Le vent soufflait ce soir-là. Le soleil ne réchauffait rien ni personne. Et pourtant une extrême douceur se dégageait de la Loire.
L'eau coulait doucement sous le pont, suivant le chemin qu'elle a mis tant d'années à tracer. Et sans but et sans désir, elle suivait son destin. Molécules d'eau amassées, la multitude ne formait plus qu'un. Plus qu'un qui partageait tout, et ne demandait rien.
Très joli bout de Loire, merci pour ce moment de douceur. On se croirait un soir de printemps, à Angers, avec son ciel rose et bleuté et les péniches qui somnolent dans le silence.
A bientôt !
Je suis ravie que mes mots te transportent sur les rives de mon enfance, au milieu de ces paysages que j'ai tant admiré, que j'aime toujours autant admirer d'ailleurs !
Je serais enchantée de participer à un de tes ateliers d'écriture, en physique si tu n'es pas trop loin de la Basse-Normandie, ou en ligne si tu en proposes.
Figure toi que j'en anime aussi ! Et ce serait un plaisir de t'avoir comme participante, tu as une imagination débordante !