Il se pourrait que la Vie m’habite,
M’inspire constamment. Je cogite
Pour trouver les mots qui pourront sonner,
Et qui sauront peut-être demander
Protection, pages, papier, pour palabrer,
Avec art, aisance à accommoder
Car très souvent poètes sont bannis
Pour avoir trop pensé, ou trop écrit
Mais Vie me redonne confiance
Afin d’oser avec assurance
Ne pas demeurer écrivain maudit,
Ivre d’invention, imbu d’inédits
Ceci ne sont, que les mots de la Vie,
Qu’elle me souffle, à l’heure où j’écris,
Car je l’avoue en toute franchise,
Talent vient de pensées qui s’éternisent,
Et requêtes, de maux inavoués,
Comme celle que je vous fais parvenir
En espérant trouver un avenir.
Fy