Dame n'abandonne pas, car tu es la vie, ne laisse pas les vagues de la soif sonder la sécheresse, c'est toi,
Laissez-moi être un avec vous ma Dame,
Regarde et compte chaque étoile dans le ciel, je dessine des constellations sur ton dos ;
Ma dame, aimez comme jamais auparavant, riez comme personne d'autre.
Brillez jusqu'à ce que le soleil envie votre lumière radieuse.
Madame laisse-toi porter par le vent et au-delà de ce qui est possible, au-delà de ce que ton cœur peut atteindre, laisse-moi parcourir tes hanches pour que je puisse danser avec l'amour de ta vie,
Laisse mes paroles parcourir ton oreille et se réfugier dans ton cœur.
Dame ces boucles dorées de mon incroyable imaginaire, qui se mêlent aux champs de blé de mes prairies pleines d'amour et d'aube,
Madame, laissez mon désir véhément de vous embrasser se réaliser,
Et que, avec le chant d'un rossignol, les imaginaires deviennent réalité,
Laisse-moi t'imaginer parmi un champ de corolles et orner ton visage de caresses dans lesquelles je peux, au moment le plus crucial de notre rencontre où nous embrassons au rythme du tango, tes lèvres cramoisies, comment ne pas être prisonnier de tes yeux si en eux je me perds et renais.
J'avoue que j'ai eu du mal à lire ce texte, qui est ponctué de virgules en lieu et place de points et de retours à la ligne qui semblent un peu aléatoires.
C'est un peu dommage, sinon je trouve ce texte néanmoins très poétique.
C'est un très joli texte ! Je me demandais si c'était volontaire d'alterner le tutoiement et le vouvoiement. Je trouve que ça fait un effet plutôt sympathique. J'ai beaucoup aimé le dernier paragraphe avec le tango et les corolles, très réussi !
Bien à toi (=