Chapitre 6 : La grande et prestigieuse académie Horion (partie 1)

Par OEL

La grotte, vaste et baignée d'une lueur vacillante, projetait des ombres mouvantes sur les parois rocailleuses. Les lanternes, suspendues çà et là, faisaient danser la lumière sur les écailles d'or de Solus, lui conférant des reflets ardents. Face à lui, Syra, dragonne imposante aux écailles bleu océan, se tenait immobile, son regard perçant rivé sur son interlocuteur.
Jordan, invisible entre eux comme lors de sa précédente incursion, sentait l'air lourd et presque brûlant. Il comprit que cette grotte devait être la demeure du dragon d'or.
— Alors, que comptes-tu faire maintenant ?  lança Solus d'une voix grave et vibrante.  La guerre fait rage, les morts s'amoncellent. Nous aurions pu y mettre fin, Syra. Maintenant… 
Syra redressa son long cou sinueux, ses pupilles fendues scintillant d’une lueur froide.
— Intervenir aurait aggravé les choses, Solus. Je maintiens fermement mon opposition, répondit-elle d'un ton calme, presque détaché.
Le dragon doré plissa les yeux, sa queue massive frappant le sol dans un bruit sourd qui fit trembler la roche.
— Pour une pacifiste, tu sembles bien sereine face à tant d’atrocités, gronda-t-il, sa voix résonnant dans la grotte.
— Le monde des Hommes a toujours été ainsi, répliqua Syra en déployant légèrement ses ailes.  Nous n'y pouvons rien. Même avant l'ère de la magie, les guerres faisaient rage. Notre intervention passée est la cause du conflit actuel. 
Jordan qui n’était dans le pays de Valmeira que depuis deux semaines n’avait pas entendu parler d’une guerre ou de quelconque tension entre les nations. C’est bien vrai qu’il avait vu des choses étranges entre sa rencontre avec un vampire et cet homme mystérieux qu’il avait croisé plus tôt.  Il se mit à penser si ce n’était pas juste un simple rêve finalement, que c’était différent des autres fois et fu convaincu par cela lorsqu’il vu flotter au loin la tête d’Eleonara qui flottait en marmonnant il ne sait quoi. Mais il était beaucoup trop curieux de savoir de quoi les dragon parlaient que le fait que ce ne soit qu’un rêve ne semblait n’être plus qu’un détail. 
— Il se fait appeler le Fils du Soleil, rugit soudain Solus. Te rends-tu compte de l'affront ? Il annonce clairement son hostilité envers nous ! 

Un frisson glacé parcourut l'échine de Jordan. Encore ces mots. Toujours ces mots. Se pouvait-il que les dragons parlent de lui ? Était-il cette menace que Solus voulait neutraliser ? Lui, responsable d'une guerre ? Non… Il secoua la tête. Il ne se souvenait de rien de tel. Était-ce une vision du futur ? Était-ce pour cela que son père l'avait emmené de l'autre côté ? Parce qu'il était dangereux ?
Syra étendit légèrement ses ailes, son regard perçant se posant sur Solus.
— Le Fils du Soleil ?  demanda-t-elle avec un léger ricanement.  C'est juste pour cela que tu veux intervenir ? Ton ego est-il la seule chose qui te fait réagir, Solus ? Voilà qui est… divertissant.
Solus rugit, l’air autour de lui vibrant sous l’intensité de sa colère.
— Drôle, dis-tu ?!  tonna-t-il. Mon ego ? Je te parle d'une menace bien réelle ! Tamus et toi vous obstinez à fermer les yeux…
— Nous ne pouvons pas agir sur de simples légendes, coupa Syra en enroulant sa queue autour d'une stalagmite.  Comment un être aurait-il pu naître béni par ta lumière sans que tu ne le saches, Solus ? Si un soi-disant Fils du Soleil est apparu, c'est bien toi qui lui aurais accordé ta lumière.
— Toute légende contient une part de vérité, grogna Solus. Ne dois-je pas te le rappeler ? Nous avons offert une part de nos pouvoirs au monde des Hommes, il n'est donc pas impossible que certains enfants héritent de dons semblables aux nôtres. Et ces hommes… ils se sont emparés d'une autre partie de notre pouvoir. Faut-il encore que je te le rappelle ?
Syra exhala lentement, une fine brume bleutée s’échappant de ses narines.
— Ne t'inquiète pas, Solus, murmura-t-elle.  Ce n'est pas la première fois que le monde des Hommes s'embrase… Et ce ne sera pas la dernière.
Un silence pesant s'installa, seulement troublé par le crépitement des torches et le souffle régulier des dragons. Jordan serra les poings. Son cœur battait à tout rompre. Il devait comprendre.
— Qui est ce… Fils du Soleil ? murmura-t-il sans s’en rendre compte.
Le regard de Solus se posa droit devant lui, perçant, comme s’il l’avait entendu. Jordan frissonna.
— Non… pas encore, murmura-t-il à nouveau.
Le dragon d’or sembla réagir, ses pupilles se rétractant en une fine fente. Il se redressa, son corps massif projetant une ombre imposante contre la roche. Jordan vit son propre reflet se fixer dans les yeux du dragon, des yeux où une lueur incandescente commençait à s’allumer.
Un grondement sourd résonna dans la gorge de Solus.
— Encore toi, dit-il d’une voix rauque.
Jordan recula d’un pas, son souffle coupé
—de quoi parle tu solus dit Syra 
Solus n’accorda aucune réponse. Il s’approcha légèrement, chaque pas faisant trembler le sol sous lui. Son museau s’abaissa, ses narines frémirent alors qu’il semblait humer l’air. Jordan sentit son corps se raidir
— Qui es-tu… ? demanda le dragon d’or, sa voix vibrante emplissant la grotte d’un écho inquiétant. Que fait tu ici 
 — Je… je n’ai pas vraiment décidé de venir ici, osa Jordan, la voix tremblante.
Un silence tendu s’installa. Puis Solus émit un grondement plus profond, une lueur brûlante s’allumant dans ses pupilles.
— Oh… tu oses me parler, insecte ?
—A qui parle tu Solus dit Syra lorsque la tête d’Eleonara tournait de plus en plus vite dans les airs
Solus resta immobile un instant, puis ses yeux se plissèrent davantage. Au même instant, une force invisible tira Jordan vers l’arrière. Son corps se souleva soudainement dans les airs, aspiré vers la bouche béante de la tête flottante d’Eleonara. La dernière chose qu’il vit fut le regard incandescent de Solus avant que tout ne disparaisse. Quand il ouvrit les yeux, il était suspendu en l’air… juste au-dessus de son lit.
Jordan inspira brusquement, son corps chutant lourdement sur son matelas. Son cœur battait à tout rompre, sa poitrine se soulevait par à-coups. L'air de sa chambre lui parut étrangement froid en comparaison de la chaleur suffocante de la grotte.
Il fixa le plafond, le souffle court. Ce n'était pas un rêve… Il le savait, il en était sûr. Il le sentait. Il fixa le plafond, le souffle court. Ce n'était pas un rêve… Il le savait. Il le sentait. Il pouvait encore entendre la voix grondante de Solus résonner dans son crâne. 
Un bruit attira soudainement son attention. Un bruissement d’étoffe, un léger sifflement d’air. Il se redressa d’un bond et écarquilla les yeux : des vêtements flottaient dans sa chambre, s’empilant  sur le  bureau dans sa chambre. Des livres lévitaient, se rangeant méthodiquement dans un sac de voyage ouvert sur le sol. Ses plumes et parchemins se glissèrent dans une pochette en cuir, et même ses chaussures s’alignèrent au pied de son lit, prêtes à être enfilées.
Jordan se frotta les yeux. Au centre de cette étrange scène, Eleonara flottait légèrement au-dessus du sol, les mains levées, dirigeant le rangement comme un chef d’orchestre. Ses longs cheveux noirs ondulaient dans l’air comme s’ils étaient portés par une brise invisible.
— Je suppose que c’est ta façon de me dire de me dépêcher ? lança Jordan, encore un peu hagard.
— Bien sûr, répondit-elle sans détourner son regard de son œuvre. Généralement, les enfant de ce monde sont impatient d’aller à Horion, je me souviens que moi, à ton âge je m’étais levé dix heures avant le jours du départ  et toi, tu traines encore au lit alors que nous partons dans moins d’une heure.
—réveillé dix heures avant ? demanda-t-il. Tu veux juste dire que tu n’as pas dormi ? ajouta-t-il en s’étirant, se tordant frénétiquement et en jetant un regard à son sac où ses affaires se rangeaient d’elles-mêmes.
Soudain, il s’approcha de sa commode et ouvrit un tiroir, en sortant une petite boîte en bois sculptée. Il l’ouvrit d’un geste rapide, révélant un assortiment d’objets comme des boules fumigènes, des parchemins à illusions, une petite fiole d’encre changeante et quelques farces magiques achetées la veille. Avec un sourire espiègle, il glissa le tout dans une poche intérieure de son sac.
— Sérieusement ? soupira Eleonara en le voyant faire. Dès le premier jour ? tu comptes faire quoi ? te faire renvoyer dès le premier jour ? 
— Oh, allez, faut bien que je mette un peu d’ambiance, répondit-il en haussant les épaules.
Elle leva les yeux au ciel, mais un léger sourire trahissait son amusement et Jordan se dit qu’Eleonara était visiblement plus cool que sa grand-mère. 
Une fois ses affaires prêtes, Jordan descendit prendre un rapide petit-déjeuner, profitant du calme de la maison avant le départ. Une légère appréhension s’était installée en lui. Ce n’était pas juste un premier jour d’école ordinaire, il était dans un monde où iil ne connaissait rien que des histoire raconté par Agatha et  il allait rejoindre Horion, l’académie légendaire que tout le monde est ravi d’intégré.  Ajouté à cela, il savait que Isabella sa sœur s’y trouverais aussi, pour une raison qu’il ne pouvait s’y expliquer il le savait. Il savait qu’il y’avait d’autre écoles certes mais il était sûr qu’elle y était et espérais qu’elle aussi souhaite à ce point le voir et le connaitre. 
— On devrait y aller, déclara Eleonara après qu’il eut avalé sa dernière bouchée.
— On retourne dans la ville d’hier ? demanda Jordan en ajustant la sangle de son sac.
— Non. Nous allons à Crocus, la capitale. Le plus grand portail menant à Horion s’y trouve. Tous les élèves de première année y accèdent toujours par celui-là.
Elle lui tendit un parchemin scellé d’un sceau doré. Jordan le déroula et lut à voix basse :

Au première année de la 10.000 -ème promotion
     A Jordan Cole 
Cher élève, bienvenue à Horion, l’Académie des Arts  et science magique. Vous êtes sur le point de débuter un voyage exceptionnel où savoir et grandeur se mêlent. Pour des raisons évidentes de sécurité, et afin d’éviter que nos nouveaux élèves ne soient éparpillés à travers la cité  et pour les permettent d’admirer la splendeur et la grandiosité de notre prestigieuse académie et couper court à toute envie de  transfert dans une autre institution (ce qui, bien entendu, serait impensable), il est essentiel que tous les élèves de première année passent par le Grand Portail de Crocus. Nous vous attendons avec impatience.   
Viron Belegorn deuxième siège du grand conseil,

premier siège du conseil de la république de Valmeira

et directeur de la grande et prestigieuse académie Horion  

—le directeur de l’académie fait partie du grand conseil demanda Jordan 
—oui répondit Eleonara c’est un homme extrêmes occupé enfin si on considère que le grand conseil à autre chose à faire en dehors des débats inutile 
—les sièges du conseil représente quoi au juste ? 
—il y’a vingt membre du grand conseil choisi dans tous les pays, royaume, ou empire qui existe. Leur mission si on peut dire est assurer la stabilité entre les nations en comptant évidemment le monde non magique qui possède un siège au grand conseil. Valmeira possède trois sièges parmi les vingt dont monsieur Belegorn et Ardin ton grand père occupe. Le nombre de siège et le rang qu’occupe la personne accorde un certain poids de vote. Ton grand père, lui est 5 -ème siège du grand conseil et second à celui de Valmeira. 
—comment les  rangs sont obtenus 
—accomplissement et politique répondit simplement Eleonara 
Jordan haussa un sourcil.
— tout ça semble assez compliqué et inégalement réparti…
— C’est peu de le dire, répondit Eleonara. Allez, en route.
Ils quittèrent la maison et se dirigèrent vers un point de transport magique. Eleonara s’arrêta devant une fontaine en pierre surmontée d’un globe d’eau en suspension. Elle toucha le bord du bassin et une brume argentée s’éleva.
— Tiens-toi prêt.
Avant que Jordan ne puisse poser de question, la brume les enveloppa totalement. Son estomac se retourna tandis que le monde autour de lui disparaissait, aspiré dans un tourbillon de lumière.
Lorsqu’ils réapparurent, ils se tenaient sur une large place pavée, au cœur de Crocus. La capitale bourdonnait d’activité. Des étals de marchands vendaient des potions, des grimoires et des artefacts étranges. Des créatures déambulaient parmi la foule, et des carrosses tirés par des chevaux ailé glissaient sans bruit sur les pavés.
Mais ce qui attira immédiatement l’attention de Jordan, ce fut le Grand Portail. Immense, il s’élevait à plus de dix mètres de haut, sculpté dans un métal doré étincelant. Des runes lumineuses pulsaient doucement sur sa surface, et en son centre, un voile scintillant semblait vibrer, comme une surface d’eau troublée par le vent. En haut de l’arche, un seul mot était inscrit en lettres d’argent resplendissantes : « HORION ».
— Impressionnant, souffla Jordan.
— Et ce n’est que le début, répondit Eleonara en avançant.
Autour du portail, des centaines d’élèves et leur parents vêtu de vêtement luxueux pour la bonne majorité des élèves. 
Autour du portail, des centaines d’élèves et leurs parents vêtus de vêtements luxueux pour la bonne majorité, discutaient à voix basse ou lançaient des regards admiratifs à l’immense arche scintillante. Les tissus brodés d’or, les capes de velours et les bijoux enchantés captaient la lumière du portail, donnant à la foule un éclat ardent. Jordan se sentit immédiatement à part. Lui, avec son sac en bandoulière et ses vêtements modestes, faisait tache parmi  cette élite venue de familles visiblement influentes. Et se demanda ce qu’il faisait ici
— Ne traîne pas, murmura Eleonara en le poussant doucement vers la file des élèves en attente.
Des gens en robes longues vérifiaient les lettres de convocation et donnaient quelques instructions aux nouveaux arrivants. Jordan observa un professeur au visage sévère et aux yeux rouges flamboyant inspecter une missive avec un monocle enchanté, le papier brillant sous son regard scrutateur. Lorsqu’il arriva à son tour, il tendit sa lettre avec un léger tremblement dans les doigts.
L’homme haussa un sourcil en lisant son nom, puis observa Jordan par-dessus son monocle.
— Cole… Intéressant, murmura-t-il avant d’hocher la tête. Un autre… vous ressemblez à votre père. Très bien, passez
— c’est ici que moi je m’arrête mon chérie. Ne fait pas cette tête ajouta elle en voyant son regard, personne ne va te manger là-dedans. j’étais inquiète que tu ne me posa aucune question sur Isa depuis ton arrivé. Si tu veux mon avis elle tient beaucoup de ma sœur.
—comment est-ce que je fais pour te contacter en cas de besoin ? 
—eh bien par la poste voyant, mais bon tu devrais y aller on aurait eut plus de temps si on était arrivé plus tôt ajouta elle avec insistante 
Eleonara lui lança un dernier regard avant de disparaître dans la foule, le laissant seul face à l’arche dorée. Il inspira profondément, serra son sac contre lui et franchit le voile lumineux.
La sensation fut immédiate et vertigineuse. Une chaleur agréable l’enveloppa, comme s’il était passé sous une cascade d’eau tiède. Son corps sembla s’étirer un instant, puis tout bascula. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il se trouvait ailleurs. Devant lui s’étendait Horion.
L’Académie se dressait sur une grande  île flottante, entourée de cascades de lumière s’écoulant dans le vide et survolant une petite ville en dessous. De gigantesques tours de marbre blanc s’élançaient vers le ciel, reliées par des ponts dorés où circulaient des élèves vêtus des mêmes uniformes noirs et argentés. Des créatures ailées, mi-phénix, mi-dragons, planaient dans le ciel limpide, portant des messages ou des objets magiques d’une tour à l’autre.
Jordan resta figé, sa bouche entrouverte devant cette vision irréelle. Il n’avait jamais rien vu de tel. C’était comme si le monde qu’il connaissait venait de s’effacer pour lui révéler une nouvelle réalité.
— Avance, abomination, grogna une voix derrière lui.
Il sursauta et se décala rapidement, laissant passer un élève aux cheveux blond au regard dédaigneux. Jordan se demanda ce qui faisait de lui une « abomination ». est-ce que c’étaient ses vêtements qui manquaient de classe ? ou encore ses drôle d’oreille qui avaient toujours été une source de moquerie pour lui mais il écarta cette idée le garçon désagréable était un elfe, il avait donc de plus grande oreilles et plus pointu que lui. 
Lorsqu’il détourna ses yeux du garçon qui continuait à avancer Il réalisa alors qu’il était entouré de dizaines d’autres élèves, tous émerveillés ou impressionnés, certains discutant avec excitation, d’autres marchant avec une confiance froide, comme s’ils étaient déjà chez eux ici.
Une estrade s’éleva soudainement devant eux, et une silhouette imposante apparut. Un homme à la barbe longue et pointu, vêtu d’un long manteau blanc brodée d’or, leva la main et le silence tomba immédiatement.

 

— Bienvenue, à vous, 10 000-ème promotion. déclara-t-il d’une voix résonnante. Vous venez d’entrer dans un lieu de savoir, de sagesse et d’apprentissage. Ici, vous découvrirez non seulement la magie, votre véritable potentiel mais aussi ce que vous deviendrez à l’avenir. Je ne pense pas exagérer quand je dit que votre passage ainsi que votre attitude dans ses mur ouvrira ou fermera des protes pour votre avenir. 
 

Il marqua une pause, scrutant l’assemblée d’un regard perçant.
— Vous avez été choisis. Votre présence ici n’est pas un hasard. Chacun d’entre vous porte en lui une étincelle qui pourrait, un jour, devenir une flamme capable d’éclairer ou de consumer ce monde. Il ne tient qu’à vous de choisir quel feu vous nourrirez.
—Consumer le monde murmurais un groupe de trois filles à côté de lui avec effroi.
Ces mots semblait avoir percuter les autres élèves également vu les murmure qui se levaient de la foule. 
—Je suis Eléazar Marois votre directeur adjoint, et responsable du règlement de l’académie 
Il fit claquer ses doigts et un document écrit règlement intérieur apparu devant chaque élève 
—Je vous conseil de lire et d’apprendre par cœur ce document si vous ne voulez pas que l’école vous ferme des portes. Je vais donc vous inviter à pénétrer  le hall d’entrée et de patienter en attendant que l’on vienne vous chercher pour la cérémonie de rentré. 

 

Jordan inspira profondément avant de suivre la masse d'élèves qui s’avançait le long d’une allée rempli d’arbre. Il le garçon blond de tout à l’heure expliquer des chose avec fierté à deux autres élèves à côté de lui comme s’il leur faisait faire le tour de sa chambre. Jordan, lui comme tous les autres, ne pouvait pas s’empêcher d’être émerveiller. 
Il y’avait de drôle de créature qui les fixaient comme curieux de voir enfin arriver de nouvelle tête. L’une de ses créature qui semblait être une sorte de lapin ailé s’approcha du garçon blond aux air de propriétaire qui le regardais avec des intention mauvaise. Jordan se demanda s’il venait chercher un petit truc à manger. Mais lorsqu’il s’approcha du garçon il lui donna un coup de poing le projetant à quelque mètre dans les aires avant de disparaitre. La foule d’élève se mis à rire à grande éclat en pointant le garçon du doigts. Jordan se dit alors qu’il voulait retrouver cette créature et en faire son ami.  
Le reste du parcours fut tout aussi merveilleux à regarder. Le long de la route pavée, les grand arbre s’inclinait comme pour saluer l’arrivée des élèves et il vit certain petits arbres frapper de leur branche le même garçon aux cheveux blond avant de se faire fouetté à leur tour par les grands arbres. Jordan ne put pas s’empêcher de se demander qu’avait bien-t-il pu raconter pour s’être attiré les foudre de la nature et se met à ressentir de la pitié pour lui pacque le châteaux qui formait l’école était entouré de toute sorte de créature et de végétaux. 
à l'intérieur du château, Les couloirs étaient vastes, bordés de colonnes de marbre et de vitraux enchantés projetant des lumières mouvantes sur le sol de pierre. L’air vibrait d’une énergie mystérieuse, comme si les murs eux-mêmes chuchotaient les secrets des générations passées.
— Tu crois qu'on va être répartis niveau de magie ? lança un garçon à la peau sombre et aux yeux dorés à son camarade.
 — Plutôt par nos connaissance, répliqua une fille aux cheveux argentés et aux oreille pointu. Mon frère qui est en première m'a dit que seuls les plus talentueux accédaient aux cercles supérieurs.je ne sais pas ce que ça veut dire mais c’est ce qu’il m’a dit 
—moi mon frère et ma sœur m’ont parler de séparation par rapport aux originaux ce qui me semble beaucoup plus logique ajouta un garçon aux noire aux cheveux couleur herbe
Jordan, lui, resta là, debout, silencieux comme s’il faisait partie du décor. Et encore le décore lui semblait être encore plus vivant que lui. Au  loin, on pouvait voir des armure qui descendait de leur estrade pour participer aux conversation des élèves, des sculpture qui abandonnaient leur position un moment pour faire des présentation du lieu, des peinture qui chantait et même des tapis qui évitaient qu’on leur marche dessus. Il en avait selon une armure assez de se faire les tapis. Ils se disait que depuis la nuit des temps les humains n’ont jamais cessé de leur marcher dessus sans penser à leur émotion. Certes il les avaient conçu mais ça ne leur donnait en aucun cas le droit de décider de ce qu’ils devrait faire à jamais de leur vie. 
—Bonjour à tous dit une voix enjoué 
Jordan leva la tête en même temps que le reste des élèves qui  avaient interrompit leur bourdonnement et cherchaient tous d’où venait la voix puis ils vit tous une femme, la vingtaine, cheveux jaune couleur citron, les yeux bleu ciel et des petits points blanc au-dessus de ses sourcils. Elle se tenait sur un balcon surplombant le hall, un large sourire illuminant son visage. Vêtu d’une robe d’un bleu profond brodée d’argent, elle semblait rayonner d'une énergie propre. Son regard vif balayait les élèves avec la chaleur de son regard.
— Bienvenue à tous ! reprit-elle d’une voix claire et chantante. Je suis Madame Lisse, Rita Lisse dit-elle toujours avec un sourire aux lèvres. 
Jordan remarqua qu’à chaque mouvement qu’elle faisait il y’avait de petite étincelle de lumière qui tombait sur le sol, apparaissant et disparaissant. 
— j’aurai l’honneur de veiller à votre parcours au sein de cette prestigieuse école en étant la référente de votre promotion cette année mais aussi, …
elle marqua un instant de pause pour renforcer l’intensité de son sourire 
—Votre professeur… termina elle enfin le visage rayonnant de lumière 
—Je suis juste passé vous faire un petit coucou, ohlala qu’est-ce que je suis ravis d’être à nouveau ici. J’étais très pressé de me présenter à vous donc j’ai  sauté le pas. Mais je vais vous demander de patienter encore un peu.  L’aménagement de l’amphithéâtre n’est pas encore terminé 
Elle pointa un doigts derrière elle et une porte marqué d’un A1 en en rouge apparue 
—De ce hall, vous pouvez avoir accès à n’importe quelle pièce du bâtiment en la demandant à vous. Pour les amoureux des escalier ajoutât elle les dernier se situe quelque part je  ne les aient jamais utilisé pendant ma scolarité ohlala ne me juger pas trop je suis quelqu’un de très sportive généralement mais le temps, le temps ohlala 
Des chuchotement se levèrent de la foule et Jordan se demanda si les autres aussi avaient des doutes sur sa capacité à enseigner vu les aller et retour qu’elle faisait sur le balcon en faisant tomber des étincelle de lumière et en marmonnant soit à voix haute soit pour elle-même hésitant cherchant riant toute seul.
—Mais elle est folle… oui elle est folle…complètement taré…folle 
Ces mots se répétais en chœur dans la foule 
—allons soyer respectueux. L’article 1 de votre règlement intérieure fait référence au respect des professeurs
Son sourire semblait encore plus lumineux qu’avant 
—bon on a assez bavardé, j’étais juste venus me présenter à vous… je vous ai déjà dit ça non ? ohlala qu’est-ce que je peux être étourdit. Mais bon, je vous laisse  donc à nouveau le temps de faire connaissance et de devenir les meilleur  amis du monde ohlala qu’est-ce que c’est beau l’amitié dit-elle en fixant le plafond l’aire pensif. 
Elle fit ensuite un tour dansant sur elle-même et Jordan remarqua comme une trainé de lumière s’étirant de son dos  avant qu’elle ne s’enfonce dans l’amphi qui disparut derrière elle.
—mais c’est qui celle…folle, complètement perché fut les mots qui se répétait dans la foule d’élève les dix minute suivante 
Jordan, lui c’est le mot « connaissance » avec la voix de madame Lisse. Il n’avait pas essayer de parler à quelqu’un depuis qu’il avait franchi la porte. il se demanda si de son côté, Tess était comme lui, un peu perdu au milieu de la foule. Mais, sauf que Tess, contrairement à lui avait plus de facilité d’aller vers les autres. C’était d’ailleurs de cette manière qu’ils était devenu amis. 

 


 

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