Le mal que l’on se fait
À l’état de brute
Quand les poids du regret
En alourdissent la chute
Les mots que l’on dit
Que l’on brûle
Comme un feu maudit
Un sombre préambule
Et la douleur que l’on ressent
En une myriade d’épines
Qui nous ronge le sang
Nous fait courber l’échine
C’est là que l’on regrette
Les larmes en pluie de remords
Quand le chagrin vous guette
Lentement vous fait du tort
Lentement vous fait du tort" Alors oki quand le chagrin nous guette, lentement et... je sais pas :/ forcément je vois plus le chagrin comme une libération qu'un tort... que voulais-tu dire ? :D