Le sable mourant zigzague en vagues,
La chaleur défait toute volonté,
Mirage d'oasis verdoyant,
Que le soleil acide brûle sans hésiter.
Espoir de déserter cet espace sans horizon,
Esprit enlisé dans ces sables mouvants,
Se laisser engloutir par l'infini jaunâtre,
Disparaître évaporée.
J'aime beaucoup l'ambiance de ce poème-ci. Entre statisme et mouvance, aussi mortelles l'une que l'autre.
Je suis contente que l'ambiance t'ait parlé :)