Enigme n° 2

Par Figaro
Notes de l’auteur : Énigme un peu plus longue cette fois-ci ! Attention chers lecteurs, chers lectrices, qui dit plus de texte dit également plus de difficulté ! Bonne lecture à tous !

John est un jeune détective de vingt-neuf ans. Depuis peu, il enquête sur des meurtres ou des vols à domicile. Il a arrêté tellement de criminels, que les gens de sa ville l'ont renommé par un nom très connu de tous : " Sherlock Holmes ". John adorait ce surnom qui le flattait à chaque fois que quelqu'un lui demandait ses services. 

Un jour, une dame âgée de quatre-vingts cinq ans, l'a appelé : il y avait eu un meurtre chez elle. 

Pour vous donner un peu de contexte, cette femme était paralysée des jambes et ne pouvait pas monter les escaliers. Une infirmière l'aide donc en la portant. C'était elle qui avait été assassinée. Elle avait été poignardée en bas des escaliers. La femme, elle était à l'étage quand elle a appelé la police et le détective.

Notre amis John se rendit alors sur les lieux le matin même et sonna à la porte. La dame attendait près des escaliers dans son fauteuil roulant. Une grande trace de sang brune sur une des marchés. Le détective l'interrogea alors sur l'aversion des faits.

Elle lui explica alors que l'infirmière l'avait portée en haut des escaliers pour qu'elle puisse dormir dans sa chambre puis elle est redescendue en bas pour faire la vaisselle. Le lendemain matin, elle l'a trouvé, gisant sur le sol dans une mare de sang. Elle a donc appelé la police et Sherlock car elle ne pouvait donc pas descendre les escaliers. Une fois les policiers arrivés sur les lieux, il l'ont descendu et ont attendu le détective. L'infirmière avait été poignardée et le corps est encore d'examen. 

« Vous êtes vraiment sûres ? demanda alors John en se tournant vers les policiers. L'un d'eux fit un '' oui '' de la tête. 

John sorti son carnet à carreaux. Il commença à tracer un tableau dans lequel il y aurait une liste de suspects à barrer si besoin. Il y avait plusieurs suspects qui seraient le possible meurtrier. Premièrement, il y avait la fameuse dame handicapée, deuxièmement, il y avait le voisin, Mr Solare et le tout dernier, Madame Crueguer, la femme de ménage. 

Notre amis retira la femme de la liste, comment aurait-elle pu commettre le meurtre en bas des escaliers alors qu'elle était bloquée à l'étage ? Et puis, il s'agissait tout de même de son infirmière avec qui elle avait tissé des liens très forts.

John demanda aux policiers de partir pour éviter de le déconcentrer pendant son enquête. Ils acceptèrent, sortirent de la maison et montèrent dans leur voiture avant de disparaitre.

« J'aimerais monter à l'étage pour essayer de trouver des indices, dit John à la vieille femme.

- Bien-sûr, de toute façon, il n'y a que trois pièces peu meublées.

- Merci beaucoup, remercia t-il. Puis il monta.

Arrivé en haut, il se retrouva face à trois portes. Il entra dans l'une d'elles. C'était une salle de bain. Il y avait une baignoire blanche en bon état, une cuvette de toilette et un lavabo face à un miroir accroché au mur. Il sortit alors de la pièce.

La deuxième était une bibliothèque. Une grande bibliothèque. Des livres empilés sur une petite table. Une chaise en rotin avec d'une couverture rendait la pièce assez jolie. Tout à coup il sursauta : devant lui, il avait une fouine empaillée ouvrant une gueule remplie de dents pointues. Il sortit et se retrouva dans le couloir sombre.

Les mains tremblantes, il tourna la poignée de porte de la dernière pièce. C'était une chambre. Une tapisserie verte jaune couvrait les murs. Le parquet craquait sous ses pieds. Aussitôt, il s'immobilisa. Il compris. Une chose, une chose l'a fait comprendre. Dans la pièce, il manquait quelque chose. 

Il sortit en trombe de la chambre et sortit son arme. Mais en arrivant en haut des escaliers, il fit face à un spectacle terrible : en bas, il n'y avait plus la femme mais à la place, il y avait un fauteuil roulant ...

 

 

 

 

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