Pourri et détruit par l'écho d'autrui
C'est ça la vie, c'est ça la famille
Molesté pour avoir mangé du fruit
Toujours incompris, toujours saisi
J'ai péri car je ne savais pas où écrire
Ma vie, la décrire, sans pleurer ou rire
Stop, plus de médire, ça me fait souffrir
Alors, quoi dire pour nous, les martyrs ?
Frappé de stupeur et saisi d’horreur
Saisi et encore jusqu’au déshonneur
Faire un doigt d’honneur à ses côtoyeurs
Faire un don d’organes par pur mauvais cœur
Quelques « excuses-moi » sur un ton trompeur
Fureur, bonheur, atouts des « grands » joueurs
Vendre sa bonne humeur pour l’amour du malheur
L’amour, un malheur qui tombe toujours à l’heure