Dans le ciel raisin pleut le vin qui innonde mes pensées,
Je viens te chercher et dans le silence de mes maux,
Et ne dis mot.
J'imagine que le manque passera avec le temps,
Léo et la mer m'inspirent de longs voyages poétiques,
Et la palette de mes sentiments
Innondent ma colonne vertébrale courbée et féérique.
Les coquillages de mon enfances me sifflent l'air mélancolique et doux est le goût
Des abricots telle la couleur de ma peau salée.
Je plonge et me laisse transporter par le courant de mon inconscient,
Et toi tel un mendiant, tu fais la quête,
Quand je tête ma cigarette.
La fumée est aquarium qui ne ment,
Et lentement, je marche vers mon destin
au trait de fusain.