Le brouillard envahit les plaines et les prés,
Tout devient obscur, tout est sombre.
Seule une lueur peut être perçue au loin
Lumière mortelle damnée…
Tu répands toutes tes obscurités, brouillard,
Malgré l’espérance de nuit,
Tu retires la vue au pauvre qui veut voir,
Les richesses de la nature.
Toi, tu nous fais entrer dans ton plus grand mystère,
Éclairée par les réverbères,
Je ne saurais par où sortir, ô toi l’énigme,
Rendant tout gris sous la lune blanche d’albâtre…
Désolée, je commence à parler comme une philosophe ahah...
Bon, poème génial.
J'ignore si c'est au niveau des sonorités ou si c'est ma simple perception, mais le mot "réverbères" me parait se distinguer des autres. Il semble nous happer de l'atmosphère onirique installée par le mystère, l'énigme et la lune. En tout cas, c'était mon interprétation :)
Merci pour ce commentaire qui fait plaisir! :) j'adore l'interprétation personnelle haha
pour la rime, j'ai envie de te dire oui...et non. j'avais pas prévu sur le coup, mais après coup ça faisait une image poétique un peu plus stylée qu'avant
merci encore! :D