La nuit,
Où plus rien ne frémit,
Est un voile de noirceur,
Qui englobe en douceur,
La Terre nourricière,
Et tous nos êtres chers.
Plus rien ne bouge,
Aucun éclat rouge
Seul le vent,
En bon habitant,
Sillonne les carrefours,
En jouant au troubadour.
Une nuit profonde,
Où les rêves inondent,
Le cœur des enfants,
Dans leurs lits s'endormant.
La nuit,
Est une source de folie.
Moi aussi j'aime la nuit, donc pour le coup voir un poème qui en parle me tente beaucoup.
Très jolie poème, fluide, bon rythme, des rimes suivies.
Belle plume.
Je ne connais pas beaucoup de gens qui n'aime pas la nuit (sauf si on a peur du noir), mais étant donné qu'on est dans une communauté d'auteur-e-s, on apprécie beaucoup les idées qui nous viennes à son apparition.
Je suis contente que ce poème te plaise !
C'est vrai que le rythme est important, et tant mieux s'il est là !
me suis sentie obligée de laisser un petit retour sur ce poème dont le titre incarne un élément de pure fascination chez moi. Merci de ce doux partage. Quelques petites choses que j'aime : sa fluidité, d'abord, et quelques belles images comme celle du vent sillonnant les carrefours, et les coeurs des enfants inondés de rêves. Continuez !
Je suis ravie que ce poème te plaise.
Il est vrai quand plus d'être fascinante, la nuit est une grande source d'inspiration.
Je compte bien continuer ainsi, et m'améliorer !