A ceux qui condamne le poète et ses semblable parce qu’ils parlent crument,
Quand s’effacera le poids des ans, il est à l’histoire qui se gausse évident,
Que les gesticulations et les tressautements des bonnes mœurs de ceux d’on la morale est bien haute dans le séant,
Se seront tut face à ce que la lettre touche dans le coeur des gens.
Et ce que la fange grouillante recouvre toujours finalement,
Ne saura jalouser sa soeur verbeuse en se qu’elle possédait en vers
Si tant est que s’y repose ensemble les illustres et les moins que rien
Même si les poèmes ne parviendront jamais à leurs fins, aussi longtemps que les forts se serreront le derrière.