GROUH
Avec
Danah
dans le rôle de Louis
Cristal
dans le rôle du Momie
Sej
dans le rôle d’Eddie
Grouh
dans le rôle de Grouh
ACTE 1
SCÈNE 1
(Salle de réunion des Morts-Vivants Anonymes.)
Louis, Le Momie et Grouh sont au buffet.
Entre Eddie. Il tend la main pour se servir un petit four nappé de sang.
GROUH. – (Mordant Eddie.) Grouh.
EDDIE. – (Sautillant sur place.) Il m'a mordu ! Vous avez vu ? Il m’a mordu ! (Baladant son regard sur l'assemblée surprise.) Quoi ? Vous n'avez jamais vu de vampire ? (Retroussant la manche, regardant la trace des dents.) Oh là, c’est… c’est… Je vais tourner de l’oeil.
LOUIS. – (La tête sectionnée sous le coude, se remplissant la bouche d’asticots confits.) C’est ça d’avoir des bras qui ressemblent à des paninis. Les affamés font pas la différence.
LE MOMIE. – C’est juste une égratignure.
EDDIE. – Une égratignure ? Vous vous fichez de moi ? Regardez-moi ça, madame !
LE MOMIE. – Madame ? (Promenant un regard autour de lui.) Il parle à qui, l’égratigné ?
LOUIS. – Ben… à toi.
EDDIE. – Quoi, il y a une crise d'identité sous ces... ces... c'est des bandelettes ?
LE MOMIE. – D’une, ce sont des écharpes. Et de deux, il n’y a pas de madame là-dessous.
EDDIE. – Oui, bah, vous avouerez que ce n’est pas forcément évident.
LE MOMIE. – Je me sens opprimé. Vous voyez une momie, vous pensez une femme.
LOUIS. – Moi je vois une momie, je pense “beurk”.
EDDIE. – C’est ça, c’est ça. (Regardant autour de lui, arrêtant son regard sur le buffet.) Vous auriez du désinfectant ?
LOUIS. – J’ai de la gnôle, pour dépanner.
Louis plonge le bras dans le trou de son col et farfouille.
EDDIE. – Ah, enfin quelque chose de sensé qui sort de votre… bouche. C’est pratique, ça, d’avoir la tête sous le bras ?
Eddie attrape le flacon de gnôle, s’arrose copieusement le bras.
La morsure commence à fumer.
LE MOMIE. – (À part.) Je le disais bien que c’était juste une égratignure.
LOUIS. – (Récupérant sa flasque, donnant le biberon à sa tête.) Ça a ses avantages, pour rouler sous les jupes.
LE MOMIE. – (Tout haut.) Moi, je pose la question : as-tu ta place ici ? C’est rhétorique, hein.
LOUIS. – Comme ça tacle, direct.
EDDIE. – MOI ? Vous osez m’insulter, madame ?
LOUIS. – Poh poh poh ! Y a de l’ambiance !
LE MOMIE. – Tu es qui, au juste ? Ou plutôt, tu es quoi ? Es-tu seulement en partie mort ? Je pose la question, hein. C’est rhétorique.
LOUIS. – Tu poses beaucoup de questions, je trouve. Qu’est-ce que je ficherais aux Morts-Vivants Anonymes si j’étais pas mort, hein ? C’est pas parce que j’ai de la chair sur les os que je suis moins mort que toi, d’abord !
LE MOMIE. – Je ne parlais pas à ta tête. Je parlais à l’égratigné.
LOUIS. – Ah.
EDDIE. – (En secouant le bras.) Ça brûle, ça brûle, ça brûle ! (Se tournant vers le Momie.) Quoi ? Je suis un vampire, moi, madame. Toutes mes parties sont mortes.
LOUIS. – Trop de détails, subitement...
LE MOMIE. – J’émets une théorie. C’est rhétorique, hein. Tu t’es fait mordre exprès par Grouh. Pour t’incruster.
GROUH. – Grouh ?
LE MOMIE. – Grouh plussoie.
LOUIS. – Grouh ? Grouh, est-ce que la momie est relou ?
GROUH. – Grouh.
LE MOMIE. – Grouh négoie. Et c’est UN momie.
LOUIS. – (Roulant des yeux sous son aisselle.) C’est à géométrie variable, le grouisme… Et puis change de disque !
EDDIE. – Vous avez des problèmes, ici. Je suis mort, MORT. C’est quoi que vous ne comprenez pas dans le concept de vampire ? Les cercueils, tout ça. C’est pour les vivants, à votre avis ?
LE MOMIE. – Je vais poser une question. C’est rhétorique, hein. As-tu une sexualité active ?
LOUIS. – Ça a dérapé très vite et très violemment, cette conversation…
LE MOMIE. – Nous reparlerons de ta tête sous les jupes après.
EDDIE. – Plus active que la vôtre. Ça doit être compliqué de tout retrouver sous ces… ces bandelettes.
LOUIS. – Je croyais que TOUTES tes parties étaient mortes, à toi ?
EDDIE. – Ce n’est pas parce qu’elles sont mortes qu’elles ne fonctionnent pas. Merci bien.
LOUIS. – Je pige pas.
LE MOMIE. – J’ai 2 857 ans et tous mes os, merci. Je voulais juste débattre du concept de “mort, pas mort”. Histoire qu’on soit bien d’accord sur qui a sa place ici. Ou pas.
LOUIS. – Ça non plus je pige pas. C’est quoi le rapport avec la sexualité active, la momie ?
LE MOMIE. – LE momie.
LOUIS. – En tout cas, chez moi, c’est plutôt flapi flagada. C’est pour ça que je roule sous les jupes, pour admirer, quoi, ça compense.
EDDIE. – Donc morts ET impotents. Je comprends mieux la frustration.
LOUIS. – Je le vis bien, perso. De toute façon, quand on tient sa tête sous le bras, on fait pas vraiment fureur auprès des dames. Ce qui est bien dommage parce que ça pourrait donner des petits jeux sympas...
LE MOMIE. – Et tu l’as perdue comment, ta tête ? C’est juste une question, hein. Rhétorique.
LOUIS. – Mais elle va nous lâcher avec sa rhétorique ? En plus c’est super indiscret, comme question ! Est-ce que je te demande qui t’a embaumée, moi ?
EDDIE. – (Grattant autour de la morsure.) Dites, c’est normal que ça vire au noir ?
LOUIS. – (Tendant sa tête.) Tu veux que je lèche ? Paraît que la salive fait des miracles sur les bobos.
EDDIE. – Allez plutôt vous lécher le fion !
LOUIS. – Ça va, le prends pas comme ça, j’essaye d’aider là ! T’as qu’à crever pour de bon avec ta morsure de Grouh. La momie a raison, ça te fera une bonne excuse pour te taper l’incruste aux prochaines réunions. Pique-assiette, va.
LE MOMIE. – Moi, je juge le degré de mortalité sur le degré de décomposition. Attendons de voir si ça putréfie. Si oui, alors j’estime que tu as ta place ici. Grouh, qu’en pensez-vous ? Vous êtes le très honorable président de cette réunion des Morts-Vivants Anonymes, après tout.
GROUH. – Grouh.
EDDIE. – Je suis en train de me transformer en cette… cette horreur décomposée. Et vous, tout ce qui vous vient, c’est des blagues à deux ronds ? Ah, elle est belle, la solidarité entre morts-vivants !
LE MOMIE. – Je suis très solidaire. Avec des momies.
EDDIE. – Vous faites de la discrimination, madame.
LOUIS. – C’est celui qui traite le président d’horreur qui la ramène… Moi si j’étais toi, Grouh, je le foutrais dehors, l’autre.
EDDIE. – J’ai ma place ici !
LOUIS. – Ah bah s’il suffit de le dire, alors. Je suis champion du monde de bowling, jonglage et bilboquet ! (Lançant sa tête et la rattrapant.) Voilà, je l’ai dit ! C’est comme ça ! C’est décidé !
EDDIE. – Je suis un vampire de 77 ans, moi, monsieur ! Et je descends d’une fière lignée de vampires. On se mord de père en fils, nous ! Vous avez sûrement entendu parler des Cullen.
LOUIS. – La glauquitude extrême…
Ils se séparent.
ACTE 1
SCÈNE 2
(Salle de réunion des Morts-Vivants Anonymes.)
La prise de parole a commencé. Grouh préside.
Louis, Eddie et Le Momie sont tous les trois assis au fond de la salle.
LE MOMIE. – (Murmurant.) La vraie question, rhétorique hein, c’est : est-ce qu’un vampire mordu par un zombie et un espèce de cavalier sans tête ont la même équivalence de mortalité qu’une momie plusieurs fois millénaire ?
LOUIS. – (Murmurant.) C’est ton seul argument ? La datation au carbone 14 ?
LE MOMIE. – (Murmurant.) Bon, je vais dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Êtes-vous des morts-vivants ou des vivants-morts ?
Ils se taisent.
LOUIS. – J’ai mal à la tête.
EDDIE. – J’ai mal au bras.
UN FIGURANT DÉGUISÉ EN FANTÔME. – Chut.
EDDIE. – (Murmurant.) Oh là, je commence à voir trouble. Il me faut… il me faut… un remontant. Qui a du sang frais ?
LOUIS. – (Murmurant.) Pas moi. Et je prête plus ma gnôle, moi, c’est fini. Ingrat.
EDDIE. – (Murmurant.) Elle était périmée, cette gnôle. Sûrement des mauvaises conditions de conservation.
LOUIS. – (Murmurant.) C’est toi qui es périmé.
EDDIE. – (Murmurant.) Si on en juge à l’odeur, je suis le plus frais ici.
LE MOMIE. – (Murmurant.) Puisque nous parlons de sang. Voilà un critère recevable, selon moi, de mortalitude. Un organisme à sang chaud ou froid EST vivant. Le mien a décoagulé il y a longtemps. Ou alors on me l’a drainé par les narines, je ne sais plus, ça remonte à loin.
LOUIS. – (Murmurant.) Gnagnagna j’ai pas de sang gnagnagna je suis plus morte que les autres… Moi je vais partir, hein, entre les faux morts qui s’invitent pour piller le buffet et ceux qui pètent plus haut que leur coccyx… En plus j’ai garé mon cheval en double-file...
LE MOMIE. – Je suis incapable de flatuler. C’est cruel de dire ça. ET JE SUIS UN MEC, BORDEL.
UN FIGURANT DÉGUISÉ EN GOULE. – Chut.
EDDIE. – (Murmurant.) Qui eut cru que les momies étaient tellement imbues de leur petite personne… Heureusement qu’on n’a pas un melon de cette taille, nous autres vampires.
LOUIS. – Ouais, faudrait pas que t’attrapes la… (Lançant sa tête.) grosse tête ! AHAHAHA !
PLUSIEURS FIGURANTS. – Vous allez la boucler, derrière ?
La tête de Louis survole Eddie puis roule entre les pattes, pieds et tentacules des rangs de devant.
LOUIS. – (De loin.) Vous me taclez vers l’arrière, m’sieur, vous serez gentil ?
La tête de Louis reparaît, le reste de sa personne s’en empare et la pose sur ses genoux.
LE MOMIE. – (Murmurant.) Vous dérangez tout le monde.
LOUIS. – (Murmurant.) Ça va j’essaye de détendre l’atmosphère. Un peu tendue de la bandelette, la momie…
LE MOMIE. – (Murmurant.) Écharpe.
EDDIE. – Grouh.
Il tousse.
ACTE 1
SCÈNE 3
(Salle de réunion des Morts-Vivants Anonymes.)
(Dans les toilettes.)
La prise de parole est terminée.
Louis, Eddie, Le Momie et Grouh se retrouvent tous les quatre alignés devant les pissotières.
LOUIS. – T’as des pustules sur le front, c’est normal ?
EDDIE. – Quoi ? Où ?
LOUIS. – Sur le front.
EDDIE. – (Se précipitant vers un miroir. Grognant devant l’absence de reflet.) Grouh, j’oublie toujours ! Non, non, non. Je ne peux pas me transformer en zombie. Le paternel va me déshériter ! Et puis, comment je présenterai à des soirées mondaines, hein ? “Bonjour, je suis un zompire” ? C’est ridicule !
LOUIS. – Et un vambie ? Ça passerait mieux un vambie ? (À part.) Pfiouu il est long ce pipi, j’aurais peut-être pas dû boire autant de gnôle...
EDDIE. – Occupez-vous de votre décomposition et fichez-moi la paix !
LOUIS. – Chuis pas décomposé, moi.
EDDIE. – Ah non ? Et vous l’appelez comment quand les morceaux se détachent et trainent partout ?
LOUIS. – L’automne.
EDDIE. – Grouh est donc carrément au plus profond de l’hiver là.
GROUH. – Grouh.
LE MOMIE. – J’ai une question... rhétorique, tout ça. Un vampire – en partant du postulat de départ qu’il est mort, même si ce point reste encore à démontrer – mordu par un zombie – aussi honorablement mort qu’un momie puisse l’être –, est-ce que ça… ne s’annule pas, mortellement parlant ?
EDDIE. – Content de voir que ma condition vous amuse, madame.
LOUIS. – Pourquoi le zombie serait plus mort que le vampire ? Il a du sang aussi, pas vrai, Grouh ?
GROUH. – Grouh.
LE MOMIE. – Le degré de putréfaction. J’en ai parlé tout à l’heure, suivez un peu.
LOUIS. – T’es pas putréfiée, toi. T’es sèche. La momification ça empêche la putréfaction, non ? Tu racontes que de la merde en fait.
LE MOMIE. – Je ne peux pas déféquer. C’est cruel de dire ça. (Regardant la pissotière devant lui.) Je ne peux pas uriner non plus, d’ailleurs.
LOUIS. – Drama-queen. T’as pas d’arguments, c’est tout. Moi je dis que t’es pas plus morte que nous. Reste à savoir si le vambie est deux fois plus mort, ou vivant. Mes cours de maths commencent à dater...
EDDIE. – Depuis quand on juge un mort à son degré de putréfaction ? Regardez-vous. Vous n’avez plus que vos os et pourtant, vous n’êtes pas une morte très fréquentable.
LE MOMIE. – Négatif plus négatif égal positif. Je suis un momie égyptien, mon peuple était balaise en maths.
EDDIE. – Donc si on part de ce principe, si notre ami Grouh ici présent vous mord, vous revenez à la vie ?
LOUIS. – Faut croire.
EDDIE. – Moi, je dis, on essaie.
LOUIS. – Et moi, s’il me mord le bras, est-ce que ma tête redevient vivante aussi, ou juste mon corps ?
EDDIE. – Il faudrait que la tête soit posée sur les épaules au moment de la morsure, je pense. Pour qu’elle puisse revenir s’attacher au corps, voyez ?
LOUIS. – Hm. C’est presque tentant. Parce que regarder sous les jupes, c’est marrant un moment, mais bon…
LE MOMIE. – Sinon, on calcule ça en pourcentage.
LOUIS. – Qu’est-ce qu’elle bave avec ses pourcentages…
LE MOMIE. – Je ne peux pas saliver. C’est cruel de dire ça. Et d’accord, je n’ai plus de cordes vocales, mais j’ai une VOIX DE MEC, BORDEL. Non ?
LOUIS. – Pas tellement.
EDDIE. – Absolument pas, madame. (Toussant.) Grouh. (Re-toussant.) En attendant, je n’ai pas bien l’impression de redevenir vivant, moi.
LOUIS. – T’as mal ? Parce que la vie, ça fait mal.
LE MOMIE. – Si j’avais encore mes glandes lacrymales, je verserais une larme. C’est presque beau, ce que tu dis, le décapité.
LOUIS. – (Rotant.) J’ai fait un peu de poésie, dans mes jeunes années.
EDDIE. – J’ai surtout très envie de mordre. Comme d’habitude, remarquez. Mais un peu plus, quand même. Je suis un vampire bien élevé, voyez. Je ne mords pas en dehors des heures de repas.
LOUIS. – Mords Grouh pour te venger. Ça en fera peut-être un vambie. Et vous vivrez une belle histoire d’amour.
EDDIE. – (Se tournant vers Grouh, grimaçant.) Je n’ai pas faim à ce point.
LOUIS. – Alors arrête de te plaindre.
EDDIE. – Je me plains si je veux ! Je suis la victime ! Grouh.
LOUIS. – Je rêve ou tu commences à grouer toi aussi ? Répète après moi : les chaussettes de l’archiduchesse...
EDDIE. – Les grouchettes de l’argrouduchesse…
LOUIS. – (Remontant précipitamment sa braguette.) Oh putain, ça y est, il se grouise complètement…
LE MOMIE. – Il devient presque intéressant.
EDDIE. – Grouh !
Il se rapproche de Louis, dénude les canines.
LOUIS. – Casse-toi ! Je veux pas être un cavalier vambie, moi, je veux juste ressusciter !
LE MOMIE. – J’ai une question, rhétorique, là : un cavalier sans tête mordu par un vampire mordu par un zombie, doit-on considérer qu’il est mort ou viv...
LOUIS. – TA GUEULE !
EDDIE. – Grouh !
GROUH. – Grouh !
LOUIS. – (Reculant, lâchant sa tête, trébuchant dessus dans la panique.) Ah putain !
EDDIE. – (Se tournant vers le Momie, plantant les dents dans ce qui ressemble à un bras.) Grouh !
LE MOMIE. – Si j’avais encore un système nerveux, je dirais : “aïe”. Grouh, en tant que président des réunions de Morts-Vivants Anonymes et concepteur de la notion de zompire/vambie, faites quelque chose.
GROUH. – Grouh.
EDDIE. – (Tournant autour de Louis.) Grouh, grouh, grouh !
LOUIS. – Bon, tant pis, sauve que peut (Évacuant sa tête d’un habile coup de pied). Vous n’aurez pas ma liberté de penser !
EDDIE. – (Interceptant la tête, enfonçant un doigt dans l’œil.) Grouh.
LOUIS. – NON ! Bas les pattes ! Pas le nez ! PAS LE NEZ !
LE MOMIE. – J’ai une question rhétorique : un momie mordu par la tête d’un cavalier sans tête mordu par un vampire mordu par un zombie, ça me rendrait vivant ? Parce que de vous à moi, je crois qu’en fait, ça me manque un peu.
Grouh et Eddie échangent un regard et se jettent sur le Momie et Louis.
La situation entre Grouh le zombie, le vampire un peu fils à papa, le décapité grossier et la momie très distinguée est vraiment géniale !
Et la petite réf à Florent Pagny à la fin est vraiment hilarante ! Vraiment bravo !
et ce débat ^^ oh la la! j'ai ri !
merci pour cette histoire !
En très peu de temps, on comprend qui sont les personnages et leurs principaux traits de caractère, ce que je trouve incroyable !
Encore bravo pour cette histoire plus que comique... Mortelle !
On découvre des personnages insupportablement attachants, même le momie, avec ses questions rhétoriques....
Pendant la lecture, je me suis imaginée la mise en scène de cette pièce, avec des lumières bleutées et sombres...
En tout cas, je trouve ça très bien écrit. La situation est amusante.
Mais il soulève un débat intéressant : Un vambie/zompire, c'est mort, vivant, mort-vivant ou vivant-mort ? Ou bien quelque chose d'autre ?
En tout cas j'ai adoré, et l'imaginer sur scène était très simple.
Bravo
(Quand j'ai expliqué le pitch à ma pauvre maman, elle a été un peu surprise. Juste un peu, hein.)
Je n'ai pas trop compris sur quoi était basé ce texte, mais les personnages sont très attachants. Surtout Grouh X) qui a un peu semé la pagaille parmi les autres.
Est-ce que le texte a déjà été mis en scène ?
Sinon bravo, parce que l'ensemble est drôle, représentatif et bien recherché !
Est-ce que le texte a déjà été mis en scène ? Bravo !
J'ai rien compris, mais c'était drôle et on sent que vous vous êtes bien amusées à écrire ça XD!
J'étais dans l'avion quand j'ai lu ça, j'ai tellement ri que mes amis ont exigé de la lire aussi, si bien qu'on s'est retrouvé à rigoler comme trois débiles sous les regards médusés des autres passagers.
Bon, ça fait pas vraiment peur, mais qu'est-ce que c'est drôle ! Vous êtes géniales les filles !!
Des répliques aux indications scéniques, tout est parfait.
Un coup de coeur particulier pour le Momie, bien lourd jusqu'au bout.
Merci pour ce texte et le fendage de poire qui va avec.
J'espère que Grouh va rejoindre la ligue des figures emblématiques de PA avec Didier le Dentier ♥
Non mais... c'était génial xD
Je me demande aussi comment vous vous êtes organisée ! Est-ce irmprovisé ? Vous êtes vous réunies pour écrire en direct-live ? Le résultat rend merveilleusement bien... C'est glauque et drôle à souhait ! Bravo !
Grouh sur vous et sur vos Plumes ! :3
J'ai vraiment adoré l'enchainement des répliques et toutes les petites références. Tous ces petits personnages sont à la fois attachant et pittoresque, ça envoie du lourd !
Grouh !
C'est bizarre, mais poilant. Je ne veux même pas savoir comment une idée pareille vous est venue ^^
Merci pour la rigolade !
Grouh sur vous !
Mily
Je me demande comment vous avez écrit à trois... En vous renvoyant réplique après réplique, dans un genre de cadavre exquis ?
En tout cas, un grand merci ! Vous avez entamé les réponses aux concours avec brio !
Liné
J'ai tellement rigolé dès les premières phrases j'ai su que j'allais perdre des neurones...
Nan pis les Cullen... VOUS AVEZ PAS LE DROIT GHA je vous aime xDDD (ouais j'ai une logique merveilleuse!)
Super moment de lecture <3
Cha :3