Ils vécurent enfants et firent beaucoup d’heureux

J’aimerais parler de ces amours

Qui de leurs désirs mutins

Ont vu venir le jour

Où ils ne se tenaient plus la main.

 

Car à présent et pour toujours 

Ne se lèvera plus un matin

Sans que leurs âmes s’entourent

Et qu’à deux ils ne fassent qu’un.

 

Aux horreurs ils furent sourds

Et heureux des chagrins

Quand de leur vie, le parcours 

Leur montra le chemin.

 

Car la vie n’est qu’amour

Le temps devenu vain

Quand leurs cœurs troubadour 

Égayent leur quotidien.

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