Mes main calcinent à la fraîcheur du matin
Tandis que les Oliviers me saluent en pensée.
Comme un guerrier victorieux, je retrouve ma terre;
Les pieds fourmillants et le ventre
Creux, je me repose enfin.
Mes main calcinent à la fraîcheur du matin
Tandis que les Oliviers me saluent en pensée.
Comme un guerrier victorieux, je retrouve ma terre;
Les pieds fourmillants et le ventre
Creux, je me repose enfin.