La liberté est un trésor,
Qu’il faut à tout prix préserver,
Valant plus que des lingots d’or,
Ils viendront pour te la voler.
C’est aussi une discipline,
Car il est aisé de céder,
Aux mots charmants et aux comptines,
Des voix qui voudront te dompter.
Elle est autant faite pour nous,
Que pour les oiseaux et leurs plumes,
Qui ne seront jamais jaloux,
De l’encre noire de ma plume.
Elle est dans l’art et la beauté,
Dans les têtes qui la chérissent,
Dans tout ce qui est partagé,
Entre le ciel et les abysses.
J'ai beaucoup aimé le sujet dont tu parles, c'est facile à lire, je n'ai aucunes remarques négatives à te faire.
Je vais continuer à te lire !
Désolé, je réponds un peu tardivement!
Je suis ravi que ce poème te plaise, et e souhaite une bonne lecture du reste!
Très joli texte à la fois simple et recherché. Les images sont limpides, la musique douce et entraînante ; la dernière strophe, avec la répétition du mot "dans" me fait penser au célèbre poème d'Eluard ;-)
Bravo !
Désolé de répondre tardivement!
Je suis ravi que ce poème te plaise! Je l'aime beaucoup aussi, et j'ai évidemment pensé au merveilleux poème d'Eluard en l'écrivant. La liberté est un des sujets du roman dont fait partie le recueil, je devais donc y consacrer un poème...
Merci d'être passé par là, et d'avoir mis un commentaire!
Claire, simple et nette. Ce petit côté simpliste est sans doute ce qui séduit le plus.
Tiré des poèmes d'une œuvre pour en faire un recueil est vraiment une bonne idée;
Ce premier poème donne vraiment envie.
Bon courage pour la suite.
Merci d'être passé par là et d'avoir laissé un avis! J'espère que les autres te plairont aussi!
J'ai hâte de lire d'autres de tes poème .
d’être un savant pour les comprendre et pour les aimer... au contraire... Les savants ne les comprennent pas et, la plupart du temps, ils les méprisent, parce qu’ils ont trop d’orgueil... Pour aimer les vers, il suffit d’avoir une âme… une petite âme toute nue, comme une fleur… Les poètes parlent aux âmes des simples, des tristes, des malades... Et c’est en cela qu’ils sont éternels… Sais-tu bien que, lorsqu’on a de la sensibilité, on est toujours un peu poète ?"
C'est un extrait du Journal d'une femme de chambre, écrit pas Octave Mirbeau que je viens de lire (par hasard) sur un sujet de bac (en spécialité humanité, littérature et philosophie). Et je pense donc qu'on peut vous remercier pour votre sensibilité qui transparaît dans ces images solaires, stellaires et nuageuses
Vous pouvez pas savoir à quel point ça réchauffe le cœur d'un auteur de lire ce genre de commentaire!
Merci beaucoup et à bientôt!