Trétan cherche le sommeil.
Du plus loin que trétan pouvais se souvenir, il avait toujours eu du mal a dormir.
Surtout la nuit. Aussitôt que la lumière du soleil diminuait pour faire place a l’obscurité, trétan sentait en lui l’éveil de son cerveau et ses pensées immergaient complètement son esprit plutôt que de le transporter vers le pay des reves.
Trétan c’était installé a new York récemment.
Sans raisons professionnelles ou autres motif rationnel justifiant cette relocalisation soudaine .
Il avait toujours été fasciné et attiré par les centres ville des grandes métropoles.
Particulièrement Tokyo et new York.
Sans jamais y avoir été.
Les images quil avait pu observer a la télévision de new York et Tokyo l’avait toujours fait rêver en s’imaginant y vivre..
Tant de gens concentré dans le même secteur.
La plupart des gens qui vivent dans ses quartiers ne se connaissent pas mais se regroupent et saglomerent quand même. Comme si leur solitude les poussaient a se regrouper pour se donner l’illusion de ne pas être seuls.
Un faux sentiment de réconfort créer par de fausses interactions sociales avec de faux amis.
Tretan ne connaissait personne a new york.
Mais il aimait observer le cycle de cette fourmilière humaine.
Il habitait dans un petit studio au quatrième étage d’un immeuble très modeste.
Sa seule fenêtre surplombait une ruelle et il pouvait aussi voir une partie de la rue qui se trouvait juste a l’est de son immeuble.
C’était une rue très agitée avec plusieurs bars et restaurants.
Trétan avait installé une chaise au bord de sa fenêtre. Il pouvait rester des heures a observer cette parcelle de vie urbaine avec fascination.
Comme un aquariophile qui regarde son aquarium durant des heures sans se lasser.
le moment quil préfèrait était tres éphémère.
Après la fermeture des commerces, vers 4-5 heures du matin, la ville semblait morte.
Déserte.
Le silence totale.
La douce lumière colorée que diffusait les enseignes lumineuses des bars pénétrait son studio et colorait légèrement ses murs.
On aurait dit que tout le monde avaient disparu !
Ou étaient tout ses gens ?
Trétan savait que la population dormait!
Mais ce moment éphémère lui procurait un sentiment de paix et de bien être inexplicable.
A un point tel quil s’endormait sur sa chaise a chaque matin en contemplant se spectacle.
Pour la première fois de sa vie il avait trouvé une facon de s’endormir paisiblement quotidiennement.