Une bougie sur le feu,
Je te regarde.
Tes yeux, braises éternelles
Captivent mon âme.
Un feu de cheminée
Pour seul écho à ta respiration,
Je t'admire.
Une caresse fébrile sur ta joue
T'attire.
Tu brûles mon regard
Je me laisse fondre.
Intensité nouvelle,
Un sourire sincère.
Mieux qu'une caresse,
Tout s'illumine.
Les étoiles s'éteignent
pour te laisser le devant de la scène.
Cire enflammée,
Je ne sais me contrôler.
Un baiser volé,
Pour mieux continuer à t'aimer.
très intéressant ce jeu sur la forme de ton poème !
Le fait d'avoir choisi des articles indéfinis "un feu de cheminée", "une bougie", etc. : est-ce voulu pour rendre le décor impersonnel en contraste avec l'intimité de l'amour ?
Petite correction :
- "Un baiser voler," ne serait-ce pas plutôt "volé" ?
- "Je ne sais le contrôler." : je ne suis pas sûre de savoir à quoi se rapport "le", "me" m'aurait paru plus logique ici mais peut-être que quelque chose m'échappe
Merci beaucoup pour ton commentaire !
En effet, je cherchais à créer un décalage entre l'impersonnel et l'amour. Je voulais dégager un sentiment de "déboussolement" en quelque sorte.
Merci pour tes corrections !
Le "le" correspondait à l'amour, mais c'est vrai que la compréhension passe mal. J'ai changé en "me".
Encore merci pour ton aide !