Cette odeur de souffre qui s’infiltre dans tes narines,
Oublie-la.
Cette impression de haine s’insinuant dans tes veines,
Brise-la.
Je sais qu’il y a chez elle cet air hypnotique
Qui la rend impossible…
Rien que d’y penser,
Cette sensation que plus rien ne t’appartient.
Rien que d’y penser,
Cette sensation que le sol s’abandonne sous tes pieds.
Son murmure te perdra.
Cette cruelle déesse n’aura de cesse de t’anéantir,
Il fait noir au dehors.
Vois-tu les étoiles ?
Grave-les en toi,
Tu suffoques.
N’oublie pas de respirer ce soir,
Nous ne mourrons qu’une fois.
Et surtout ferme les yeux,
Pour qu’entre tes doigts naisse l’aurore…
Très jolie.
Réponse de l'auteur :
Merci beaucoup ! :)
(Edit modération : Attention à bien utiliser la fonction "réponse" et à ne pas se laisser un commentaire à soi-même, j'ai dû réunir les deux coms.)