Ce n’est pas encore d’actualité,
Serons-nous ensemble un jour ?
Je t’aime tellement mon amour,
Nous serons liés jusqu’au séjour,
Pour l’instant, faisons preuve d’humilité.
Je t’ai donné mon cœur ce dimanche,
Je t’ai vu, le soleil débutait son voyage,
Tu étais tellement jolie sous ces nuages,
Tes yeux, tes cheveux sous le feuillage,
Je suis tombé amoureux dès la première manche ;
Oui, je suis atrocement fou de toi,
C’est douloureux, ça me fait mal,
J’ai les yeux crevés, donc tu ne peux plus me voir.
Or, on se revoit et tu me fais ce clin d’œil,
J’écoute ta voix enchanteresse et je souris,
On est tellement accordé quand on rit,
Quand on se regard, on sait qu’on a mûrit,
Mais, on ne peut s’empêcher de se jeter un coup d’œil.
Il est tard dans la nuit quand j’écris,
Environs deux heures sur mon téléphone,
Je pense tellement que ça me chiffonne,
Toi et moi, nous sommes des homophones,
Nous sommes les mêmes, car nous savons taire nos cris.
Je suis un simple bipède nomade,
J’ai peur de tout, j’ai peur du noir,
Mais, ce soir, grâce à toi, je ne suis plus malade ;
Je suis heureux parce que je le sais,
Ôoui ! J’en suis enfin convaincu,
J’ai reçu la nouvelle de sources fraiches,
Tu ressens quelque chose de ce qu’on a vécu ;
Je l’ai tant espéré que je l’ai chanté,
Avec ma vieille voix rauque dans tout le comté,
On s’est aimé et on a été détesté,
On est passé par toutes les étapes qu’ils ont fomentées,
Connais-tu l’histoire d’un amour d’été de joie ?
Une alliance qui n’a duré que le temps d’une gloire ?
C’est la nôtre, celle de nos sentiments réciproques,
Celle de nos vies qui étaient destiné à être liées pour une époque ;
Manifestations, gesticulations, le bonheur c’est toi, le bonheur c’est moi,
Je t’aime de toutes mes émotions en exagération, tu peux partir, laisse-moi.
20 Avril 2024