Ô ma joie divine, comment puis-je trouver ton trésor éternel ?
Ô ma joie divine, suis-je passé à côté de toi sans te voir ?
Ô ma joie divine, je t’ai cherché dans une belle maison, que j’ai acquise par la sueur de mon front. J’ai trouvé que l’illusion qui usurpe ma joie divine pour m’emmener vers la désillusion.
Ô ma joie divine, je t’ai cherché dans une famille que j’ai fondée. Là encore, j’ai trouvé que l’illusion qui usurpe ma joie divine pour m’emmener vers la désillusion.
Ô ma joie divine, pourquoi n’ai-je toujours pas trouvé ton trésor éternel ?
Ô ma joie divine, est-ce que la société m’aurait-elle menti ? Où je pouvais trouver ton trésor tant convoiter ?
Ô ma joie divine, je n’ai jamais baissé les bras pour trouver ton trésor éternel. Même si quelques fois, je me suis posé la question : « Est-ce-que ne serais-tu pas non plus une illusion ?
Ô ma joie divine, je t’ai cherché dans le matériel que la société convoite tant, ainsi que briller dans le regard de la société jusqu’au pouvoir sûr autrui. Là encore, j’ai trouvé que l’illusion qui usurpe ma joie divine pour m’emmener vers la désillusion.
Ô ma joie divine, dans le désespoir, j’ai glissé dans l’obscurité de mon être, et je n’ai trouvé que de la tristesse, de la jalousie, de la peur jusqu’à la vengeance.
Ô ma joie divine, pourrais-tu me faire un signe ? Un signe qui pourrait m’aider à trouver ton trésor éternel.
Ô ma joie divine, lorsque j’étais dans la noirceur de mon être ; j’ai vu au loin une petite lueur blanche. J’ai décidé d’affronter cette noirceur de mon être ; pour que je puisse m’approcher de cette lueur blanche.
Ô ma joie divine, plus j’avançais vers cette lueur blanche, plus elle devenait grande ; plus je souriais, plus j’étais libre et plus, je me régénérais.
Ô ma joie divine, lorsque cette lueur blanche a illuminé tout mon être ; j’ai compris, que j’ai trouvé ton trésor éternel.
Ô ma joie divine, je t’en remercie pour ce magnifique trésor éternel.