Prisonnier de mon corps, lequel se désagrège.
Enfermé par le sort, dans ce que rien n'allège.
Une cage obscure, sans portes ni fenêtres.
Rongera ma figure, ce jusqu'à ne plus être.
Si tant est qu'il me reste, un espoir de survivre.
Dans cette profondeur, où mon âme chavire.
Où le fantasme meurt, et se mue en envie.
Une nécessité, à mes pensées s'impose.
Tandis qu'à hésiter, mon corps presque implose.
Et retourne ma veste, la frustration m'enivre.
Mais dans cette épopée, un truc que j'ai appris :
Est que loin d'écoper, d'une mauvaise amie.
Rayonnant de lumière, dans ma vie en sursis.
C'est que ma peine amère, par elle est adoucie.
Il y a eu ce geste, qui pousse à revivre.