Le mal que l'on se fait

Le mal que l’on se fait

À l’état de brute

Quand les poids du regret

En alourdissent la chute

 

 Les mots que l’on dit

Que l’on brûle

Comme un feu maudit

Un sombre préambule

 

Et la douleur que l’on ressent

En une myriade d’épines

Qui nous ronge le sang

Nous fait courber l’échine

 

C’est là que l’on regrette

Les larmes en pluie de remords

Quand le chagrin vous guette

Lentement vous fait du tort

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Maritza
Posté le 11/05/2021
J'aime beaucoup le début, ça me parle, que ce soit le brut, la douleur, le feu intérieur que l'on ressent. Après, je ne suis pas sûre d'avoir compris la fin xD ! "Quand le chagrin vous guette
Lentement vous fait du tort" Alors oki quand le chagrin nous guette, lentement et... je sais pas :/ forcément je vois plus le chagrin comme une libération qu'un tort... que voulais-tu dire ? :D
cnslancelot5930
Posté le 11/05/2021
C'est plus quand on se laisse submerger par ce chagrin au lieu de le voir comme un élément libérateur.
Maritza
Posté le 12/05/2021
Oki !
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