Je n'avais jamais autant contemplé les heures fraîches des nuits d'été.
Sur le balcon, la ville calme, seule ta respiration pressée contre mon sein.
Un oiseau chante la première lueur du jour.
Mes yeux sont plein de sommeil, toi tu bailles et te rendors enfin.
Minuscule soupir
Je pense que le parallèle avec la haïku est facilement faisable dans la capture de l'instant que j'essaie de faire à travers ce genre de poème.
J'aime aussi beaucoup l'image d'illustration, c'est de toi ?