A l’orée d’une mystérieuse forêt,
Où la nature a gardé sa beauté originelle,
Où les grands arbres gardent leurs secrets,
Elle s’abrite d’une fleur en forme d’ombrelle.
Ses mélodies sont celles des oiseaux,
Ses symphonies sont composées par le vent,
Ses ballets sont ceux des grands roseaux,
pas de doute, elle habite un monde fascinant
Les biches viennent lui manger dans la main,
Les libellules lui font une garde de beauté,
Lorsqu’elle va à travers les chemins
En écoutant la nature chanter.
Elle, c’est la fée…
Très intéressant cette fée à la fin, c'est un univers doux et bienveillant.
Hâte de vous voir décrire la sensibilité de cette fée dans une suite