Une fissure de chant
pour annoncer le printemps,
Une feuille solitaire
élancée dans le vent
Un effort vain
à l'issue du matin
Épiant les heures
pour un zéphyr de fraîcheur,
Égaré dans l'air
qui chassera la chaleur
S'il se présente
la brèche restera,
Et si la brise est absente
Le Soleil en pâtira
C'est ... mh ... très différent de ce que je t'imaginais écrire !
Je ne vois pas trop ou tu veux en venir avec 'le soleil en pâtira' ? Dans quel sens le soleil peut-il patir de quelque chose ?
Sinon j'aime vraiment le rythme. ça me rappelle le début de mon poème préféré "Les djiins" d'Hugo.
Il faudrais ptet que je poste des poêmes que j'ai fais petite, il ressemble un peu à ça, sans la metrique.
J'étais tellement plus poête, enfant >.>
La fenêtre fermée
le soleil ne peut rentrer
déçu à l'entrée