Sur les bords du Tigre
Et un peu de l'euphrate, il faut le préciser,
Vivait un chat dodu comme tout et fan de poésie.
Bougeant, se mouvant, cabriolant, dansant, nageant, ah non il ne nage pas, volant, il ne le fait pas non plus, bref, vagabondant, il admirait les anciennes civilisations dont il ne restait plus que des tas de cendres haut comme des glaçons.
Et ce chat savant, qui avait lu platon, spinoza et aussi socrate, bien que son auteur préféré reste diogène, se dit à lui même, mais aussi à ses disciples, car il avait des disciples, les propos qui suivront : " j'ai une de ces envies de manger un cassoulet "
Ainsi la perse antique, par ces mots bouleversés, ne se releva plus, et face à Alexandre lui même trépassa.
J'ai décidé de commencer par la fin, j'ai ensuite lu l'avant-dernier mais j'ai moins aimé, celui-ci est bien plus drôle.
"et face à Alexandre lui même trépassa" : soit je n'ai pas compris, soit il manque un mot...