à cause de l’épuisement. Le garçon détacha alors la selle avec soin contourna le cheval pour la lui ôter du dos et fit de même avec les paquetages. Ceux-ci contenait deux grandes couverture et quelques provisions. Keyran couvrit alors l’étalon avec l’une des couvertures et garda la seconde pour lui. Il caressa l’encolure de l’animal en murmurant :

  • Ne t’en fait pas je vais m’occuper de toi maintenant.

À ces mots le cheval sembla se calmer. Keyran ouvrit les sacoche et y piocha quelques vivres il donna deux pommes au cheval qui eut bien du mal à les avaler. Mais il finit par y arriver avec l’aide de Keyran qui lui se contenta d’un morceau de pain et d’un morceau de fromage. Le garçon resta au côté du cheval durant une bonne heures. Lorsque les premières goutes de pluies commencèrent à pleuvoir rapidement suivit d’un vent froids Keyran s’enroula dans la seconde couverture et se blottit contre le ventre de l’équidé qui ne réagit pas la chaleur produit par l’animal devrait suffire à le tenir au chaud pour la nuit. Ils passèrent ainsi une nuit froide et mouvementée. mais cela valait mieux que de laisser l’animal mourir de faim là où son ancien maitre l’avait abandonné.    

 

 

 Plusieurs longues minutes c’était écouler pendant que Keyran se remémorait ces souvenirs , c’est alors qu’il sentit un souffle chaud sur son visage. Il ouvrit un œil et vit le museau de l’étalon qui c’était à présent totalement remit de la faim et de la perte d’énergie dont il avait précédemment souffert. Lui souffler dans les cheveux

Le cheval se coucha dans l’herbe fraiche derrière son cavalier. Keyran s’installa plus confortablement  contre son ami a quatre patte et ferma les yeux, prenant le temps de profiter de l’odeur de l’herbe fraiche, du parfum des plantes. Quelques secondes, puis il se releva, prit le soin d’épousseter ses vêtements.

  • Bon il est temps d’aller rendre visiter à nos autres camarades. Keyran se dirigea vers  la forêt Tempête-Nocturne sur ses talons.

 

*

 

Ils avancèrent tous deux dans la forêt pénètrent toujours de plus en plus profond, jusqu’à déboucher sur une immense clairière inondée de nombreux chants d’oiseaux. Keyran laissa Tempête-Nocturne vaquer seul dans la clairière pendant qu’il s’installait sur une souche de bois. Il croisa les jambes et ferma les yeux laissant son corps s’inonder des nombreuses sensations que lui procuraient cet environnement sylvestre. Depuis qu’il était enfant il adorait venir en forêt afin de s’apaiser mais il fenait surtout car il s’y était fait de nombreux amis.

Soudain, le garçon sentit un souffle chaud sur son épaule. Il ouvrit les yeux et regarda par-dessus son épaule. Un magnifique cerf se tenait derrière lui.

  • Silvain ! s’écria Keyran en se retournant. L’animal était si grand que son ami était obligé de se tenir debout sur la souche d’arbre pour atteindre la croupe du cerf.

Le cerf désigna son dos et invita Kayran à y grimper. Il ne fallut fallut pas beaucoup de temps à  Keyran pour arriver sur le dos de Silvain car le cerf était plus petit que son ami équidé  Une fois que se fut chose faites Silvain et Keyran s’offrirent une promenade dans les tréfonds de la forêt profitant de chaque instant. Lorsque les premiers froids annonciateurs du crépuscule vinrent caresser les joues du garçon celui-ci décida qu’il était temps de rentrer. Il tapota l’épaule de Silvain pour lui faire signe de s’arrêter, le cerf s’arrêta pour laisser son cavalier de fortune descendre de son dos. Lorsqu’il fut descendu le garçon regarda son ami s’éloigner avant de rappeler Tempête-Nocturne qui parvint à ses côtés quelque minutes plus tard. Les deux amis rentrèrent côte à côte.

Soudain une violente averse s’abattit sur Keyran et son compagnon. Le garçon grimpa sur son destrier déjà trempé jusqu’aux os. Tempête-Nocturne galopa de toute ses forces jusqu’à la cabane.

Lorsque les arbres ne lui ploquèrent plus la vue Keyran observa le ciel menaçant, depuis quelques minutes maintenant un orage avait éclaté et des éclairs fendait le ciel régulièrement avec un bruit sourd mais se qui perturba le garçon que ces éclaires n’arboraient pas leur couleur naturelle. Ils étaient rouge vif, Keyran tenta de pousser son cheval a accélérer mais il était déjà à son maximum. Tout à coup le garçon vit un éclair dévier de sa trajectoire pour venir le frapper de plein fouet. Keyran cru que c’en était fini de lui, durant les quelques qui le séparaient à présent de la collision qui lui serait très certainement fatal lui parurent durer des heures, temps pendant lequel il vit certains moments de sa vie défiler devant ses yeux. Mais aussi des moments de la vie de quelqu’un d’autre, mais ses moments semblaient étrangement familier au jeune garçon.

Il y voyait une femme aux longs cheveux d’argent, vêtue d’une longue robe blanche laissant apparaitre ses jambes et ses pieds nu ainsi qu’un loup noir qui paraissait avenant et on aurait presque pu dégager un sourire sous ses babines à peine retroussées, laissant entrevoir quelques crocs.  La femme semblait également lui sourire que Keyran leurs rendit leur sourire. Soudain, un feu commença à ravager la plaine dans laquelle il se situait gagnant rapidement la femme et le loup. Keyran ouvrit la bouche pour hurler mais aucun son ne voulut sortir, à la place le garçon sentit une violente douleur l’ébranler le ramenant à la réalité. Keyran n’eut même pas le temps de crier sa douleur avant de perdre connaissance.

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A.W. Zephyrus
Posté le 25/09/2023
Bonjour Keyran,

Concernant ce chapitre, je ne peux que rejoindre les commentaires que tu as déjà reçus. Tu as une plume intéressante, et je souligne d'ailleurs avoir beaucoup apprécié la scène avec le chevalier : une cocasse démonstration de ce que l'on appelle le retour de bat... euh, Karma ! Voilà pourquoi il est t'est d'autant plus important de travailler la forme de ton chapitre. Cela ne te sera que profitable, surtout sur les premiers chapitres qui sont souvent décisifs pour accrocher tes lecteur.ice.s !

A plus, au chapitre suivant.
A.W. Zephyrus.
Keyran
Posté le 26/09/2023
Merci à toi
Keyran
Posté le 26/09/2023
Merci à toi
Edouard PArle
Posté le 23/06/2023
Coucou Keyran !
J'ai pas mal de choses à dire sur la forme, mais rien qui ne soit corrigeable avec un peu de correction, réécriture.
C'est normal d'avoir des difficultés avec l'orthographe, tu es loin d'être le seul mais je crois que tu pourrais en gommer pas mal en faisant une vérification orthographique par word ou sur internet si tu ne l'as pas.
J'ai remarqué aussi que tu écrivais souvent des phrases très longues. C'est un peu tentant quand on veut écrire des choses belles mais je pense que c'est mieux d'écrire des phrases courtes et maîtrisées. Un petit tips intéressant, c'est de relire ton texte à haute voix. Selon là où tu sens qu'il faut respirer, tu peux mettre de la ponctuation.
En terme de mise en page, ça rendrait aussi un peu mieux si tu justifiais ton texte.
Pour le fond, on voit que tu as plein de belles idées, les scènes et personnages s'enchaînent, tu veux raconter plein de choses. Je pense que ralentir un chouilla le rythme permettrait de développer un peu plus les éléments que tu nous présentes. Par exemple au moment où tu parles du cheval, développer un peu sa relation avec le protagoniste, le décrire etc...
En tout cas, je t'encourage à poursuivre ! C'est en écrivant qu'on progresse et ta plume a du potentiel.
Bien à toi (=
Keyran
Posté le 24/06/2023
Merci à toi il est vrai que je n'ai trouvé une correctrice pour l'orthographe et la ponctuation que très récemment j'ai donc oublié de lui envoyer les premier chapitre en correction se sera fais (j'ai toujours eu du mal pour la ponctuation) que veux tu dire par ralentir le rythme ? je vais essayer de décrire un peux plus la relation entre Keyran et sa monture. en tout cas ça fais du bien d'avoir un avis extérieur à
sais proche merci ;-)
Keyran
Posté le 24/06/2023
Merci à toi il est vrai que je n'ai trouvé une correctrice pour l'orthographe et la ponctuation que très récemment j'ai donc oublié de lui envoyer les premier chapitre en correction se sera fais (j'ai toujours eu du mal pour la ponctuation) que veux tu dire par ralentir le rythme ? je vais essayer de décrire un peux plus la relation entre Keyran et sa monture. en tout cas ça fais du bien d'avoir un avis extérieur à
ses proches merci ;-)
Edouard PArle
Posté le 24/06/2023
Ralentir le rythme, je voulais dire prendre le temps de développer chacun des personnages, ajouter quelques descriptions etc, histoire que l'on puisse être vraiment immergé dans l'histoire (=
Keyran
Posté le 24/06/2023
oki
DoBa
Posté le 27/05/2023
Les descriptions très précises nous permettent d'entrer facilement dans le récit. Le style d'écriture est très prometteur mais certains passages mériteraient d'être retravaillé. En route pour le second chapitre...
Keyran
Posté le 28/05/2023
oui je le reconnais que je pourrais mieux d'écrire les paysage mais je n'ai pas encore vu comment ont fais
Thom
Posté le 25/05/2023
Superbe écriture et la trame est vraiment intrigante ! Le début du récit est prometteur, bien que certains passages méritent un peu d'être revus, je tiens à souligner la prouesse et le jeune âge de cet écrivain hors-normes ... Je ne manquerai pas de lire la suite de ces aventures en tout cas !
Keyran
Posté le 26/05/2023
Merci pour ton commentaire Thom j'ai modifier ce que tu m'as habilement fait remarqué en MP sur FB. j'espère que la suite te plaira

Keyran
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