Petit à petit,
Les cernes s’effacent.
Pas à pas,
Tu t’approches d’une belle vie.
T’as bien fait de fuir.
C’était un connard,
Il s’appelle s’appelait Papa,
Mais je ne sais plus que le haïr.
Mais aujourd’hui, tu rayonnes !
Des fois, j’ai même envie de croire qu’il t’a rendue folle !
C’est si beau la folie…
Ces deux derniers jours seront mes plus beaux souvenirs…
Instants sans lui, Instants de Liberté !
06/02/2023
Commentaire très court mais il fallait que je le dise. Des expériences personnelles peuvent avoir une résonnance différente chez les lecteurs. Par exemple mon père avec qui je m'entendais bien est décédé, cette phrase peut être lue en ce sens aussi. Mais comparer le deuil au sentiment d'avoir perdu son père dans le divorce m'éclaire un peu sur le déchirement que doit être cette situation que je n'ai pas vécue. C'est bien pour ça, la poésie !
Je me demande si tu as déjà un peu de recul par rapport à ce que tu as écrit en février. Est-ce que tu relis tes poèmes au fur et à mesure que tu les postes ?