Laissez-moi vous conter la petite histoire pittoresque du bourg d’Hamshire, perdu dans les contrées anglaises, avec ses décors boisés enchanteurs, la candeur naïve de ses habitants et son Troll sanguinaire.
À cette époque enchanteresse, toutes les campagnes avaient leurs petits soucis. On se plaignait dans le Nord d’un hiver trop rude ; le Sud réapprennait des leçons d’humilité et de partage avec ses envahisseurs vikings ; l’Est et l’Ouest se battaient pour savoir qui était effectivement à droite et qui était à gauche sur la carte (exercice compliqué étant donné qu’on pouvait mettre la carte à l’envers) ; et le Centre subissait de plein fouet le malheur d’être complètement ignoré par le reste.
Avec toutes ses préoccupations, le petit bourg d’Hamshire et ses problèmes de Troll passaient tout naturellement bien inaperçus, laissant le soin à ces paysans de régler eux-mêmes le problème. Ce qui, vous en conviendrez, n’est pas chose aisée avec des villageois pour lesquels on pouvait tomber dans le vide en atteignant le bord de la carte.
Ainsi, à côté de ces honnêtes paysans qui ne désiraient qu’exploiter leurs modestes terres, le Troll vaquait à l’occupation inhabituelle de cueillir des fleurs, de se promener dans les champs, de composer des poèmes et d’enlever les femmes et filles des paysans pour en faire du rôti pommes de terres sautées.
Effectivement, la question se pose : comment un Troll pouvait-il connaitre la recette du rôti pommes de terres sautées ? Ce détail important s’est malheureusement perdu dans le flux chaotique de l’Histoire et la maladresse d’un stagiaire qui a foutu le feu aux archives.
Le Troll était un être verdâtre de trois mètres de haut, aux membres épais comme des troncs d’arbres, au ventre proéminent, des yeux jaunâtres comme une pinte de bière, quelques poils pour cheveux, un nez aussi gros que la mâchoire d’un cheval et une moustache si broussailleuse qu’elle dissimulait une bouche qu’on devinait fort charmante.
À part tout cela, un vrai gentleman, qui avait trouvé la formule tant recherchée par de nombreux savants pour avoir du succès parmi les filles. La méthode était simple, mais brillante : trouver une paysanne isolée, lui chanter un poème d’amour puis, par le miracle de la coordination des muscles et de la force motrice des jambes, attraper ladite paysanne et courir à toute allure pour rejoindre sa caverne.
Les maris ne pouvaient que se lamenter du sort de leur compagnes car cela signifiait le début d’une longue période d’abstinence, et les pères déploraient la liaison de leurs filles avec ce Troll qui, bien évidemment, ne pouvait assurer une perspective d’avenir prometteuse dans les grandes universités médiévales.
Passablement agacés par les agissements du Troll, les villageois décidèrent un beau jour de se rassembler à l’endroit le plus important du village, le pub, pour débattre de ce problème. Ils convinrent rapidement qu’il fallait soit se débarasser du Troll, soit se procurer d'assez de femmes et de filles pour tenir plusieurs années. Après moult discussions houleuses et difficiles, ils en conclurent que la première option était meilleure. Jugeant alors qu’ils avaient bien progressé, les villageois buvèrent jusqu’à l’aube.
Le lendemain, une autre réunion eut lieu, et encore une autre le jour d’après, et encore les jours suivants. Comme aucun ne se souvenait des réunions de la veille, tout était à refaire chaque jour. Et comme la majorité des paysans mâles étaient sans cesse réunis au pub, leurs compagnes se plaignaient à quel point leur mari ne passait que son temps libre à boire avec les copains (et que « chercher à tuer le Troll » n’était pas une bonne excuse).
Aussi, les compagnes devant se mettre au travail et récoltant les champs toute la journée sans surveillance, le Troll s’en donnait à cœur joie.
« Bon, je pense qu’on devrait arrêter de boire comme des trous et discuter sérieusement du problème » finit par déclarer un jour le Gros Tom, un des villageois les plus respectés car il était fort, gros, avait une barbe relativement soignée et était capable de prononcer des mots à quatre syllabes sans se mordre la langue.
Tous les autres répondirent que c’était un bon conseil et qu’il était temps d’arrêter de vider leurs réserves de bière. Ils se munirent alors de chopes de whisky et se réunirent autour du Gros Tom pour l’écouter : « J’ai un plan, alors écoutez-moi bien. Que savons-nous de ce Troll ?
— Il nous vole nos femmes !
— Et nos filles !
— Bien sûr, bien sûr. Et pourquoi ne pouvons-nous pas essayer de le suivre pour trouver son repère ?
— Il va trop vite !
— En quelques secondes, il emmène nos femmes dans la forêt !
— Et on a pas de carte alors on ne peut pas le suivre !
— Bien sûr, bien sûr. De là en découle mon premier plan : nous allons engraisser nos femmes et filles. Ainsi elles ralentiront grandement la course du Troll et nous pourrons lui sauter dessus !
— Hourra ! Hourra pour Gros Tom ! » hurlèrent en cœur tous les villageois.
Quelques jours et plusieurs enlèvements de femmes en surpoids plus tard, les villageois se retrouvèrent à nouveau au pub, assis en cercle autour du Gros Tom. Il commença d’une voix grave et solennelle : « Bon, il faut se rendre à l’évidence, le plan ne fonctionne pas comme je l’avais espéré. Et pourquoi donc ?
— Il va toujours trop vite !
— Comme nos femmes mangent toutes nos provisions, on est trop faible et on arrive plus à courir !
— Bien sûr, bien sûr. De là découle mon deuxième plan : nous allons arrêter de nourrir nos femmes et manger le plus possible. Le Troll court vite parce qu’il mange bien et nous allons retourner cette tactique contre lui !
— Hourra ! Hourra pour Gros Tom ! »
Malgré toute la bonne volonté et nourriture du monde, les paysans se retrouvèrent quelques jours et plusieurs enlèvements de femmes affamées plus tard, face à Gros Tom. Celui commenca d’une voix grave et la bouche pleine : « Bon, il faut se rendre à l’évidence, ça ne fonctionne pas.
— Et on aura bientôt plus de nourriture !
— Et ma femme n’arrête pas de se plaindre que je ne fais que bouffer ! Qu’elle est lourde !
— Qu’avez-vous dit ? interompit Gros Tom, une lueur dans les yeux.
— Et bien, ma femme est lourde, mais si vous pouvez éviter de le lui répéter…
— Bien sûr ! Bien sûr ! J’ai trouvé la solution : il nous faut choisir la femme la plus insupportable, la plus capricieuse, la plus lourde de tout le village ! Comme ça, nous n’aurons pas à gaspiller de la nourriture, ça ralentira le Troll et, si le plan échoue, nous serons débarassés de la chieuse du village !
— Hourra ! Hourra pour Gros Tom ! »
La chieuse en question repondait au doux nom de Bertrand. Ses parents avait en effet espéré qu’elle devienne un homme vigoureux en lui donnant un nom qui l’était tout autant. Cela se faisait souvent à cet époque, pour des résultats peu probants (les savants cherchent toujours l’explication de cet insuccès).
Au grand dam de ses parents, Bertrand avait grandi en gagnant des formes sensuelles, un visage enchanteur, un esprit rêveur et un caractère de chien. Elle ne voulait jamais participer à quelque travail physique que ce soit, préférant traîner à la maison et rêver de sa rencontre avec un beau prince charmand qui sera bien évidemment très beau, très fort et avec un compte bancaire conséquent.
Ses parents se plaignaient depuis des années que leur Bertrand était un poids, aussi ne virent-ils aucun inconvénient au plan de Gros Tom. Admirons le courage et l’altruisme de ces parents, prêts à tout pour sauver le village.
Ainsi, le lendemain, le Troll se promenait nonchalamment dans les champs, espérant faire de bonnes courses et dévorer un bon rôti. Il fut très heureux quand il rencontra la douce Bertrand, attachée la tête en bas à un arbre, profanant des obscénités aux villageois qui l’avaient installée là. Le Troll en fut tout content, pensant que les villageois étaient décidément les meilleurs voisins du monde, et emmena Bertrand avec lui sans plus attendre.
Arrivés chez lui, le Troll ne voulut pas faire attendre son invitée et se mit tout de suite aux fourneaux. Il indiqua polimment à Bertrand que le déjeuner sera bientôt prêt. Comme Bertrand grognait toujours, le Troll comprit qu’elle se plaignait d’être toujours attachée. « Excusez-moi, mademoiselle, je ne sais plus où donner de la tête » dit le Troll tout en la détachant. Puis il se remit à cuisiner, et une douce odeur de viande remplit la caverne.
On ne peut que se questionner sur l’état d’esprit de Bertrand alors qu’un immense cuisinier vert de trois mètres était en train de cuire les restes de la veille et de siffloter (sacré exploit, quand on sait que les Trolls n’ont que trois molaires). Bertrand ne faisait qu’admirer ce Troll, sans bouger.
Elle en tomba éperdument amoureuse.
Comment cela est-il possible ? Peut-être que Bertrand était charmée par le fait que personne n’avait cuisiné un met aussi raffiné pour elle ; peut-être a-t-elle été émerveillée par la maîtrise culinaire exceptionnelle de ce Troll ; peut-être est-elle allée au-delà des apparences et a vu la personnalité en or de ce Troll mangeur d’hommes.
Elle commença à lui parler, discutant de moult sujets avec moult passion. Le Troll fut agréablement surpris de la loquacité de son futur rôti et lui répondit par des traits d’esprits et des poèmes. Sans s’en rendre compte, les deux discutèrent passionnément jusqu’à la nuit tombée.
Dans la chaleur de la caverne et la lumière romantique des flammes qui cramaient de la viande humaine, les deux se rapprochèrent de plus en plus. Au final, ils laissèrent tomber les mots pour faire parler les corps. Je comprends bien que la chose à de quoi surprendre et même de poser beaucoup de questions aux niveaux logistiques et anatomiques. Nous ne pouvons alors que vous répondre ceci : ce genre de sujet ne se discute pas en public.
Ils passèrent des journées entières ensemble, heureux. Ils se levaient tôt le matin pour profiter de l’aube. Puis ils dépensaient la matinée à flâner dans la campagne, à se baigner dans l’onde claire des rivières et à écrire des poèmes. L’après-midi, lorsque la faim venait à s’installer, les deux se prenaient la main, riaient de bon cœur et partaient chasser des paysannes. Bertrand se disait que ses parents auraient été fiers de la voir enfin travailler pour mériter son repas.
Un beau jour, notre merveilleux couple croisèrent par hasard le Gros Tom, qui profitait lui aussi de la beauté de la nature en picolant comme un trou. Il degrisa tout de suite en les apercevant, et commenta : « Bon, il faut se rendre à l’évidence, ce monstre sanguinaire va me bouffer.
— Bien le Bonjour, monsieur Gros Tom ! dit le monstre sanguinaire d’une voix guillerette. Comment allez-vous ?
— Je vous en supplie, laissez-moi au moins écrire une lettre d’adieu à ma femme ! le supplia Gros Tom.
— Quelle surprise, je ne savais pas que vous savez écrire, Monsieur Gros Tom ! ponctua Bertrand, sincèrement impressionnée.
— Maintenant que tu le dis… Alors pouvez-vous au moins me laisser apprendre à écrire auprès du curé, comme ça je pourrai envoyer ma lettre, et après vous pourrez me manger ! Ce n’est que l’affaire de quelques semaines !
— Mais enfin mon bon Monsieur Gros Tom, ce que vous dites n’a aucun sens, répliqua le Troll. J’ai dévoré votre femme il y a déjà un an de cela !
— Fichtre. Enfin, me voilà rassuré : j’ai eu peur de devoir vraiment apprendre à écrire… »
Et les trois compères rirent de bon cœur puis se quittèrent avec des chaleureux « À la prochaine ! ». Ce n’est que quelques heures plus tard que Gros Tom se dit que tout cela était assez incongru.
Le soir-même il organisa à nouveau une réunion. Un climat de mécontentement reignait alors, déjà parce que le Troll sévissait toujours, mais aussi parce que les réserves de whisky étaient à sec et qu'ils en étaient réduit à boire de l’eau. Le Gros Tom leur raconta sa mésaventure, ce qui énerva encore plus les villageois. « Comment cela, Bertrand est en vie ?
— Je pense, répondit Gros Tom, que les deux vivent ensemble.
— C’est impossible ! Ce genre de relation interraciale est contre nature !
— Qu’est ce que tu as dit ? »
Ainsi, après une discussion houleuse qui aurait certainement posé des problèmes à l’auteur de ces lignes s’il l’avait écrite, Gros Tom déclara d’une voix grave : « Il faut tirer parti de la situation : nous allons faire en sorte que le deux se séparent en se haïssant, les forçant ainsi à quitter la région pour ne plus se voir. Ainsi, nous serons débarassés des deux.
— Tu as déjà dit ça la dernière fois… Comment vas-tu faire ?
— C’est simple. Je vais utiliser le moyen le plus sûr, le plus efficace, le plus mortel pour briser un couple… »
Le lendemain, Gros Tom retrouva notre merveilleux couple au même endroit que la dernière fois. Les échanges furent cordiaux, débutant ainsi : « Monsieur Gros Tom, quel plaisir de vous revoir !
— Tout le plaisir est pour moi, ma chère Bertrand ! Et vous, monsieur le Troll, comment vous portez-vous ?
— Un bonheur ! Le saviez-vous, aujourd’hui même, Bertrand a attrapé toute seule une humaine !
— ...Impressionant !
— Merci ! Justement : pourriez-vous prévenir le curé que sa compagne ne rentrera pas ce soir ?
— Comptez sur moi ! »
Mais passons ces politesses d’usage et entrons directement dans le vif du sujet, puisque l’auteur commence à approcher dangereusement la limite de mots imposée : « Dîtes-moi, déclara Gros Tom, je ne peux m’empêcher de constater que vous êtes assurément le meilleur des couples. Je me dois alors de vous proposer : voulez-vous vous marier ? »
Pensant que c’était une merveilleuse idée, les deux acceptèrent. Et comme ce genre d’affaire doit toujours se décider sur un coup de tête, ils se marièrent le lendemain à l’église du village, en compagnie de tous les villageois. À part le fait que le tout le monde présent avait envie soit de s’enfuir soit de trucider le marié, tout se déroula comme dans un rêve.
Pendant que le Troll et Bertrand profitaient de leur lune de miel, tout le village demanda des explications à Gros Tom qui répondit dans un sourire : « Faîtes-moi confiance, j’ai été marié, je suis passé par là. S’il sont encore ensemble dans une semaine, je me rase la barbe. »
Deux semaines plus tard, le Troll et Bertrand étaient toujours en lune de miel (celle-ci pouvant durer des mois dans la tradition trolle), et le village firent part de leurs inquiétudes à Gros Tom. Celui-ci, imberbe, répliqua : « Ne vous inquiétez pas. Plus un couple marié à l’air heureux, plus la séparation n’en sera que plus violente. Je suis passé par là. S’ils sont encore ensemble dans un mois je commence un régime. »
Une mois et des brouettes plus tard, le Troll et Bertrand terminèrent leur lune de miel et visitèrent le village. Ils rencontrèrent Gros Tom, qui était dorénavant maigre comme un clou. « Monsieur Gros Tom ! s’écria Bertrand. Que vous aviez changé !
— Ne vous inquiétez pas, répondit celui-ci. Et vous pouvez m'appeler Tom maintenant.
— Monsieur Tom, nous voudrions vous remerciez de tout notre cœur, dit le Troll en se prosternant. Après tout, c’est grâce à vous que j’ai rencontré Bertrand, et grâce à vous que nous nous sommes mariés. Vous êtes un ami très cher pour nous. Si vous aviez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas ! »
Le soir, une dernière réunion eut lieue. Tous les villageois encerclaient Tom d’un air menaçant, car ils étaient une bande de célibataires désespérément sobres, pour lesquels la vision d’un couple heureux étaient difficile à supporter, sans mentionner le fait qu'un des dulcinés était passablement responsable de leur célibat. Tom soupira et dit d’une voix fatiguée : « J’ai un plan…
— Non !
— Ça suffit maintenant !
— Voilà ce qu’on va faire ! On va les attaquer, la nuit, et les tuer dans leur sommeil !
— Mais vous ne pouvez pas battre un Troll, balbutia Tom.
— Qu’importe ! La victoire ou la mort !
— On va se comporter en héros et assassiner un couple heureux dans son sommeil !
Ils hurlèrent tous en cœur, déterminés. Cependant, prévoyant le plus grand massacre de célibataires de tous les temps, Tom les interrompit : « Laissez-moi cinq minutes ! Si je ne fais pas partir ce couple d’ici ce soir… alors je jure d’arrêter de boire pour le restant de mes jours. »
Et comme c’était une promesse sérieuse, le reste des villageois acceptèrent.
Le lendemain, le Troll et Bertrand avaient disparu.
Les villageois mirent une semaine à se méfier, à imaginer le retour du couple terrible. Mais personne ne revint, et ils se retrouvèrent alors tous ensemble, hurlant de joie, entourant le brave Tom. « Hourra ! Hourra pour Tom !
— Comment as-tu fait ?
— Quelle stratégie diabolique as-tu employé ?
— Et bien, expliqua Tom d’une voix lasse. Je leur ai demandé de s’installer dans le Sud pour moi. J’ai dis que je voulais le meilleur pour eux, et qu'apparamment le climat est plus doux et les paysannes plus faciles à enlever là-bas. Je leur ai souhaité tout le bonheur du monde. Comme je suis un ami très cher pour eux, ils m’ont écouté et…
— Et ?
— Et ils vécurent heureux car ils le méritent bien. Je suppose. »
Effectivement : ils vécurent heureux et eurent plein d'enfants (ne posez pas de questions). Que cette pittoresque histoire vous apprenne cette leçon essentielle : n’essayez pas de cuire des femmes pour en faire des rôtis, car vous pourriez brûler vive votre potentielle âme sœur.
D'ailleurs il n'y en a ni trop ni trop peu. Ça aussi c'est très bien dosé.
Bravo !
Je suis arrivé sur ton texte en voyant un commentaire pointilleux que tu avais posé sur une œuvre que j'avais lue. Je ne suis pas déçu, l'histoire était fluide et plutôt entraînante. J'ai bien aimé le côté comique qui suivait tout le long de la lecture.
J'ai noté deux petites choses :
Et comme la majorité des paysans mâles étaient sans cesse réunis au pub, leurs compagnes se plaignaient à quel point leur mari ne passait que son temps libre à boire avec les copains. => La formulation me semble étrange non ? Leurs compagnes au pluriel n'entraîne-t-il pas automatiquement que maris soit également au pluriel ? En tout cas ça m'a fait sourciller.
Il indiqua polimment à Bertrand que le déjeuner sera bientôt prêt. => Poliment avec un m, et je suis presque sûr qu'il faudrait dire "serait prêt" non ?
C'est tout pour moi en tout cas. L'histoire que je t'ai lu commenter était celle de la sorcière Na. Tes retours étaient bien précis, j'espère qu'ils aideront Alice.
Bon courage.
Mais merci de ton retour ! C'est la première fois qu'un de mes commentaires sur une autre histoires intéressent assez des gens pour qu'ils lisent mes petites bêtises.
Je me suis demandé de quelle histoire tu parlais, mais oui sur Na je me suis bien lâché des fois hehe. J'espère moi aussi qu'ils aideront Alice.
Merci beaucoup d'avoir commenté
PS: EREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN !!!
P.S : La fin de l'histoire m'ayant profondément déçu, je viens seulement de me rendre compte, via ton commentaire, que cette photo d'Eren était encore accrochée à mon profil sur ce site ahah. Mais ça c'est un autre long début.
Bon courage pour tes écrits !
Le début m'a fait terriblement penser à une chanson du donjon de Naheulbeuk : "La bataille de Zoug Amag Zlong".
Tu as vraiment un humour qui me plait. "l’Est et l’Ouest se battaient pour savoir qui était effectivement à droite et qui était à gauche sur la carte (exercice compliqué étant donné qu’on pouvait mettre la carte à l’envers)". C'est absurde ! J'adore !
Enfin bref, je vais pouvoir à nouveau lire ce que tu fais, j'en avais besoin.
Et oui, le Donjon de Naheulbeuk a été une grosse influence, mais aussi la saga du Disque-Monde (que je conseille chaudement comme remède contre toute forme de dépression) et les Marx Brothers.
Aaaaaah, je suis content que tu as aimé cette réplique. Elle était tellement absurde que j'ai failli l'enlever.
J'espère que mes autres récits (moins comiques, pour la plupart...) te plairont !
Mais je connais pas la saga du disque-monde, j'irai voir.
Si tu veux commencer la saga du Disque-monde, je te conseille de ne surtout pas commencer par le premier tome (qui est très moyen) mais plutôt par le quatrième, "Mortimer" (qui est le livre le plus drôle que j'ai jamais lu) !
Si tu cherches d'autres saga mp3, je te conseille Le Poseidome, sur le site d'audiodramax. Alors ce n'est pas une série comique, loin de là, mais c'est une très bonne série quant même. Et puis ça s'écoute tout seul avant de dormir =)
mmmmh c'est vrai que tu soulèves une très belle incohérence là. Comment j'ai pu laisser passer ça...
J'ai bien ri et les dialogues sont super. On voit très bien les situations irréalistes avec un troll très poli et le Gros Tom qui a peur d'apprendre à écrire.
Le problème qui vient casser le rythme et un peu l'humour, c'est la conjugaison et les accords des noms/adjectifs etc... Plusieurs fois ça m'a sorti de l'histoire mais je retiendrai au final les fous rire et les discussions incroyables.
Donc merci beaucoup ! Hyper content que le texte réussit quand même les blagues. Et oui, les fautes d'orthographes... C'est même la raison principale pour laquelle ce texte n'a pas été retenu pour Octobre Imaginaire.
J'attends avec impatience la suite de ton histoire !