Je regarde. Je regarde ces gens se faire face. Je suis différente. Nous sommes différentes. Je marche dans cette rue. Cette rue avec tant de monde. Des personnes, hommes d'affaires qui sortent de leur bureau. Des chefs d'entreprise, des patrons. Tous des hommes !
Pourquoi ? C'est cette question qui encombre mon esprit. Mais, l'encombre-t-il vraiment ? Es-ce normale de se poser cette question ? Suis-je féministe car je me pose cette question ? Sinon comment devient-on féministe ?
Moi je pense qu'on est féministe lorsqu'on est une femme et que l'on est fière de l'être. Je suis une femme ! Je suis fière de l'être.
On sent l'engagement dans tes écrits. On sent aussi l'exaspération de ne voir que des hommes occuper des postes hauts placés dans la hiérarchie et pas assez de femmes. C'est un grand sujet !
Tu écris "lorsque l'on est une femme". Quand je lis la phrase à voix haute, il me semble que la phrase serait plus fluide en écrivant "lorsqu'on est une femme". Sinon tu peux changer la suite par "et que l'on est fière" pour qu'il y ait de la symétrie avant et après la conjonction de coordination.
En effet, mes écrits sont très engagés pour mettre à l'écrit toute mon exaspération. Merci, effectivement, la phrase est plus fluide maintenant.
Vaste sujet s'il en est…
petite remarque: tu as écris dans le pitch souvez-vous au lieu de souvenez-vous, et dans ce chapitre "ces gens se faire fasse" au lieu se faire face.
un plus long résumé et un chapitre plus long serait plus attrayant pour le lecteur pour comprendre ton projet..au plaisir