Tu regardais mes lèvres, tel que mon trouble était agréable
Et que tes yeux bordés de cils noirs rendaient mon coeur coupable
Pour une fois depuis ces mois tachés par une peur constante,
J'avais trouvé en toi une tendresse confiante,
Et je savais que tes pensées n'étaient pas à mon corps
Car ton respect envers les êtres est bel et bien plus fort
Que ces désirs qui sont pour toi des péchés,
Et auxquels jusqu'ici tu n'as encore touché.
Et dans l'élan de tes paroles, tu me rendais confuse
Moi qui croyais alors que tu usais de ruses
Pour interroger mon langage corporel,
Et savoir ainsi mon attachement réel,
Alors qu'en réalité,
Tu ne voulais de moi qu'une amitié sincère.
Fy