Je sais bien qu'il y a bien pire comme problème dans la vie, mais je n'y peux rien, parfois, quand j'y pense, je me sens comme dans une machine à laver : ballottée, malmenée, essorée pour sortir de moi jusqu'à la dernière goutte de ce que je peux donner.
Jusqu'à l'écoeurement.
Et pourtant, je reste, malgré les opportunités qui se sont présentées à moi, j'ai choisi de rester. De rester auprès de ceux qui m’oppressent, me rabaissent, prennent un malin plaisir à me mettre de bâtons dans les roues.
Comme si...je ne méritais pas mieux, comme si je ne trouverais jamais mieux...Est-ce cela le syndrome de Stockholm ?
Tu fais du bon travail, tu t'investis, c'est bien...Ah mais oui, maintenant ça devint sérieux, il faut quelqu'un de plus compétent pour prendre le relais ...Du travail que j'ai mené jusque là...
Nettoyage, rinçage, essorage...mouais... rage, tout court.
 
                        
Comme le dis un autre commentaire, je trouve aussi que c'est un tetxte "brut" mais ce qui en fait selon moi sa beauté. Parfois laisser sortir les mots que l'on garde est encore plus profond qu'un simple remplacé encore et encore par d'autres pour trouver le bon... alors que le bon est le premier qui nous vient à l'esprit.
Merci pour ce texte, c'est très touchant :)
Merci pour ce commentaire!
J'avoue que c'est un texte brut, je n'ai pas trop cherché à lui donner une forme. Il a été écrit un jour où ça n'allait pas trop, dans l'énergie du moment, avec peut être des freins inconscients, qui sait!
J'aurais même envie d'en lire plus sur ces ressentis, j'ai le sentiment qu'ils ont des choses à dire :)
J'espère que demain sera une meilleure journée pour toi !
JS
Merci pour ce commentaire en tout cas!