Chapitre 2 : Le troisième étage

CHAPITRE 2 : Le troisième étage

Il y avait dehors, à la fois le calme le plus plat, mais aussi une continuité de cris, hurlement et gémissement incessant qui me nouaient les tripes.

La vague venait d’atteindre l’hôtel, elle engloutit tel un animal affamé le rez-de-chaussée en quelques secondes puis l’eau atteignit les escaliers. La pression fut tellement forte que les escaliers furent rapidement engloutis par la vague. J’entendis des personnes hurler, mais cette fois-ci, les hurlements étaient très proches de la chambre. Aujourd’hui, je pense qu’il s’agissait certainement des hurlements des trois personnes dans l’escalier.

Afin d’accéder au toit, il fallait tout d’abord monter debout sur une chaise puis se hisser à la force des bras. Alors en entendant l’eau se rapprocher de plus en plus, je me précipitais de monter sur la chaise, les autres personnes qui étaient déjà montées sur le toit me tendirent leurs mains, ils m’encourageaient, prêt à me réceptionner et m’aider à monter avec eux. Mais au moment où je me mis debout sur celle-ci, la vague arriva au troisième étage et balaya la chaise d’un coup net, ce qui me fit tomber rapidement au sol. La pression de l’eau étant extrêmement puissante, je fus très vite submergée par l’eau et me sentis attirée puis propulsée vers le balcon.

Mais je savais que si je ne trouvais rien pour m’accrocher dans la seconde, je serais propulsée dans la vague elle-même, car le balcon ne me paraissait pas très résistant et mes chances de survie ainsi que de revoir ma famille seraient complètement anéanties.

Par ailleurs, c’est à cet instant que je pris conscience de ma famille, et me rendis compte que dans la panique, j’avais laissé mon téléphone dans ma chambre qui se situait deux étages plus bas, actuellement inondés par la vague. En laissant ce téléphone, je pris la décision de ne pas dire au revoir à mes proches, ce qui signifie que si je venais à mourir dans cet enfer, j’avais déjà accepté l’idée de ne plus jamais les revoir.

Mais cette idée m’était impensable : alors je devais vivre.

Je relevai alors soudainement la tête hors de l’eau pour m’accrocher à un des piliers de la pièce qui me paraissait assez solide et ainsi ne pas succomber à la traction de l’eau vers l’extérieur. Je pris une impulsion contre le sol afin d’atteindre assez rapidement le pilier malgré la puissance du courant de l’eau, et lorsque je l’atteignis, je m’y accrochais avec la plus grande force possible pour ne plus dériver.

Les minutes s’écoulaient, mais paraissaient comme une éternité, la force et la traction de l’eau étant toujours aussi fortes, mes muscles commençaient à faiblir peu à peu et ma plus grande crainte serai d’avoir une crampe à l’instant présent et de ne plus être capable de m'accrocher au pilier.

Malheureusement l’eau n’emporta pas uniquement de nombreuses vies sur son passage, elle emporta aussi de nombreux débris ne pouvant résister à sa force. 

Ces débris sont alors transportés avec l’eau, et en attendant la fin de cet enfer accroché à ce pilier, je sentis de nombreuses choses me percuter le dos puis les bras et les jambes. J’essayais de protéger mes mains et mes jambes du mieux que je le pouvais car si je devais courir par la suite pour échapper à cet enfer, je ne voulais pas avoir de difficulté. Pour l’instant, je ne pensais pas avoir été coupé par quoi que ce soit, je pensais n’avoir que des bleus ou alors quelques égratignures. Puis peut-être une ou deux minutes plus tard, je sentis quelque chose taper fortement dans mon bras droit puis dans mon dos. Mais cette fois-ci, la douleur était tellement forte que je poussais un cri afin de libérer ma souffrance. C’était une douleur que je n’avais jamais ressentie auparavant, une douleur vive et intense, comme ci un poignard venait d'entrer en moi. Et lorsque je repris mon souffle, quelque chose projeté par l’eau vint me frapper derrière la tête.

Je m’étais mise dos à l’arrivée de l’eau afin que le pilier puisse retenir un plus le poids de mon corps, et heureusement, je pense que cela m’a sauvé la vie. En effet, lorsque je me suis pris cet objet derrière la tête, je m’évanouis directement. Mais la pression de l’eau étant forte et constante, elle me plaquait ainsi contre la poutre, ce qui me permit de ne pas être amenée vers le balcon. En revanche étant dans un état d’inconscience, ma tête tomba dans l’eau et je commençais alors à inspirer l’eau peu à peu, le plus gros risque à ce moment là était que je me noie.

Je ne sais pas combien de temps je suis restée évanouie, mais je repris conscience d’un coup en toussant certainement toute l’eau qui était dans mes poumons. Une fois que je pus respirer assez convenablement, je remarquais que la vague et ses débris n’étaient plus dans la chambre. Je m’étais éloignée d’environ un mètre du pilier auquel je m’étais accrochée et j’étais trempé de la tête au pied.

En me relevant, je sentis aussi que mon dos était douloureux, mais il s’agissait d’une douleur supportable, alors je pouvais passer outre ce détail. En revanche, en mettant ma main à l’arrière de ma tête, je vis du sang sur celle-ci. Je ne pouvais pas voir si c’était grave ou non, quant à mon bras, c’est en voulant me relever que je compris qu’il était cassé, je n'avais jamais ressenti une telle douleur auparavant.

Les cinq personnes qui sont montées sur le toit redescendirent et demandèrent en anglais si j’allais bien. Un des hommes qui portait une veste grise, retira le t-shirt qu’il portait en dessous afin de me faire une écharpe pour mon bras et un bandage pour ma tête. Il me dit qu’il fallait que j’aille à l’hôpital pour me soigner, mais l’entaille au niveau de mon crâne n’était pas trop profonde.

Je ne sais pas pourquoi, mais je ne posais aucune autre question et lui fit confiance. Et comme tous les autres survivants, je me dirigeai vers le rez-de-chaussée afin de quitter l’hôtel au plus vite.

En avançant vers les escaliers, je me sentais encore un peu sonné par le choc et ne portais pas réellement attention au désordre causé par la vague et suivi le groupe devant moi. Mais lorsque j’arrivais devant les escaliers et vis deux corps gisant au sol, je pris conscience de la dureté de cet événement. Une des cinq personnes prit le pouls des personnes gisantes dans les escaliers, elle ne dit rien. Elle nous regarda tous et bougea la tête de manière à signifier que ces personnes étaient sans vie. À cet instant, le silence devint omniprésent, si l’on pouvait sauver quelqu’un sur notre chemin, il fallait pouvoir l’entendre.

En descendant l’escalier, on ne vit que des débris : des algues, branches d’arbres, palmiers, matériel électroménager, matelas… Cette vague avait tout englouti et rien épargner sur son passage.
Je m’étais préparé auparavant à voir de nombreux corps gisants sur le sol comme ceux de l’escalier, mais en arrivant au rez-de-chaussée, je ne vis rien. Il n’y avait que des débris au sol, le sol qui était recouvert de boue, l’eau avait certainement emporté de la terre aux alentours de la ville avant de se jeter à nouveau dans l’océan.

Cela signifiait que la vague était allée encore plus loin que ce que je ne pensais.

En avançant peu à peu, je tournais ma tête de tous côtés pour voir si quelqu’un était en vie mais c’est alors que je vis cet énorme trou dans le mur de l’hôtel, le courant de la vague avait été tellement fort qu’il a brisé le bois et les autres matériaux qui constituaient ce mur. Avec une telle force, je pense qu’il était quasi-impossible de ne pas être rejeté dans l’océan avec le reste de la vague, et la force subis au rez-de-chaussée devait être au moins deux fois plus forte que celle que j’ai pu ressentir au troisième étage.

Je garde encore aujourd’hui l’espoir que ces personnes aient pu s’échapper ou se mettre à l’abri avant l’arrivée de la vague, mais je suis assez réaliste pour savoir que beaucoup n’y ont pas survécu.

En regardant au loin, je pouvais voir l’océan qui était redevenu calme, comme-ci rien ne s’était passé, mais lorsque je m’approchais de la piscine extérieure, je vis que l’eau avait perdue toute sa clarté pour laisser place à une traînée de boue accompagnée d’un ou deux cadavres flottants parmi les débris, à ce stade, il était inutile de les sauver, car ils étaient sous l’eau depuis trop longtemps.

En me dirigeant vers l’entrée de l’hôtel, mon estomac se nouait de plus en plus par peur. Même si le pire était passé, je restais sur mes gardes, je pense que je voulais me préserver à ce moment-là, mais je ne savais pas de quoi.

Une fois sortie de l’hôtel, le groupe se sépara et je me dirigeais vers les terres et le centre de l’île ou je pourrais rejoindre au plus vite l’hôpital ou l’aéroport afin de rentrer chez moi. Mais je compris assez vite que le chemin ne serait pas de tout repos, beaucoup de véhicules ont été submergés ou emportés par la vague et sont donc inutilisables. Donc je me suis dit qu'il fallait remonter quelques rues afin de trouver un moyen de transport viable.

En faisant quelques pas depuis l’hôtel, je m’aperçus immédiatement de l’atrocité de la vague : des corps gisaient au sol par-ci par-là, des maisons, hôtel, marchés et magasins étaient totalement détruits. Il fallait faire attention où l’on marchait afin de ne pas se blesser. On aurait dit qu’une tornade venait de passer par là ou alors il s'agissait de la fin d’un champ de bataille.

Juste à côté de moi se tenait un corps allongé au sol sur le côté, je suis allée prendre le pouls de cette personne que je reconnus immédiatement en m’approchant : il s’agissait d’une retraitée de l’hôtel, elle était souvent accompagnée de son mari et était toujours si souriante. Mais lorsque je pris son pouls, je ne sentis rien du tout, je le pris alors au niveau de son poignet puis encore sur son cou, mais il était trop tard. C’est à cet instant que je versai mes premières larmes, car cette dame venait non seulement de perdre la vie atrocement, mais cette atrocité venait aussi de l’éloigner de son mari, qui doit certainement lui aussi être mort.

Mais je n’avais pas le temps de pleurer, il fallait que je me ressaisisse vite, car je ne suis toujours pas totalement en sécurité au cas où une deuxième vague arriverait, et si elle devait arriver, ce serait dans au moins une demi-heure, je pense le temps que la vague se reforme, mais ce n’est pas pour autant que je devais traîner le pas.

Je continuais alors d’avancer pas à pas, mes jambes heureusement n’ont pas été touché trop fortement par des débris ce qui me permis d’avancer, alors je continuais ma route. On n’entendait plus de hurlements de peur ou de douleur, mais simplement des pleurs. Je vis une mère de famille indonésienne pleurer son enfant gisant sur sol, noyé par la vague et de même quelqu’un qui semblait être un vacancier étranger pleurant sa femme à qui il essayait en vain de faire une réanimation cardio-pulmonaire depuis certainement plusieurs minutes.
Je vis deux hommes adultes, des étrangers, tenter de sauver par tous les moyens un jeune Indonésien d’une dizaine d’années peut être, qui semblait lui aussi sans vie, ils l’encourageaient comme-ci il aurait pu les entendre et que cela l’aura ramené à la vie :

“STAY WITH US”; “Wake up” ; “WAKE UP BOY”

Je ne sais pas s’ils ont réussi à le sauver, mais au moins ils auront tout tenté. Je ne pouvais pas leur apporter plus d’aide alors je continuais ma route. En avançant, je ne cessais de repenser aux hurlements entendus ces quinze dernières minutes, des hurlements de peurs de douleur de tristesse… des cris qui me hantent encore aujourd’hui. Soudain, un hurlement différent me ramena à moi :

« RUN AWAY »; « IT’S BACK »; « IT’S BACK”

Je regardais instantanément derrière moi et vis un homme courir en ma direction et derrière lui, je vis la vague s’élever peu à peu et revenir à nouveau ce qui confirmait ce que je craignais de plus au monde. De plus, elle arriva beaucoup plus rapidement que ce que j’avais prévue alors je me mis à courir aussi vite que je le pus, et en ne prêtant pas attention à ce sur quoi je courus, au bout d’une centaine de mètres, mon pied se posa sur une flaque d’algue très glissante et je tombai au sol. Ma tête toucha elle aussi le sol, je rouvris les yeux immédiatement, mais j’entendais un bruit sourd dans mes oreilles, comme un sifflement et ma vue fut trouble pendant quelques secondes. Une fois revenu à moi, je tentais de me relever, mais ma cheville gauche me faisait extrêmement mal, mais pour ma survie, je n’avais pas le choix, il fallait que je passe outre la douleur et que je continue d’avancer encore et encore jusqu’à ce que je sois à l’abri.

La vague avançait à vue d’œil et ne tardait pas à me rattraper. Il fallait donc que je trouve de quoi m’accrocher dans les cinq prochaines secondes sinon je vivrai mes derniers instants de vie, alors je fis un tour sur moi-même pour déterminer quel serait le choix le plus judicieux. À une dizaine de mètres, je vis un arbre qui ne semblait pas avoir été déraciné ou emporté par la première vague et je prêtais attention où l’eau s’était arrêtée sur la hauteur de l’arbre de manière à ce que je puisse savoir où grimper assez haut afin de ne pas être emporté par la vague. Il fallait que grimpe là où les branches n’étaient plus cassées ou arrachées.

Je courus donc jusque l’arbre et grimpa aussi vite et bien que je le puisse malgré mon bras cassé et ma cheville défaillante. La seconde vague atteignit l’arbre pile au moment où je terminais de grimper. Par ailleurs, je dus relever mes jambes assez vite sinon elles auraient été emportées par le courant et cela m’aurait déséquilibré.

Le cauchemar reprenait à nouveau : les hurlements, le sentiment de peur, d’effrois, d’insécurité, mais surtout d’impuissance. Je m’accrochais aussi bien que je le pu à la branche de cet arbre, espérant qu’il tiendrait le coup le plus longtemps possible pour me garder en vie. Soudainement, je sentis l’arbre se pencher de plus en plus vers ce qui était le sol, la première vague avait dû commencer à le déraciner, mais il ne résisterait peut-être pas à la seconde vague.

Malheureusement, l’arbre penchait de mon côté et il se penchait si bien que je me suis retrouvé assez rapidement dans l’eau, mais je restais accroché à l’arbre, car celui-ci n’était pas totalement déraciné, ce qui me permettait de ne pas me laisser emporter par la vague malgré cette puissance de courant. 

Comme pour la première vague, je ne savais pas combien de temps, je pourrais tenir accrochée à cet arbre sachant que je suis encore plus mal-en-point physiquement par rapport à la première vague. Alors je fermais les yeux afin de me concentrer uniquement sur mes muscles, sur le fait de rester en vie et de revoir un jour ma famille.

À ce moment précis, j’étais en colère : pourquoi moi ? Pourquoi ici et maintenant ? Pourquoi tant d’atrocités à cet instant pour des personnes qui ne demandais rien d’autres que de vivre une vie paisible ?

Je n’avais qu’une envie à ce moment-là, sortir de cet enfer et pouvoir serrer ma mère dans mes bras.

Puis je repensai à cette mère pleurant son fils et à cet homme tentant de sauver sa femme, avaient-ils pu se sauver et échapper à cette seconde vague ou sont-ils restés, en sacrifice afin de ne pas abandonner leurs proches ?

Ces questions me torturaient l’esprit, et puis finalement si la vie ne méritait pas d’être vécue ? Si tous les efforts que j’avais consacré à rester en vie jusqu'à maintenant seraient inutiles ? Peut-être était-ce mon destin de mourir avec toutes ces personnes dans cet enfer.

C’est à ce moment que je songeai à me laisser dériver par cette vague, pensant que je ne pourrai jamais sortir d’ici et que ma seule issue serait de mourir. Alors je mis ma tête dans l’eau afin de commencer à me priver d’oxygène, ma blessure derrière la tête pourrait peut-être m’aider à tomber dans un état d’inconscience assez rapidement.

En plongeant ma tête sous l’eau, je n’entendis que les débris s’entrechoquer dans l’eau par la force du courant, mais je n’entendais plus les hurlements, je n’entendais plus cette souffrance constante qui me faisait si peur, je me sentais prête à abandonner et à mourir libéré de ma souffrance morale et physique.

Et c’est à cet instant que j’entendis un hurlement externe qui me fit relever la tête dans la seconde, ce hurlement était fort, si fort que je pus l’entendre sous l’eau. J’ouvris les yeux et regardais d’où venait ce cri. Pendant une quinzaine de secondes, je scrutais les alentours pour retrouver cette voix que je venais d’entendre, une voix plutôt aiguë, comme celle d’un enfant ou d’une jeune femme. Je ne pouvais pas réellement comprendre ce que cette voix disait quand soudain, je perçus un jeune garçon agrippé lui aussi à un arbre voisin qui n’avait pas cédé comme le mien et c’est à cet instant que je pus distinguer ses paroles :

« HELP ME »; « HELP ME PLEASE”

Je ne sais pas pourquoi, mais à cet instant précis, je pris la décision de l’aider, je tentais alors en premier lieu de l’interpeller pour qu’il regarde en ma direction.

« HEY » ; « HEY » ; « HERE » ; « HEY »

Après plusieurs appels, le jeune garçon regarda en ma direction, alors je tentais de discuter avec lui pour le rassurer dans un anglais assez simple pour qu’il puisse comprendre :

- Est ce que tu vas bien ?

- J’ai peur répondit le garçon d'une voix tremblante.

- Je sais, ça va aller, es-tu blessé ?

- Je ne sais pas.

Je ne parvenais pas toujours à comprendre ce qu’il me disait, car même s’il se trouvait à environ dix mètres de moi, le bruit émis par la vague était beaucoup trop fort pour que je puisse entendre correctement ce qu’il me disait.

-Aidez-moi s’il vous plaît !

Je repensais aux quelques secondes précédentes, me laissant aller vers la mort jusqu’à ce que ce garçon me ramène vers la vie et me fasse sortir la tête hors de l’eau. Alors je devais en faire de même pour lui. Je n’avais pas d’autre choix, il fallait que j’aille le rejoindre.

- Ne bouge pas, je vais venir à toi, d’accord ?

- D’accord

Je fermai les yeux pris un grand souffle, car je savais qu’à partir de cet instant, je pourrais perdre la vie dans les prochaines secondes. Je les rouvris et étais prête à le rejoindre.

 

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Fanderomance
Posté le 20/10/2021
Bonjour,
Je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais le chapitre deux a été inversé, et une petite se répéte : Si j'étais toi, j'irais vérifier du côté de "Mais la pression de l’eau étant forte et constante, elle me plaquait ainsi contre la poutre, ce qui me permit de ne pas être amenée vers le balcon. En revanche étant dans un état d’inconscience, ma tête tomba dans l’eau et je commençais alors à inspirer l’eau peu à peu.
Je ne sais pas combien de temps, je suis restée évanouie, mais je repris conscience d’un coup en toussant certainement toute l’eau qui était dans mes poumons. ", il y a un tric qui cloche
Fanderomance
Posté le 20/10/2021
Excuse moi, mais j'ai validé absent d'avoir fini :
Il n'y a pas du tout que des points négatifs : Tout est bien écrit, on vit l'action comme le personnage principal et la lecture est agréable.
Je te souhaite une bonne continuation,
Au plaisir de continuer a te lire,
Fanderomance
S.B PEARCE
Posté le 20/10/2021
Bonjour, l'erreur est réparé, normalement il n'y en a pas d'autre.

Je suis ravie que l'histoire t'ait plu, si tu as d'autres recommandations, n'hésite pas.

Bonne journée
Fanderomance
Posté le 20/10/2021
Je n'hésiterais pas,
Bonne journée
Vous lisez