ce n’est pas possible.
ce monde
n’est pas le mien.
il paraît beau
avec ses couleurs,
ses hommes,
ses femmes,
ses enfants,
tous plein de vie.
avec ses inventions,
ses avancées technologiques
qui sans s’en rendre compte
détruisent l’humain
qui est en nous.
je ne veux pas vivre
dans un monde pareil
où la douleur est quotidienne,
où les sourires ne sont qu’artifices,
où la différence est un crime,
où l’oppression est une nécessité.
ce monde
aurait pu
être beau.
si seulement
il n’avait pas été
corrompu
par la malsanité humaine,
par sa tentation pour le mal
et son talent pour fuir le bonheur.
dis
si on partait
loin
là où on ne nous retrouverait pas
la où la liberté serait reine,
là où le désir est roi
et nos choix des princes.
et si on s'en allait ?
je suis heureuse qu’il t’ait fait voyager et te donne envie de partir parce que c’est tout le but de ce texte.
c’est moi qui te remercie pour ce commentaire.
au plaisir :)
je suis heureuse qu’il t’ait fait voyager et te donne envie de partir parce que c’est tout le but de ce texte.
c’est moi qui te remercie pour ce commentaire.
au plaisir :)
Il y a une douleur évidente dans vos écrits, une douleur qui évoque bien évidemment le monde actuel. C'est beau et triste à la fois.... Bonne continuation.
merci pour le com, ça me fait très plaisir et je suis contente que tu aies senti la sensibilité dans mon texte.
Au plaisir :)
au plaisir de vous revoir
Merci pour ce texte et pour ce partage.
merci pour ce commentaire d’analyse, je suis heureuse de voir que ce style te plait et que finalement mes propos aussi t’atteignent :)
j’espère que d’autres texte te plairont :)
je l'avoue, je suis toujours heureuse de voir que je ne suis pas la seule et que d'autres se sentent comme moi, c'est pour ça que j'écris ces textes :)
je te remercie du commentaire qui me touche beaucoup.
à bientôt je l'espère...
Jpense que tu touches une corde sensible chez tout le monde en parlant d'un monde auquel on n'a pas l'impression d'appartenir, ou en tout cas duquel on voudrait s'échapper.
Donc tu pouvais pas faire meilleure entrée en matière selon mon humble avis ^^ !
Merci pour ton commentaire il me fait très plaisir !
J'apprécie notamment les derniers vers mais aussi le rythme que tu inssufles à tes mots qui propulse la vérité de notre monde sur le devant de la scène, Merci beaucoup pour ce texte :)
Je te remercie pour ce doux message, j'en suis ravie.
Espérons que d'autres de mes textes te plairont :)
Merci pour ce commentaire qui me fait très plaisir !
J'avoue que je voulais produire quelque chose de nouveau et qui sort un peu des normes, je suis contente que ça te plaise.
J'espère que la suite te plaira alors peut-être à bientôt :)
Premièrement, je salue ton idée. C'est un poème original qui se lie très bien et on sent que tu connais les figures de style. J'ai repéré de nombreux enjambements.
J'aimerais toutefois te faire quelques reproches / critiques:
1. Il y a quelques fautes qui ralentissent la lecture
- retrouverai[t]
- « la douleur est quotidien » -> je comprends mais ça me semble tellement naturel de dire « quotidienne » que tu pourrais presque remplacer et on ne serait pas tenté de croire que c'est une faute.
- viens [ , ] on s'en va ? -> Et si on s'en allait ?
2. Le début de ton texte contient des vers très courts. Ça fait, je trouve, un contraste étrange avec la suite qui contient des verbes beaucoup plus lourds (dans le sens où tu mets presque des phrases complètes). Pourquoi ne pas choisir de faire un poème un peu plus long mais avec toujours des vers aussi courts, de sorte de préserver l'harmonie de l'ensemble? Personnellement, je reformulerais ces deux là ou je les couperais : « ce monde aurait pu être beau. », « si seulement il n’avait pas été corrompu. »
Attention, encore une petite répétition : « là où la où la liberté est reine ». Un « là où » en trop. À la place de « est », je mettrais « serais ». Le conditionnel a des vertus plus poétiques que le présent.
J'admire ton anaphore:
« je ne veux pas vivre
dans un monde pareil
où la douleur est quotidien,
où les sourires ne sont qu’artifices,
où la différence est un crime,
où l’oppression est une nécessité. »
C'est très réussi et probablement la partie la plus convaincante de ton poème.
Tu pourrais presque retirer les articles pour donner plus de poids aux substantifs que tu emploies et suivre le modèle de « la douleur est quotidien » : « les sourires sont artifices, la différence est crime, l'oppression est nécessité ».
Voilà, après ce « bref » commentaire, je te glisse juste un petit « Bravo! » et je m'éclipse. Bon courage pour la suite,
Phil.
Un long commentaire qui me fait plaisir et dont je prends de précieuses notes, merci pour cela.
J'aimerai cependant clarifier un point pour éviter une future déception par rapport aux prochains poèmes, je ne m'y connais pas le moins du monde en ce qui concerne les figures de style... J'écris simplement ce qui me passe par la tête, bien sûr en les retravaillant mais pas dans un but stylistique.
Je vais suivre quelques-uns de tes conseils qui sont, à mon goût, très pertinents.
Concernant ton point 2 je n'avais pas remarqué le déséquilibre alors je te remercie de l'avoir vu à ma place, je m'occupe d'en changer.
A propos de l'anaphore, c'est mon passage préféré et je suis heureuse qu'il t'ait aussi plu tout comme le poème en général.
J'espère à nouveau lire un de tes commentaires, en espérant que les prochains te plairont.
"Luu".
Phil. :)