Les feuilles pleurent, la rivière crie, combien de mots n'auraient pas pu trouver ton corps, ces mots dans lesquels je peux voler, comme avec le senteur de tes lèvres cramoisies que je mords et vole où nous nous embrassons au rythme du tango, tes lèvres épousant les miennes dans une prose sans fin, mes lèvres cherchent l'horizon dans le lobe de ton oreille dans laquelle je récite un vers de Neruda,
Ensuite et seulement ensuite, je descends le long de ton cou en percevant l'odeur inimitable de ton parfum, qui se mêle subtilement aux sons unis de notre respiration,
Cela nous permet de nous connecter les uns aux autres
En cet instant où l'élixir de notre passion aiguë s'unit, là nous volerons de façon infinie, mes lèvres oscillent entre ton cou et ta poitrine où avec elles je perçois la palpitation de ton cœur, laisse-moi ne faire qu'un avec toi, synchronise ton amour avec le mien, car il n'y a pas d'amour plus réel que celui de mes fantasmes,
Mes lèvres s'arrêtent, pour me perdre à nouveau dans ton regard, mes lèvres courent le long de ton corps.
Mes lèvres se rencontrent dans cette petite fenêtre intrépide où les passions asservissent nos corps, et là naît la flamme d'un amour irrépressible, car, à ce moment-là, nos âmes communiquent, mes lèvres ne peuvent s'empêcher d'embrasser chaque centimètre de ton corps avec ce parfum qui se mélange finement à l'arôme de ta peau et de ta voix.
Quand tes yeux, ton coeur et ton souffle crient mon nom dont je deviens l'esclave à cause de ce grand désir de me perdre dans la mer d'amour de ta vie avec la mienne et là mon amour perdu renaît...