Ma tête

Ici dans ma tête le chaos règne. Tous est plat et sans goût ni saveur, fade comme le riz trop cuit et sans assaisonnements. Dans ma tête, il y a des souvenirs. Les derniers mois de mon père et de ma mère ensemble où les cris règnent et le mois des sacs poubelle devant la porte pèsent sur mon dos.

Le jour de mon déménagement, les cartons dans la voiture, un chien, un chat. Je me souviens visiter des maisons. Je les vois déformées sombre ou le désespoir me suit et me suivras jusqu'a ce que le jugemant dérnier sonne. Je me souviens emmenagée dans une maison, je me souviens être contente car j'avais une chambre.

Désespoir ne me suis plus. Aujourd'hui je me dis que j'ai bien était idiote de pensée ça. Je me souviens de mon premiers jour en primaire dans ma nouvelle école primaire, des moqueries qui m'ont était jétée, des insultes, des pleurs. Qui encore aujourd'hui résonne dans ma tête et ne font que jongler.

Je revois mon père vendre la maison. Vendre la maison où j'ai grandie. Je me rapelle du premiers jour ou je suis revenue chez mon pére je l'ai vue continue et ne pas s'arreté devant notre maison et allez vers un appartement. Il ne nous avez même pas prevenue moi et ma soeur. Je me souviens le détésté pour cette simple raison.

Je me souviens rentrée au collége. Je croyer encore que tout ce passerais bien, jusqu'à ce que ma soeur péte un plombs. Je me souviens des cris, des pleurs, des coups, des urgences qui sont venue devant notre maison. Je me souviens de ce jour où je me suis dit que je ne verrais plus ma soeur de la même façon

Cinquième, début d'année le chaos mon grand-père paternelle qui meure, les cris, la moyenne qui descent finir l'année avec 10 de moyenne.

Le chaos toujours le chaos ne plus respirer tellement cette haine m'étouffe et me mange de l'interieur. Désespoir se régale, se délecte de moi juqu'a ne plus rien laissé. Elle me gettent et attends pour surgir de l'ombre pour m'anéantir encore plus juqu'a ce qu'il ne reste plus rien de moi. 

Dans ma tête tous se bouscule et se cogne mes pensées surgisse de l'ombre pour sortir sur un papier ou je note mes idées, les livres et les films mes seuls consoleurs. 

Je vous laisse entrer dans ma tête et me visiter faite ce que vous voulez, de toute façon je n'ai plus rien à perdre.