A pattes de velours
Lorsque tu te montres
les yeux dans les yeux
Tu me regardes
D’un petit miaulement
Tu obtiens ce que tu veux
La nourriture et les caresses
Tes plaisirs quotidiens
Lorsque tu dors
Et que tu ronronnes
La douce vibration m’apaise
Lorsque le doute m’habite
Des tes grands yeux
Dans l’ombre, tu veilles
Que comprends tu
De ce monde si monotone ?