Alors qu’un nouveau coup de feu partait, Niven se jeta vers Ankha et se saisit du fusil qui lui avait glissé des doigts. Une fois l’arme récupérée, il réussit à rejoindre la paroi rocheuse qui bordait le chemin. Ici, les balles ne pouvaient pas l’atteindre.
Il lança un rapide regard en arrière. Le tireur était protégé par un autre mur de pierre. Il rentra vivement la tête en voyant la roche voler en éclats sous un nouveau coup de feu.
La situation était merdique, le tireur ne semblait pas pressé d’en finir. Niven n’avait pas assez de munitions pour le tenir à distance, les coups de feu risquaient aussi d’attirer l’attention. Et Ankha gisait toujours au milieu du chemin.
Il ne tenta pas de faire feu. Son adversaire était à couvert. Ça ne donnerait que des balles perdues. Il fallait le forcer à sortir de son trou. Peut-être qu’avec un peu de chance, il penserait que Niven était à court de munitions. Alors, il approcherait pour lui régler son compte.
Les tirs cessèrent. Il jeta un coup d’œil par-delà la paroi rocheuse.
Rien ne bougeait. Est-ce qu’il attendait que Niven se montre ? Qu’il tente peut-être de récupérer le corps d’Ankha…
Ou alors, il n’avait tout simplement plus de balles.
C’était très peu probable. Le tireur était seul et ne se souciait pas de les prendre vivants, peu de doutes subsistaient quant à son identité. Un chasseur de primes. Et un chasseur de primes n’était jamais à court de munitions.
Niven osa un nouveau regard vers son attaquant et une balle le manqua de peu. Le mercenaire avait réussi à se rapprocher. À présent, Niven n’avait vraiment aucune chance. Il était temps de changer de tactique.
Il sortit de son abri au moment exact où le tireur tentait une nouvelle approche. Sans réfléchir, Niven se jeta au sol et envoya une salve à l’attaquant. La réponse fut immédiate et douloureuse. Une balle le frappa à l’épaule gauche. La même qui avait déjà pris pendant la fuite.
Le choc lui coupa le souffle un bref instant. Instant qui fut suffisant au chasseur de primes pour se précipiter vers lui. Il voulait sans doute mettre ce moment d’égarement à profit pour l’assommer. On payait toujours mieux pour une marchandise en vie.
Seulement, il n’y parvint pas. Car ce fut cet instant que choisit Niven pour retrouver ses esprits et décharger les balles restantes.
À moitié sonné, il vit l’homme chanceler en s’approchant dangereusement du bord. Un faux pas et il disparut dans un nuage de poussière.
Le silence qui retomba soudain donna la nausée à Niven. Il se remit debout avec difficulté et tituba jusqu’au corps d’Ankha. Il sentait le sang chaud qui pulsait de son épaule.
Il se laissa glisser à côté d’elle et la retourna sur le dos. Elle avait été touchée à l’abdomen. Sans vraiment y croire, Niven chercha un pouls.
Le battement de son cœur était tellement faible qu’il faillit le rater. Mais il était bien là !
— Ankha, murmura-t-il. Tiens le coup. Tu…
Tu quoi ? Tu vas t’en sortir ? Alors qu’ils étaient perdus au milieu de nulle part, blessés tous les deux, sans armes ni aucun moyen de joindre quiconque ?
Il lui dégagea une mèche de cheveux du visage. Jamais il ne l’avait connue aussi pâle. Elle respirait à peine.
Soudain, il vit ses yeux papillonner et elle souleva difficilement les paupières. Deux éclats sombres le fixèrent un bref instant avant de disparaître. Elle avait de nouveau perdu conscience.
— Ankha !
À présent, il sentait la panique le gagner.
— Il faut que tu reviennes à toi…
C’est à ce moment-là que Niven perçut du mouvement à côté. Il se retourna, plus très sûr de pouvoir riposter encore, et se reçut un violent coup dans la tête.
×
La conscience lui revint avec autant de force qu’un coup de pied dans l’estomac. Complètement déboussolé, il voulut se remettre debout, mais une main ferme le retint. Il cligna des yeux à de nombreuses reprises, son environnement était bien trop flou et dansait tout autour.
— Reste assis, entendit-il.
Il tenta de fixer celle qui avait parlé, mais il était à des kilomètres de la réalité.
— Bouge pas, je te dis ! Sinon, j’arriverai pas à retirer la balle.
Il sentit d’autres mains l’immobiliser avant qu’une nouvelle pointe de douleur ne lui transperce l’épaule gauche. À présent, il aurait donné beaucoup pour juste sombrer dans les ténèbres. Mais c’était plutôt l’inverse qui se produisait. Les contours de son environnement devenaient plus nets, alors que les visages restaient dans le vague.
C’était de la toile brune au-dessus de lui, pas des murs gris. La bonne nouvelle était donc qu’il n’avait pas été capturé. Était-il possible qu’il soit arrivé au camp rebelle ? Peut-être, il avait du mal à réfléchir.
— Je l’ai ! s’exclama la voix de la femme en lui arrachant la moitié de l’épaule.
Niven n’avait même plus la force de protester. Il avait l’impression que tout son bras gauche était frappé par des tisons chauffés à blanc. Mais le pire n’était apparemment pas encore passé.
— Bouge pas, il faut désinfecter ça.
Cette fois, on aurait dit qu’on lui coulait de l’acide dans la blessure.
— Bouge pas !
Heureusement pour Niven, ce fut la dernière chose qu’il entendit avant de sombrer à nouveau.
×
Le nouveau réveil fut un brin plus calme que le précédent. Déjà, personne n’essayait de lui recoudre l’épaule. Il gisait sur une paillasse sous un toit de toile.
Niven s’assit avec précaution. Son environnement n’était pas encore assez stable, mais il avait l’esprit plus clair.
Les rayons qui filtraient par l’ouverture étaient ternes, la journée tirait à sa fin. Quelque chose manquait.
Il n’eut pas le temps de se pencher davantage sur la question, une ombre lui cacha la lumière.
— Réveillé ?
Il reconnut cette voix et une pointe de terreur le traversa.
— Fais pas cette tête, j’en ai fini avec toi.
Quand elle ne s’amusait pas à désinfecter à l’acide, la femme n’avait pas l’air si terrible. Sa chevelure rougeoyait sous le piètre éclairage et des taches de son lui tapissaient le visage. Elle posa sur lui sont regard noisette et sourit.
— Je suis Kali. Vous nous avez donné du boulot.
— Ankha, se rappela Niven.
— Vous avez eu du bol. Tu sais, ton chauffeur ? S’il vous avait pas reconnus, on aurait passé notre chemin.
— Où est-elle ?
Il aurait juré qu’une ombre fila dans le regard de la femme.
— Bon, je tiens à te prévenir. Pour elle, c’était pas aussi simple que pour toi.
Les souvenirs que Niven gardait de l’extraction de la balle étaient tout sauf simples, mais il laissa couler. Il était bien plus préoccupé par ce que Kali essayait de ne pas dire.
— Elle a survécu ?
— Oui, répondit-elle après une pause. Mais elle est pas au top.
Niven se releva brusquement et regretta aussitôt son geste. Son environnement se mit à valser avec force.
Il se retint à un rabat et ferma les yeux. Mais ça n’arrangea pas tellement les choses.
— Assieds-toi, t’as perdu plein de sang.
Il sentit qu’elle le soutenait et il se laissa faire. Cette Kali avait l’air de s’y connaître. Ankha était sûrement entre de bonnes mains.
— Je veux la voir.
— Il y a rien à voir. Elle a pas encore repris ses esprits. Faut dire qu’il l’a pas loupée. Reste là, je te dis !
Alors qu’il tentait de se relever, elle le rassit de force et il sentit l’électricité de sa blessure se propager dans l'entièreté de son corps.
— Reste là, il a à te parler.
Elle lui jeta un regard d’excuse en voyant ça main crispée sur son épaule.
×
Au tout départ, Niven aurait dû remettre les documents à l’homme qui se tenait en face de lui.
Malgré leurs efforts, les soldats n’avaient pas réussi à faire tomber ce camp. Bien sûr, certains rebelles avaient été capturés, mais il y avait suffisamment d’infiltrés pour les aider à sortir.
Le chef du secteur ne s’embarrassa pas de présentations. Son vrai nom, il avait dû l'oublier depuis longtemps. On ne vivait pas vieux à découvert à Fleter.
Il hocha la tête après avoir écouté Niven lui parler de la localisation des documents. Puis, il prit un moment de réflexion. Il hésitait, sans doute.
— Tu sais ce qu’ils contiennent, ces documents ?
— Non.
— Ils t’ont rien dit ?
— Juste de les transmettre.
— Admettons. Ça t’a pas titillé d’en apprendre plus ?
Niven tarda à répondre. Il ne voyait pas très bien où cet interrogatoire les menait. Bien sûr qu’il avait été tenté d’y jeter un coup d’œil. Mais ils étaient sous scellé.
Le chef de secteur remarqua ce moment d’hésitation.
— Parle-moi franchement, dit-il finalement. Je sens que tu en meurs d’envie.
Niven regarda le visage fatigué de son vis-à-vis. Et il eut un déclic.
— La rébellion s’enlise. Le temps passe et on ne tente rien de concret contre le gouvernement. On se contente de le laisser nous dégommer.
— Tu as des actions concrètes à l’esprit ?
— Il faudrait les frapper là où ça fait le plus mal. À Muresid ou à Pazidas. Mais à la place de ça, on se contente de porter des messages dans des lieux inutiles d’un point de vue stratégique. Sans vouloir vous offenser.
— Tu ne m’offenses pas. Et tu n’as pas totalement tort. Seulement, on n’est pas suffisamment forts ou nombreux pour s’attaquer à Pazidas. Et encore moins à Muresid. C’est déjà un miracle qu’on ait pu y tenir aussi longtemps.
— Je sais, dit Niven en détournant le regard.
L’homme le fixa un long moment. Niven ne savait pas ce qui était en train de lui passer par l'esprit. Et enfin, il acquiesça et se dirigea vers la sortie de la tente. Il s’arrêta devant le rabat.
— Une dernière chose. Dès que vous vous êtes échappés, un contrat a été placé sur votre tête. C’est ce qui a valu la visite du chasseur de primes.
Niven serra les dents. L’image d’Ankha au milieu du chemin était encore trop nette.
— Vous êtes morts. Officiellement. En tout cas, les identités sous lesquelles vous étiez ici.
×
— Ca commence à devenir un peu mieux.
Kali était penchée sur le bandage de son épaule. Ça faisait trois jours depuis qu’il était de retour dans ce camp.
Trois jours qu’il attendait le moment où on lui donnerait un moyen de revenir à Muresid.
Trois jours qu’Ankha ne montrait aucun signe d’amélioration.
— Tu vas pas me tourner de l’œil cette fois, hein ? demanda-t-elle et il sentit la brûlure du désinfectant.
La veille, il avait été pris de vertiges en tentant d’atteindre la sortie de la tente. Il secoua la tête sans desserrer les dents. Il n’était pas sûr d'aller bien mieux. Mais au moins, aujourd’hui, le monde ne valsait pas.
— Tant mieux.
Elle lui adressa un rapide sourire, appliqua une compresse, refit le bandage.
— Merci, dit-il comme elle relevait enfin les yeux vers lui.
— Pas de quoi. Évite de te prendre d’autres balles et ça sera parfait.
Il allait se remettre debout quand il vit le regard de Kali se troubler et ses sourcils se froncer. Elle se détourna pour pianoter sur son bracelet de saisie. Ses épaules se crispèrent.
— Qu’est-ce qu’il y a ? dit-il.
Elle ne se retourna pas directement. Elle mit fin à la communication, puis se précipita vers son sac d’urgence. Elle s’arrêta soudain, lui lança un rapide regard.
— Tu tiens debout ? demanda-t-elle et il acquiesça. Viens avec moi.
×
Ils quittèrent le camp, plongèrent dans la forêt. Elle se repérait bien mieux que lui, il n’avait aucune idée de l’endroit où ils se trouvaient.
— Kali, qu’est-ce qui se passe ?
— Une urgence.
— Qu’est-ce qu’il y a eu ?
Elle secoua la tête, il n’insista pas.
Et enfin, ils arrivèrent à destination. Kali se précipita vers le blessé qui gisait par terre. Un autre rebelle leur jeta un regard perdu. C’était lui qui avait dû lancer l’alerte. Niven ne savait pas vraiment comment aider, il y avait du sang partout.
— Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda Kali en dénudant la blessure.
L’homme s’était pris trois balles dans le ventre. Niven la vit blêmir sous ses taches de rousseur.
Le blessé gargouillait quelque chose, un filet de sang coulait de sa bouche.
— Des soldats, répondit le rebelle encore debout. Ils… ils sont arrivés. On a tenté de fuir.
— Ils sont où, ces soldats ? demanda Niven comme Kali faisait pression sur les blessures.
— Je sais pas.
— Ils vous ont suivis ?
— Non… Je pense pas.
Elle jeta un coup d'oeil à Niven et secoua la tête. Il vit alors que le blessé ne bougeait plus, ne réagissait plus. Elle relâcha la pression, serra les dents, se leva.
Elle garda le regard rivé sur l’endroit d’où ils étaient venus. Au bout de quelques minutes, des bruits de pas se firent entendre et deux autres rebelles les rejoignirent. Niven vit Kali s’approcher d’eux, échanger quelques paroles à voix basse.
Puis, elle se saisit de son sac et partit sans se retourner.
Niven jeta un bref regard aux rebelles qui étaient venus s’occuper du cadavre et se précipita à la suite de Kali. Il la rattrapa avec difficulté. Elle lui lança un regard, ne commenta pas.
— Kali ?
— Quoi ?
Son ton était brusque. Il ne l’avait encore jamais vue dans cet état.
— Tu peux ralentir ?
Elle s’arrêta, fronça les sourcils. Puis, elle revint sur ses pas, se planta devant lui. Il la sentit repousser le pan de sa veste, il l’entendit jurer.
— Viens, dit-elle en lui saisissant le bras et en le tirant à l’écart.
Il plissa les yeux. Ses oreilles s’étaient bouchées et il avait de plus en plus de mal à rester debout.
×
Ses oreilles bourdonnaient toujours, mais Niven commençait à revenir un peu à lui. Assis contre un arbre, il regardait Kali à quelques pas de là. Elle s’était accroupie à côté d’un ruisseau et essayait de laver le sang de ses mains. Cette image le remua. La rébellion de Muresid n’était pas comme celle-là. Bien sûr, il y avait des situations dangereuses, mais jamais encore Niven ne s’était retrouvé en danger de mort. Ici, ça semblait normal.
Kali s’essuya les mains, attrapa une gourde dans son sac, la remplit. Puis, elle revint vers Niven, se laissa tomber à côté et la lui tendit. Le liquide glacé dissipa un peu le brouillard de ses pensées. Il sentait l’épaule de Kali contre la sienne, il voyait ses poings serrés.
— Ça va aller ? demanda-t-il en lui rendant la gourde.
Elle ne répondit pas et il se tourna vers elle. Elle avait la tête baissée et des mèches échappées à sa natte cachaient son regard.
— Ça sert à rien, tout ça, dit-elle d’une voix basse. À rien du tout, gronda-t-elle en relevant les yeux vers lui.
— Kali…
— Tu sais que j’ai raison ! Je vous regarde crever encore et encore. Et pour quoi ? Vas-y, donne-moi une bonne raison.
Elle fit une pause, comme pour lui laisser le temps de répondre.
— T’as rien à dire ?
— Tu veux que je te dise quoi ? Des pertes, il y en a dans la rébellion.
— T’es si naïf.
Elle se releva brusquement et il la vit faire les cent pas dans la clairière.
— Ce mec qui est mort aujourd’hui, je lui avais parlé, dit-elle. Il m’avait raconté qu’il avait une famille à Pazidas. Deux gosses. Il m’avait dit qu’il faisait ça pour eux, pour qu’ils aient un beau futur. Résultat ? Ses gosses se retrouvent sans père. C’est une belle réussite, tu crois pas ?
Elle s’arrêta devant lui, planta son regard dans le sien. Il détourna les yeux.
— Pourquoi t’es dans la rébellion, Kali ?
Il releva la tête. Ce n’était pas une question qu’on posait, mais il se sentait beaucoup trop fatigué pour se mettre ce genre de barrières.
— Parce qu’à un moment donné, j’y croyais.
— Plus maintenant ?
Il la vit se mordre l’intérieur de la joue. Elle semblait réfléchir à ce qu’elle pouvait lui dire.
— Disons juste que c’était pas ce que je visais quand j’ai voulu devenir médecin. J’ai regardé beaucoup trop de gens crever.
— Pourtant, t’es toujours là. Et tu sauves des gens. Tu nous as sauvés avec Ankha.
Elle s’esclaffa.
— Pour Ankha, on va attendre avant de se prononcer. Et toi, c’est vrai que t’as l’air super bien.
— Je suis en vie, dit-il.
Elle se détourna et il ne vit plus d’elle que sa chevelure écarlate et ses épaules crispées. Il serra les dents et se releva. Le monde ne dansait plus autant, mais n’était quand même pas très stable.
Kali lui jeta un bref regard.
— T’essaies de prouver quelque chose ?
— Je comptais plutôt rentrer au camp.
— Quelle bonne idée. Ça fait longtemps que tu m’as pas fait de syncope.
— Kali, qu’est-ce qu’il y a ? Vraiment.
Elle se frotta les yeux, poussa un soupir.
— Je suis désolée, Niven.
Elle s’approcha de lui.
— C’est ce blessé qui… ce mort, se corrigea-t-elle. Tu veux que je regarde pour le bandage ?
— Je tiendrai jusqu’au camp.
— Cette grosse tache de sang, là, raconte une tout autre histoire.
Il tenta un sourire. Il ne savait pas s’il était très convaincant.
Kali le fixa quelques secondes, comme pour s’assurer qu’il n’allait pas s’écrouler. Elle se tenait beaucoup trop près, il pouvait voir les reflets dorés danser dans ses pupilles noisette.
Et tout d’un coup, il sentit ses mains froides contre ses joues et son baiser sur ses lèvres. C’était tellement inattendu qu’il ne trouva pas quoi dire quand elle rompit l’étreinte. Elle plissa les yeux, remit de la distance entre eux.
Puis, elle se détourna, attrapa son sac, le balança sur l’épaule.
— Tu viens ? demanda-t-elle en lui jetant un regard.
Cette rencontre est prometteuse, j'espère que ça ne va pas se finir en larmes, et surtout en sang...
Au plaisir de lire la suite.
C'est surprenant de voir que les rebelles soient ainsi en stand by, plus sur la défensive et l'échange d'informations que sur l'action. J'espère que le renfort arrivera rapidement nous apporter la suite de l'intrigue avec une jolie opération à mener.
Bon rétablissement à toi, Ankha !
Ce qui a pas été dit, c'est qu'Ankha a clamsé en background. Paix à son âme...
Bon si je comprend bien la rébellion est en mode un peu rabougri...
Voyons voir si ankha se relève et ce qu'il s'est passé avec ces rebelles qui se sont fait attaquer
Coquillette : "en voyant ça main crispée sur son épaule"
Et BISOU ! (bah oui quoi tu finis un chapitre comme ça, je peux bien finir mon comm pareil :3)
Elle cachait bien son jeu cette Kali!
Ce chapitre était prenant. (De manière générale j'adore toujours les chapitres où les persos sont en mode récupération après avoir été blessés, et galèrent, du coup j'ai bien aimé).
Hâte d'en savoir plus, y a un de tes persos dont j'ai entendu parler et que j'ai hâte de rencontrer, le fameux M... (j''écris pas son nom ici pour pas spoiler si d'autres lecteurs lisent)
Je repasse donc bientôt :)
Eh bah écoute, vu la teneur de BP, ils vont devoir beaucoup récupérer xD
Merci d'avoir lu !
C'est super qu'ils s'en soient tirés ! Auront-ils droit à un peu de repos ?
Cette Kali a l'air très sympa et tout mais je trouve qu'elle va un peu vite en besogne. Niven et elle se parlent comme s'ils se connaissaient alors qu'ils se sont recentrés il y a trois jours. Et bam ! Attaque de bisou ! Mais what ? Le coup de foudre ? XD Maintenant je peux te dire que j'imagine Niven bien BG.
Petite coquille sauvage :
"Elle posa sur lui sont regard noisette et sourit." -> son
Je sais pas depuis quand t'es arrivée en France (il me semble que t'étais minot) mais ça doit pas être évident la grammaire française, déjà que moi je galère.
Sinon je voulais savoir, est-ce que les numérotations de chapitres veulent que dans le bouquin c'est un chapitre mais que tu le coupes en parties pour rendre ça plus digeste sur FPA ?
Je crois que j'ai fini avec ce commentaire ma foi très utile, bisous
Du repos ? What for?
Pour le rapprochement entre les deux, il faut aussi prendre en compte qu'ils sont dans une situation extrême, ça rend sûrement plus entreprenant :P Après, je n'ai jamais parlé d'amour pour ces deux persos. Un attirance physique, maybe, mais pas forcément des sentiments ou l'envie de passer la vie ensemble, tu vois le truc ? :P
Oups, la belle coquille du son(t) xDD La grammaire, ça va, je maitrise à peu près xD C'est juste que comme je connais ce texte par coeur, je vois plus certains trucs x) Et Antidote n'a pas tilté, le vilain.
Pour les numérotations des chapitres, non, le découpage est bien comme ça dans le bouquin. C'est juste que l'histoire est divisée en parties de cinq chapitres. Tu comprendras pourquoi bientôt ;)
Ok, et y a combien de parties ?