C’est pas la peine qu’on se mente
Dés que tu pointes les mots me manquent
Ce sont les doigts qui commandent
Et la chair se dresse et l’orage gronde
Cette planète succombe
Caressons-nous jusqu'à la tombe
Que le soleil annule l'étoffe
Et qu’il offre tes fesses avant la catastrophe
La fin du monde est limite rough
J’ai faim je frôle tes limites roses
Regarde-moi qui m’effondre
Les genoux à terre devant tes lèvres rondes
Les seuls maux qui me tentent
Sont les vertiges que tu me chantes
Balance-moi tes dossiers
Où les filles sont par les corps aimantées
Deux mains se partagent l'amande
Et les soupirs en redemandent
Que tout se gèle ou se mette à cramer
Je crois qu'il est grand temps de s'apprivoiser (ad lib)
J'ai pas lu en écoutant le son proposé mais ce qui est certain c'est que tu as asu donné un rythme à ce texte !
Dans ma tête j'avais une musique qui 'est imposé, me donnant le ton pour la lecture
C' était très chouette comme moment, merci !
Ravi d'avoir pu partager un peu de ce plaisir bissextile qui me tombe dessus tous les 4 ans !
(tiens, ça me donne une idée pour le concours... Chuut ! :-)
Pour mon son, il manque un peu de ce violon qui ne t'a jamais tenté ;-)
Par contre, si y'a moyen d'entendre la musique de dedans ta tête, je prends !
Grand merci à toi