Goûter au Bonheur

Par An.

Éclat de lumière. Élargissement de la membrane

D’où l’interstice temporelle laisse entrevoir

Comme les images rémanentes d’un passé déjà futur.

L’instant insaisissable, plein d’un bonheur qui n’est déjà plus.

L’impalpable beauté du Zéphir duquel les feuilles se meuvent

Performe une Immortalité dont la Simplicité laisse entre-apercevoir le Divin.

Je goûte à l’infini.

Onc lasse d’effleurer l’exaltation des sens,

Je me résigne pourtant à n’en Jamais connaître la constance.

 

Abnégation.

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